
Pensée du jeudi 31 janvier 2013 |
Il existe quelque part dans certaines régions de l’univers un réservoir qui ne cesse de se remplir des forces et des courants que ces milliers d’êtres sincères, ardents, ont projetés dans l’espace. Un jour, ce réservoir sera plein, il débordera et emportera tout comme un gigantesque raz de marée. C’est à ce réservoir que nous devons penser, afin de nous sentir toujours soutenus dans notre travail pour l’avènement du Royaume de Dieu sur la terre."
Pensée du mercredi 30 janvier 2013 |
Donc, augmentez l’amour en vous et vous verrez tout plus clairement. Mais là je ne parle pas nécessairement de l’amour pour un homme, une femme ou une activité. C’est l’amour pour des valeurs spirituelles que vous devez cultiver : la lumière, la beauté, la noblesse. En les aimant vous vous laisserez peu à peu pénétrer par elles, et ensuite vous aborderez tous les aspects de l’existence dans les meilleures dispositions possibles
Pensée du lundi 28 janvier 2013 | |
Esprit et matière - involution et évolution "La matière est inerte, informe, et c’est l’esprit qui, en descendant pour s’introduire en elle, la vivifie, la façonne. C’est là un processus qu’on peut observer partout dans la nature sous de multiples aspects. L’esprit descend pour animer la matière, c’est l’involution ; et la matière animée par l’esprit remonte, c’est l’évolution. Aucune évolution n’aurait été possible s’il n’y avait pas eu préalablement l’involution ; sinon, d’où viendraient ces forces, ces énergies qui permettent aux formes de se diversifier, de s’affiner ?L’évolution des formes matérielles, celles des pierres, des plantes, des animaux, des humains, n’a pu se faire que grâce à la descente de l’esprit. C’est une loi cosmique : l’esprit doit descendre pour que la matière puisse monter, évoluer." |
Pensée du dimanche 27 janvier 2013 | |
Gaieté - une façon de distribuer nos trésors intérieurs "N’attendez pas que les autres vous apportent la vie, qu’ils vous apportent l’amour, qu’ils vous apportent la joie : c’est vous d’abord qui devez ouvrir en vous les sources de la vie, de l’amour et de la joie. Pour recevoir, il faut commencer par donner. Certains diront qu’ils sont trop accablés par le chagrin et la tristesse pour pouvoir donner quoi que ce soit. Non, ce n’est pas un bon argument et cette attitude ne sert qu’à entretenir ces états. Qu’ils divorcent tout de suite d’avec ce chagrin et cette tristesse ! Aujourd’hui même, qu’ils leur écrivent une lettre : « Chère tristesse, chagrin chéri, j’ai décidé de vous abandonner. – Comment cela ? diront-ils, nous étions si bien ensemble ! » Et vous répondrez : « Oui, vous, peut-être, mais pas moi, alors je vous quitte. » Et que, dès maintenant, votre regard traduise cette séparation.Vous possédez tellement de trésors enfouis, pourquoi faut-il qu’il n’en transparaisse rien à l’extérieur ? Laissez donc de côté toutes les raisons d’être triste et cherchez celles que vous avez d’être gai. Par la gaieté on donne, et par le chagrin on prend. Dites-vous bien que si certains jours vous ne pouvez plus rire, c’est que vous vous écartez de la voie juste." |
Pensée du samedi 26 janvier 2013 | |
Esprits ténébreux - seule cette croix vivante qu’est l’être humain peut les chasser "L’être humain est construit de telle sorte qu’il abrite en lui diverses entités ; et si ces entités peuvent être des anges, l’Esprit Saint, le Christ, malheureusement elles peuvent être aussi des esprits infernaux. Chaque fois qu’il se laisse aller à des pensées, des sentiments et des actes égoïstes, hostiles, malveillants, il prépare les conditions pour leur venue. Et ensuite, quelles difficultés pour les éloigner ! Vous direz : « Mais nous avons entendu dire que la croix de Jésus chasse les démons. » En réalité aucune croix, de bois, de fer ou d’or n’a jamais chassé les démons. La seule croix qui peut les mettre en fuite est cette croix vivante que représente l’être humain lui-même. Car l’être humain est une croix : lorsqu’il écarte les bras, il devient une croix dans l’espace, il entre en liaison avec les quatre points cardinaux ; et quand il a longtemps travaillé à se purifier, à se sanctifier, c’est lui, par ses émanations, qui peut repousser tout ce qui est négatif et ténébreux." |
