Celui qui, refusant l’idée d’une vie après la mort se permet toutes sortes de transgressions pour satisfaire ses convoitises, n’a aucune idée des souffrances qui l’attendent dans l’au-delà. Tandis que celui qui cherche à se mettre chaque jour en accord avec les lois divines, entre en relation avec les esprits de la lumière, et ces esprits viennent s’installer en lui : puisqu’il les a attirés, ils créent avec lui une association. Plus tard, quand il quittera la terre, quand son corps physique se désagrégera et que toutes les particules qui le composent iront à nouveau rejoindre les quatre éléments, il se retrouvera dans l’autre monde en compagnie des esprits qu’il avait attirés. Ainsi, sans le savoir, sans connaître encore tous les amis qui en feront partie, chacun de vous est en train de travailler à former la société dans laquelle il vivra dans l’au-delà. Voilà l’explication de ce que les religions ont appelé l’Enfer et le Paradis."
Rares sont les humains qui ont conscience de tout ce qu’ils pourraient acquérir en travaillant pour la collectivité ; et par « collectivité », il ne faut pas entendre uniquement la collectivité humaine, mais toutes les créatures dans l’univers, jusqu’à Dieu Lui-même. Pour me faire comprendre même des matérialistes les plus endurcis, je dirai que cette collectivité cosmique, cette immensité pour laquelle nous devons travailler, est comparable à une banque dans laquelle on place des capitaux : tout ce que nous faisons pour elle nous reviendra un jour amplifié."
Pensée du dimanche 28 septembre 2014 |
« Du point de vue de la Science initiatique, l’artiste véritable est celui qui aspire à ce que la beauté et l’harmonie de la création passent à travers lui, se reflètent à travers lui. Le véritable travail de création est donc le travail spirituel ; en cherchant à projeter sa pensée le plus haut possible, le spiritualiste découvre peu à peu un ordre, une structure, il capte des particules de lumière qui entreront dans la matière de ses corps psychiques et de son corps physique aussi. |
Sachez donc que, même si la nature ne vous a pas favorisé par des dons artistiques, intérieurement toutes les possibilités vous sont données pour trouver en vous la matière des plus belles créations. Dans le monde psychique vous pouvez être musicien, poète, architecte, sculpteur. Tous les arts sont compris dans le travail du spiritualiste. Même la danse. Si vous y mettez de l’attention et les accompagnez d’une pensée, une démarche et des gestes simples, sobres, s’imprègnent d’une souplesse, d’une grâce qui s’apparentent à la danse, et vous vous sentez léger, en harmonie avec toutes les créatures qui peuplent l’univers. » |
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Pensée du samedi 27 septembre 2014 |
le Sabre et le bras - une anecdote |
"On raconte que sous le règne du sultan ottoman Mehmet II, dit le Conquérant, un guerrier s’était rendu célèbre en remportant vingt-deux victoires sur les armées ennemies. C’était l’époque où l’on se battait avec des sabres. Un jour, le sultan demanda qu’on lui apporte ce sabre toujours vainqueur : sans doute possédait-il quelques particularités exceptionnelles. On le lui apporta, il le saisit, le tourna, le retourna… c’était un sabre tout à fait ordinaire. Le sultan, déçu, le renvoya en disant qu’il n’avait rien à faire d’une arme aussi quelconque. Lorsque le héros qui était sorti vainqueur de tant de combats apprit la réaction du sultan, il s’exclama : « Mais il n’a vu que le sabre, il n’a pas vu mon bras. C’est mon bras qui a remporté les victoires ». |
Un Maître spirituel vous donne aussi un sabre, c’est-à-dire des méthodes, mais elles ne seront efficaces que si vous les appliquez. Même un tout petit canif peut être extrêmement efficace si on s’exerce tous les jours à le manier, et une seule allumette peut embraser une ville entière. Avec une méthode très simple vous pouvez faire des merveilles : tout est dans votre « bras », c’est-à-dire votre volonté." |
