La musique jouait

Dieu a dit:

Rien n'est caché. Vous vous cachez à vous-même. Quand une révélation arrive, vous la connaissiez dès le début. Vous pourriez l’avoir vue tout ce temps. Vous pourriez avoir prévu l'anneau que vous trouvez. Vous pourriez avoir prévu la perte de votre bague. Vous auriez pu prévoir. Ressentez-vous la vérité de cela?

De la même façon, tout ce temps, vous auriez pu connaître pleinement l'intimité que vous avez avec Moi. Mes bien-aimés, parfois vous mettez la conscience de côté. Tôt ou tard, elle vous rattrape, ou vous prenez de la hauteur.

Quand un accident survient, vous aviez un indice et il aurait pu être évité. Vous n'avez donc pas à le prévenir, vous comprenez. Vous ne devez pas. Il se trouve que vous l'avez autorisé. Comme si tout était au ralenti, vous ne pouviez pas ouvrir la porte assez vite, ou fermez la fenêtre assez vite, ou prendre un autre tournant de la route. Vous êtes responsables, et donc pas irresponsables, bien-aimés. Peut-être que vous étiez sur une sorte d'automatisme.

En un sens, c'est comme quand vous avez mangé le troisième morceau de tarte, et que vous saviez que vous ne deviez pas, et pourtant vous l’avez tout de même fait. Vous étiez là et pourtant pas là. Vous étiez présents, mais pas encore pleinement là. Malgré tout, vous avez mangé la troisième part de tarte.

Ce qui est arrivé, est arrivé. Maintenant, vous pouvez seulement vous lever de table. Tout le passé est réduit en miettes maintenant. Tout ce que vous pouvez faire maintenant c’est balayer les miettes et vous éloignez d'elles.

En termes de conscience de Moi, le Dieu qui vous aime, vous ne deviez pas fermer les yeux sur Moi. Vous pouviez ouvrir les yeux à tout moment. Et pourtant, vous ne l’avez pas fait. Vous auriez pu, et pourtant ce n'était pas tout à fait possible pour vous. Peut-être même il y a à peine un instant, vous ne pouviez pas.

Mais maintenant, c'est différent. C'est maintenant le rythme de Notre valse. Vous pouvez suivre la mesure. Vous pouvez ouvrir les yeux maintenant. Ouvrez-les maintenant. Ruez-vous dans Mes bras d'amour. Prenez la place qui vous revient. Prenez la reconnaissance qui vous revient de plein droit là où Nous sommes maintenant. Il n'est pas nécessaire d'attendre une grande épiphanie. Le battement est déjà dans vos cœurs. Maintenant, il arrive à vos pieds, et Nous dansons. Comme Nous dansons.

Vous vivez l'épiphanie, bien-aimés. Il n'est pas nécessaire d'attendre une grande épiphanie. Il n'est pas nécessaire d'attendre du tout.

Vous sentez peut-être que vous ne pouvez pas faire le premier pas. Vous sentez peut-être que la baguette doit être agitée et qu’un signe doit vous être donné avant que vous ne puissiez monter sur la piste de danse. Vous sentez peut-être vous devez entendre la musique d'abord. Eh bien, écoutez la musique.

Notre chanson jouait avant que vous ne soyez sur Terre. J'ai levé la baguette. La musique jouait. Vous avez peut-être été préoccupés, bien-aimés. Vous n’avez peut-être pas été convaincus de pouvoir vous arrêter d'aller dans la direction où vous vous trouviez. Vous n’avez peut-être pas du tout été convaincus de pouvoir aller dans une autre direction.

C’est facile. Arrêtez-vous juste et tournez. Avec ou sans confiance, vous pouvez tourner la pièce, bien-aimés.

Quoique vous puissiez penser, puissiez sentir, vos cœurs peuvent voler vers Moi en ce moment. Vous pouvez voir où vous êtes en ce moment et avez toujours été. Nous sommes enlacés, bien-aimés. Nous avons toujours été dans les bras l’un de l’autre. Ce n'est pas d’une fantaisie dont Je parle. C'est de la Réalité. La fantaisie est que vous ayez été entraînés jusqu'ici. Juste un petit tour dans le cadran de votre esprit, et vous saurez ce que vous avez toujours si bien su, que Nous sommes Un Indivisible Un.

Traduit par Christine
Page originale : http://www.heavenletters.org/the-music-has-been-playing.html

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