Pensée du vendredi 25 janvier 2013 | |
Idée - que nous devons mettre au centre de notre vie "Apprenez à nourrir en vous une pensée centrale, comme un noyau, un foyer autour duquel tout le reste viendra s’organiser. Autour de ce noyau plusieurs cercles pourront se former, mais au centre il doit y avoir une seule pensée. C’est à cette condition que vous donnez un sens, une cohérence à votre vie. Il n’est pas interdit d’avoir des idées et des projets plein la tête, mais on ne peut construire quelque chose de solide qu’à partir d’un point central. Peu d’hommes et de femmes se lèvent le matin avec une idée fondamentale qui guidera leur activité et leur comportement durant toute la journée. Dès le réveil, la plupart s’agitent dans tous les sens, ils sortent, ils rentrent, et le soir ils se couchent épuisés, pour recommencer le lendemain : ils auront peut-être d’autres pensées, mais tout aussi désordonnées. Qu’ils décident d’être enfin habités et guidés par une idée, et alors, des forces qu’ils ne connaissent même pas et qui sont pourtant présentes dans leur subconscient, dans les cellules de leur corps, s’éveilleront, associeront leurs efforts et ils se sentiront éclairés, aidés, guidés. L’idée que vous devez mettre au centre de votre vie peut se traduire par un seul mot : lumière." |
Leur vie professionnelle, leur vie sociale, leur vie individuelle obligent les humains à tenir compte du temps, et pour certains cela devient une obsession : il y a les rendez-vous auxquels il faut arriver à l’heure, les horaires de travail, ceux des trains, des avions, ceux de l’ouverture et de la fermeture des magasins ou des administrations, etc. Sans parler du temps qu’il faut chercher à économiser puisque, comme on le dit, « le temps, c’est de l’argent. » Le temps règne sur les humains. Mais, dans la vie spirituelle, le temps ne doit pas compter. L’essentiel, c’est le but. Et même si le but à atteindre reste inaccessible, peu importe, il faut continuer à avancer sans se préoccuper du temps."
Pensée du mercredi 23 janvier 2013 | |
Grain de blé (Du) au pain - analogie avec notre aventure intérieure "Quelle leçon pour nous que la longue aventure du grain de blé avant qu’il ne devienne ce pain qui est la nourriture des hommes ! Il est mis en terre dans l’obscurité et le froid, et il doit mourir pour donner naissance à un nouveau germe. Quand ce germe sort de terre, il découvre l’air, la lumière, et il devient un bel épi. Lorsque l’heure de la moisson a sonné, les épis sont fauchés, puis battus, car le grain doit être séparé de la paille. Et ses épreuves ne s’arrêtent pas là, car le grain est apporté au moulin pour y être broyé et transformé en farine. Un jour, le boulanger mélange la farine à de l’eau et la pétrit jusqu’à ce qu’elle devienne une pâte lisse ; puis, il donne à la pâte la forme d’un pain, et c’est alors l’épreuve du feu : la pain est mis au four. Une fois bien cuit et bien doré, il est apporté sur une table où il est livré aux dents des humains. Et là, le grain de blé est heureux. Pourquoi ? Parce qu’il sert de nourriture. Cette aventure du grain de blé, en quoi nous concerne-t-elle ? Chaque étape de sa transformation a son équivalent dans notre vie intérieure. Toutes les épreuves par lesquelles nous passons servent à nous faire grandir, mûrir, « cuire », jusqu’à ce que nous parvenions à la table du Seigneur afin d’être « mangé » par Lui." |