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Pensée du vendredi 26 septembre 2014 |
« Même si on arrivait un jour à supprimer les armées et les canons, le lendemain les humains inventeraient d’autres moyens de se faire la guerre. Ce n’est pas en supprimant quelqu’un ou quelque chose à l’extérieur qu’on peut rétablir la paix. La paix est d’abord un état intérieur, et c’est en lui-même que l’être humain doit commencer par supprimer les causes de guerre. Aussi longtemps qu’il sera habité par le mécontentement, la révolte, l’envie, le désir de posséder toujours plus, quoi qu’il fasse, non seulement il entretiendra dans son for intérieur les germes du désordre, mais il sèmera ces germes partout autour de lui. |
Celui qui mange et boit n’importe quoi fait entrer dans son organisme certains éléments nocifs qui le rendront malade. Et alors quelle paix peut-il avoir quand il a bouleversé son organisme ? C’est la même loi dans le plan psychique : s’il avale n’importe quelle pensée et n’importe quel sentiment, il est malade. La paix est donc aussi la conséquence d’un savoir concernant la nature des aliments dont l’homme se nourrit dans le plan psychique. Elle ne peut s’installer que chez celui qui s’efforce de se nourrir avec des pensées justes, des sentiments généreux. Seul cet être-là peut apporter la paix autour de lui : de toutes les cellules de son corps, de toutes les particules de son être physique et psychique émane une harmonie qui imprègne les moindres actes de sa vie quotidienne. » |
Celui qui souffre se sent souvent très seul, abandonné de tous. Alors, pourquoi doit-il perdre encore, par négligence, par ignorance, la seule aide, le seul réconfort véritable qu’il puisse recevoir ? Cette aide, ce réconfort se trouvent dans la présence de Dieu en lui. Quand il prie, quand il supplie, il ne s’adresse pas seulement au Créateur du ciel et de la terre, cet Être si lointain qu’il est même impossible de L’imaginer ; il s’adresse à une puissance qui habite son âme et son esprit et avec laquelle il ne doit jamais perdre le contact."
Une des méthodes les plus efficaces pour se débarrasser de la fatigue psychique, c’est une bonne fatigue physique : cette fatigue-là repose et guérit. Les humains possèdent des ressources insoupçonnées qu’ils doivent apprendre à exploiter par un effort de volonté. Combien sont fatigués tout simplement parce qu’ils mènent une vie stagnante
Chaque année, donc, le 22 septembre, le Soleil entre dans la constellation de la Balance. De nombreux tableaux et icônes représentent l’archange Mikhaël, une balance à la main, pesant après leur mort les actes des humains : les bons sont mis sur un plateau, les mauvais sur l’autre, et il attend de voir lesquels l’emporteront. La balance est l’instrument du jugement, et l’automne est lui-même d’une certaine façon la saison du jugement : on cueille les fruits mûrs, on fait un tri et on ne garde que les bons.
Ce travail de séparation, de triage, qui a lieu dans la nature, est aussi celui que mentionne Hermès Trismégiste dans la Table d’Émeraude quand il dit : « Tu sépareras le subtil de l’épais avec grande industrie », c’est-à-dire avec grand soin. Séparer le subtil de l’épais, c’est séparer le spirituel du matériel. L’Initié, qui participe avec son esprit au travail de toute la nature, sait quand vient le moment de laisser mourir la matière obscure qui reste encore en lui, afin de libérer la vie véritable. »
Il est difficile d’entraîner toute cette population intérieure, mais c’est la base du travail spirituel : chercher à pénétrer suffisamment en nous, et établir peu à peu par la pensée des relations avec les cellules de tous nos organes afin de les éduquer. Peu à peu elles deviennent plus réceptives et acceptent de nous soutenir sur le chemin de la lumière."