Pensée du mardi 22 janvier 2013 | |
« Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait » - commentaire "Quand Jésus disait : « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait », est-ce qu’il croyait vraiment que nous, les humains, nous sommes capables d’atteindre la perfection de notre Père céleste ? Nous ne pouvons même pas avoir une idée de ce qu’Il est, comment penser que nous arriverons un jour à atteindre sa perfection ? Et pourtant, c’est cet idéal que Jésus nous a donné, parce que c’est le seul qui puisse véritablement satisfaire le besoin d’absolu que nous portons en nous, remplir notre vie et lui donner un sens. Un enfant ressemble plus ou moins à son père, mais il est nécessairement de la même essence que lui, et puisque Dieu est notre Père, nous portons en nous les germes de sa perfection. Quelle que soit leur religion, et même s’ils n’en ont pas, les humains n’ont rien de plus essentiel à faire pour leur développement que de chercher à réaliser la perfection du Créateur : tous sont ses fils et ses filles, et cet idéal irréalisable les oblige à marcher vers Lui sans jamais s’arrêter. |
Pensée du lundi 21 janvier 2013 | |
Suicide - l’être humain a toutes les ressources pour ne pas se laisser aller à cette extrémité "Quelles que soient les raisons qui poussent un homme ou une femme à désespérer au point de mettre fin à ses jours, on peut dire que la véritable explication est celle-ci : cette créature ne sait pas que le Créateur a placé en elle des possibilités inouïes pour pouvoir triompher de n’importe quelles conditions de la vie, des possibilités de communiquer avec les êtres du monde invisible, des possibilités de créer par la pensée et de lancer ses créations à travers l’espace. Même dans la plus grande solitude et dans la plus grande misère, vous pouvez ne pas vous sentir seul ni pauvre, mais visité, entouré et comblé, parce qu’intérieurement vous êtes habité par un monde extraordinairement beau et plein de sens. Les désespérés n’ont aucune idée des ressources, des forces que Dieu a déposées en eux, ils pensent que la seule issue pour eux est le suicide. Mais qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’ils sont des êtres tellement exceptionnels qu’ils ne peuvent pas supporter les laideurs du monde ?... Non, du point de vue de l’Intelligence cosmique, qui a donné à l’être humain les moyens de faire face à toutes les épreuves, ils sont ignorants et faibles." |
Pensée du dimanche 20 janvier 2013 | |
Objets - pourquoi il est important de les manier avec attention "Chaque jour, vous circulez au milieu d’une quantité d’objets. Et voilà qu’aujourd’hui vous êtes pressé, agité, et en passant vous bousculez une chaise. Ça vous agace, car la voilà maintenant comme un obstacle devant vous, et vous lui donnez un coup de pied. Ce coup lui-même n’a peut-être pas grande importance : ce qui est important, c’est ce qui se passe en vous. Bousculer une chaise en passant révèle qu’on ne sait pas mesurer ses gestes ; et lui donner en plus un coup de pied parce qu’on a été ralenti dans sa marche, est non seulement un manque d’intelligence, puisque ça ne sert à rien, mais aussi un manque d’amour, puisqu’on s’est laissé aller à un mouvement de colère. Les objets ne sont peut-être pas sensibles à vos réactions. Mais si vous les maniez avec attention, avec douceur, c’est vous qui vous sentez dans de bonnes dispositions, vous harmonisez les courants en vous et autour de vous. Si vous ne savez pas comment agir avec des objets innocents, que ferez-vous alors avec les humains quand ils viendront vous importuner ou qu’ils vous auront fait du mal ?" |
Pensée du samedi 19 janvier 2013 | |
Sympathie ou antipathie - que les gens éprouvent pour nous : leur cause "Ce n’est pas nécessairement à cause de ce que vous faites que les gens éprouvent pour vous de la sympathie ou de l’antipathie, mais à cause de ce que vous êtes, de ce qui émane de vous et qui s’accorde ou non avec ce qu’ils sont eux-mêmes profondément. Et quelquefois, ce qui est terrible, c’est que si vous faites du bien à quelqu’un qui éprouve instinctivement de l’antipathie pour vous, non seulement vous ne changerez pas ses sentiments à votre égard, mais vous lui deviendrez encore plus insupportable.Cela vous étonne peut-être, mais c’est ainsi. Si vous êtes instinctivement antipathique à quelqu’un, au lieu de reconnaître votre gentillesse, votre bonté, il vous prêtera des intentions malveillantes, il inventera à vos actes des mobiles suspects et cherchera à vous nuire. Alors, si vous le pouvez, éloignez-vous un peu afin qu’il vous oublie. Jusqu’à maintenant vous n’avez peut-être jamais tellement eu à expérimenter cet aspect de la psychologie humaine, mais sachez qu’il existe et soyez vigilant pour ne pas avoir à en souffrir. Que cela ne vous empêche pas de continuer à faire le bien, mais apprenez à étudier les êtres qui vous entourent." |
Pensée du vendredi 18 janvier 2013 | |
Animaux - dans lesquels des âmes évoluées viennent faire un stage "Le naturaliste qui étudie un animal examine le détail de son anatomie, de sa physiologie, et relève toutes les particularités de son mode de vie, de son comportement. Après quoi, il pense bien le connaître. Eh non, pour connaître vraiment les animaux, il faut pouvoir pénétrer en eux. Vous direz : « Mais c’est insensé, et d’abord, c’est impossible ! » Non, ce n’est ni insensé ni impossible. Je ne dis pas qu’il faut le faire, mais seulement qu’on ne connaît vraiment une créature que si, au moins pour un moment, on peut pénétrer et vivre en elle. C’est ainsi que pour accéder à des degrés encore supérieurs de l’évolution, des âmes humaines ou même des âmes angéliques traversent des épreuves spéciales qui les obligent à vivre temporairement dans le corps d’un animal. Pourquoi certains peuples considèrent-ils encore des animaux comme sacrés au point de leur rendre un culte ? Parce qu’ils savent qu’ils peuvent être habités par des esprits supérieurs à ceux des humains." |
Pensée du jeudi 17 janvier 2013 | |
Disciple - ne doit attendre du Maître que la vérité "Est-ce que les humains recherchent des êtres qui les incitent à élever leur intelligence et leur cœur pour atteindre chaque fois un degré supérieur dans la compréhension de la réalité ?… C’est très rare. Ils préfèrent le plus souvent ceux qui les entretiennent dans leurs goûts, leurs opinions, pour ne pas dire dans leurs faiblesses et leurs passions. Même d’un Maître spirituel ils attendent qu’il dise ce qu’ils ont envie d’entendre. Et surtout, qu’il ne les bouscule pas dans leurs habitudes ! Mais un Maître spirituel est obligé de dire la vérité. Ensuite, c’est au disciple de choisir et de se déterminer d’après sa compréhension des choses. Et le Maître le sait : le disciple ira exactement dans les régions psychiques et spirituelles avec lesquelles ses vibrations entrent en correspondance. Il existe une mécanique cosmique, et cette mécanique est absolue. Chaque être est attiré et absorbé par la région avec laquelle il est en consonance." |
Pensée du mercredi 16 janvier 2013 | |
Pratiques - n’ont de sens que si elles sont fondées sur une philosophie "Toutes les pratiques préconisées dans un enseignement spirituel ont pour fonction de préparer les êtres à recevoir correctement les courants des mondes supérieurs. Mais le plus important, ce ne sont pas les pratiques elles-mêmes ; elles n’ont de sens que si l’on possède aussi des connaissances sur le monde invisible, sur les êtres qui l’habitent, les lois qui le régissent, les forces qui y circulent. Et plus important encore est d’apprendre comment l’être humain est construit, quels sont en lui les organes, les centres spirituels grâce auxquels il peut entrer en relation avec les régions lumineuses de l’espace. Mais, même cela ne suffit pas : il faut aussi se décider à changer sa façon de vivre, à abandonner les activités qui sont en contradiction avec ce savoir." |