Pour régler ses problèmes psychiques, on doit se donner un travail précis, un programme à réaliser, et cela prendra du temps, c’est vrai. Mais dès l’instant où vous vous fixez une tâche à remplir, il y a au moins quelque part une empreinte gravée, et les forces du subconscient commencent à circuler à l’intérieur des canaux que vous avez creusés. Quand la pluie tombe, l’eau suit exactement les rigoles qui ont été creusées. Vous devez donc préparer des canaux en vous pour que la nouvelle vie puisse circuler. »
L’existence, c’est vrai, nous place souvent devant des faits, des situations qui au premier abord nous paraissent incompréhensibles, absurdes, et même scandaleux : comment de pareilles choses sont-elles possibles ? Mais rien n’est plus terrible et dangereux que d’en conclure que la vie humaine est dénuée de sens. Jamais le sage ne dira, comme certains soi-disant philosophes, que tout n’est que hasard, chaos et absurdité. Quel orgueil de prétendre dépourvu de sens ce qu’on n’est pas encore capable de comprendre ! Et quel appauvrissement pour la pensée !"
Vous avez mal agi ? Une fois que vous avez compris en quoi et pourquoi, rappelez à votre mémoire les moments lumineux que vous avez connus, ces moments où vous vous êtes senti un enfant de Dieu, heureux, confiant, léger. Vous rétablissez ainsi dans votre âme des conditions pour que les entités qui ont participé à ces états de joie et de lumière reviennent vous visiter, et vous recevez des forces pour vous maintenir dans vos bonnes résolutions."
Voilà donc désormais le point de vue que vous devez adopter pour comprendre ce qui est à vous et ce qui n’est pas à vous. Un homme est marié et, parce qu’il peut s’imposer à sa femme, l’obliger à ceci, lui interdire cela, il s’imagine qu’elle lui appartient. Eh bien, non, c’est une illusion. Mais s’il est en admiration devant elle, s’il la considère comme une créature précieuse, un aspect de la Mère divine, alors là oui, elle lui appartient, même s’il lui laisse la plus grande liberté, même s’il ne la touche pas. Les humains croient que pour posséder quelque chose… ou quelqu’un, ils doivent le tenir entre leurs mains. Non, malheureusement, c’est souvent ce à quoi ils se cramponnent le plus qui leur appartient le moins. »
Je ne veux pas dire par là qu’on doit supprimer les juges, les tribunaux, les sanctions, et laisser les malfaiteurs tranquilles en attendant que la justice divine s’occupe d’eux un jour ! Non, que les juges et les tribunaux fassent leur travail… et qu’ils s’efforcent de le faire le mieux possible, car c’est un travail très difficile. J’attire seulement votre attention sur quelques principes de la vie spirituelle."
La destinée de l’homme est déterminée par la qualité de ses besoins ; s’il s’obstine à chercher leur satisfaction dans le plan physique, c’est qu’il n’a jamais essayé d’explorer ses richesses spirituelles. Le jour où il comprendra que le Créateur a placé en lui, à l’état subtil, l’équivalent de tout ce qu’il peut trouver à l’extérieur de lui, il apprendra à se nourrir des richesses de l’esprit. Et alors, non seulement il ne nuira plus à la nature ni aux humains, mais tout ce qu’il réalisera ensuite dans le plan physique sera marqué du sceau de l’esprit."
Si vous prenez l’habitude de descendre dans les profondeurs de votre être pour y chercher l’amour et la lumière, les sculpteurs qui sont en vous sauront quels nerfs, quels muscles ils doivent tendre ou détendre. Vous pouvez leur faire confiance. Travaillez donc avec l’amour, l’espérance et la foi, et en souriant abandonnez-vous à l’inspiration de vos artistes intérieurs. »
Les activités spirituelles qui font de nous des créateurs véritables sont la prière, la méditation, la contemplation, l’identification. Dans le désir de rejoindre et de pénétrer l’Âme universelle, cette lumière qui est la matière de la création, par notre esprit nous la fertilisons. Et notre âme, qui reçoit alors les germes de l’Esprit cosmique, commence à mettre au monde des enfants divins : l’inspiration, la paix, la joie, des actes de noblesse et d’amour."
Combien parmi vous concentrent toutes leurs énergies dans l’effort d’un instant ! Si vous ne réussissez pas, vous renoncez, et c’est pourquoi vous restez faible. La véritable puissance s’acquiert au prix de petits efforts renouvelés. En apprenant à travailler dans la continuité, vous arriverez à trouver le rythme convenable qui vous permettra de gagner peu à peu du terrain. Et quelles énergies vous recevrez alors pour continuer votre travail !
Mentionner les défauts des gens n’a jamais servi à les corriger. Donc, quand vous critiquez quelqu’un sans indiquer qu’il a tout de même certaines qualités, vous ajoutez du mal au mal : ce n’est pas une attitude constructive. Si vous voulez agir comme un être conscient, éclairé, lorsque vous aurez été obligé de prononcer des paroles négatives, tâchez de terminer avec quelque chose de positif – ne serait-ce qu’en mentionnant une seconde personne qui possède les qualités dont la première est privée. Oui, l’essentiel est de toujours terminer par une parole positive."
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En réalité, il n’est pas absolument interdit de se séparer d’un homme ou d’une femme, mais pas avant d’avoir résolu les problèmes posés. C’est la seule façon de conquérir votre liberté. C’est difficile, bien sûr, mais ce qui paraît difficile au premier abord se révèle en définitive le plus facile, et inversement. Si vous choisissez le chemin le plus difficile, vous recevrez intérieurement de l’aide pour aller jusqu’au bout de vos efforts."
Celui qui réussit à dominer sa nature inférieure voit, chaque jour, l’horizon s’éclaircir devant lui. Maintenant qu’il n’est plus aux prises avec ses vieux démons, il est libre d’élargir le champ de sa conscience à tout le genre humain, et il envoie, comme le soleil, la lumière et l’amour qui débordent de lui… Mais avant de pouvoir rayonner, il doit apprendre à concentrer toutes les puissances de son être pour les orienter dans une seule et même direction."
Lorsque vous recevez une lettre d’une personne qui vous est très chère, vous la lisez et la relisez avec attention pour en percevoir et en apprécier toutes les nuances : chaque mot vous semble contenir tout un monde de significations à découvrir. Tâchez d’accorder la même considération à la lettre d’amour du Créateur. C’est la lettre la plus puissante, la plus éloquente, puisqu’il y est écrit : « Voilà, je vous apporte la vie ! » "
Il peut aussi arriver qu’en agissant bien, on s’attire des complications et même de l’hostilité. C’est pourquoi on entend les gens dire : « Faites le bien et vous récolterez le mal ». Même si c’est vrai, cela ne doit jamais justifier l’égoïsme et le refus d’aider les autres. Vous avez fait du bien et non seulement vous n’en avez pas été récompensé mais vous avez même été abusé ? C’est douloureux, bien sûr ; mais tâchez d’oublier rapidement cela et dites-vous que votre conduite n’a pas à dépendre de l’attitude des autres. Faites le bien et n’attendez rien. Comptez seulement sur Celui qui voit tout, qui sait tout. Lui seul peut apprécier vos actions bonnes et généreuses, c’est donc de Lui que viendra la récompense. Et elle viendra peut-être sous une forme différente de celle que vous attendiez. Vous serez en meilleure santé, plus fort, plus sage, plus serein : n’est-ce pas la meilleure des récompenses?"
Lorsque deux êtres vraiment évolués se choisissent, d’avance déjà ils se sont laissé cette liberté mutuelle : chacun se réjouit de pouvoir aimer toutes les créatures dans la plus grande pureté. Le bonheur, ce n’est pas de s’arrêter sur un être, ou deux, ou dix, ou cent... mais d’aimer à l’infini. Continuez donc à aimer ceux que vous aimez déjà, mais élargissez encore le cercle de votre amour. Et élargissez-le jusqu’à avoir aussi des échanges avec toutes les entités lumineuses du monde invisible, les anges, les archanges... Alors, votre famille, vos amis se trouveront enrichis, renforcés, purifiés à cause de tout ce que vous vivez de beau dans votre cœur et dans votre âme. »
Combien de gens se croient libres et puissants ! Et en admettant qu’ils arrivent pour un moment au moins à s’imposer à leur entourage, ou même à un pays entier, leur liberté et leur pouvoir ne sont qu’apparents, car en eux règne l’anarchie. Et cette anarchie intérieure qui est à l’origine de tous les désordres politiques ou sociaux, c’est elle qui remplit les prisons, les cliniques et les asiles psychiatriques. Jusqu’à quand ? Jusqu’à ce que les humains conscients, vigilants, arrivent à rétablir en eux-mêmes l’autorité du Principe divin."
Au contraire, celui qui a travaillé pour acquérir des richesses spirituelles sent qu’elles lui appartiennent vraiment. Elles lui permettent de faire face aux difficultés qu’il rencontre sur sa route ; et il est toujours prêt à faire bénéficier les autres de ses richesses, car il est conscient que non seulement il ne perdra rien, mais qu’en étant généreux il s’enrichira encore davantage. »
Il est vrai que lorsqu’on dit de certaines personnes âgées qu’elles « retombent en enfance », ce n’est généralement pas fameux. Mais voilà ce qui arrive à tous ceux qui ont refusé de devenir de vrais enfants pour qui il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir et à s’émerveiller. Celui qui ne cherche pas à devenir consciemment un enfant risque de le devenir un jour par la force des choses, et ce sera le gâtisme. »
Prenons l’Arbre séphirotique, par exemple. Sur le pilier central, que l’on peut assimiler à la colonne vertébrale, sont placées de bas en haut les trois séphiroth Iésod, Tiphéreth et Kéther. En nous, les organes génitaux sont liés à Iésod, le cœur et le plexus solaire à Tiphéreth, et la tête à Kéther. De Iésod à Kéther en passant par Tiphéreth, tel doit être symboliquement le chemin de l’énergie sexuelle. À l’extrémité supérieure du pilier central, la sainteté de Kéther, qui est la tête couronnée, a son origine dans la pureté de Iésod, les organes sexuels.
La sainteté de Kéther est donc la manifestation de l’énergie sexuelle sublimée grâce aux puissances de Tiphéreth, le Soleil. Ce courant d’énergies brutes qui tend toujours à entraîner la conscience des humains vers le bas, l’Initié parvient à le faire changer de direction. Il travaille sur cette quintessence jusqu’à la transformer en lumière, et quand elle arrive en haut, elle brille au-dessus de sa tête comme une couronne d’or."
« S’il est vrai que les humains ne manquent pas de ressources dans le plan physique, c’est encore dans le plan psychique que les plus grandes possibilités leur sont données. Mais comme ils en sont rarement conscients, ils ne cherchent pas à les exploiter ; et au moindre incident on les voit s’affoler, se lamenter, courir après des secours matériels, alors qu’ils ont en eux tant de moyens qui leur permettraient de faire face. Le spiritualiste est celui qui a compris que, dans les circonstances difficiles, l’esprit est son seul véritable recours. Il commence donc par entrer en lui-même, il se lie au monde divin afin de recevoir une lumière qui lui inspirera la meilleure conduite à adopter, les meilleures méthodes à employer. C’est pourquoi on le voit bientôt paisible, confiant, maître de la situation. Il peut chercher ensuite une aide matérielle, mais qu’il cherche tout d’abord le secours en lui. Sinon, comment se redressera-t-il s’il a perdu tout contrôle de lui-même ? » |
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