Pensée du mardi 15 janvier 2013 | |
Actes de gentillesse - comme réactions à des contrariétés "Dès que vous sentez la tristesse approcher, ne la laissez pas vous envahir, réagissez ! Et qu’est-ce que j’appelle réagir ? Chercher des arguments pour chasser la tristesse n’est pas facile. Vous arriverez plus sûrement à changer votre état intérieur en agissant dans le plan physique : apporter une fleur ou un fruit à un ami (oui, une fleur ou un fruit, pas votre tristesse), ou lui écrire un petit mot, sortir dans la rue en donnant de bons regards et même un sourire aux passants. Il y a tellement de choses à faire ! Des choses en apparence peu importantes, mais en réalité très efficaces. Combien de vos tristesses ont souvent des causes dérisoires : une petite contrariété, une petite humiliation. Eh bien, au lieu de vous laisser accabler en ruminant tout cela, c’est le moment de manifester votre gentillesse. Non seulement vous retrouverez votre paix intérieure, mais vous gagnerez des amis, vous serez pour eux une source vive, un rayon de soleil, un jardin fleuri. Apprenez à vous servir de la tristesse pour faire quelque chose de bon, d’utile, que vous n’auriez peut-être pas fait si vous vous étiez senti heureux et bien disposé." |
Pensée du lundi 14 janvier 2013 | |
Vérité - comment en témoigner "À Pilate qui l’interrogeait, Jésus répondit : « Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage de la vérité.– Qu’est-ce que la vérité ? » demanda alors Pilate. Mais là, nous ne saurons jamais ce que Jésus a répondu, ni même s’il a répondu : l’Évangile ne le dit pas. Témoigner de la vérité, c’est ce que chaque disciple de Jésus s’efforce de faire. La première condition, c’est qu’il comprenne que ce témoignage ne se limite pas à raconter avec exactitude et sincérité ce qu’il a fait, ou ce qu’il a vu et entendu. Témoigner de la vérité nécessite un immense travail sur soi-même. Dire la vérité ne suffit pas : ce n’est pas uniquement par nos paroles, mais aussi par nos pensées, nos sentiments, nos actes, par toute notre vie, que nous devons témoigner de la vérité. Rien que par notre façon de respirer, nous devons déjà témoigner de la vérité." |
Pensée du dimanche 13 janvier 2013 | |
Mouvement périodique - auquel obéit l’existence. Conséquences à en tirer "Il est bon que chacun fasse de temps à autre un retour sur les événements qu’il a vécus et la manière dont il les a vécus, ainsi que sur les personnes qu’il a rencontrées, celles qui lui ont apporté de bonnes choses et celles qui lui ont causé des difficultés. Même si ces personnes ne présentent apparemment aucune ressemblance entre elles, dans leurs émanations elles peuvent avoir quelque chose de commun. En s’habituant à ressentir et à analyser ce qui émane d’elles, lorsqu’il se trouvera devant des inconnus, il saura à quoi s’en tenir. Et il en est de même pour les événements : beaucoup se répètent sous une autre forme, et celui qui ne les a pas bien étudiés pour en tirer des leçons, se retrouvera dans les mêmes impasses, et il ne saura toujours pas pourquoi.L’existence obéit à une sorte de mouvement périodique : tout se répète, mais jamais exactement de la même manière, et c’est à chacun de développer son sens de l’observation et son discernement." |
Pensée du samedi 12 janvier 2013 | |
Jour présent - le vivre comme s’il devait être le dernier "Pour bien nous pénétrer de l’importance du jour présent, nous devons faire comme s’il allait être le dernier. Certains diront que c’est affreux d’avoir ainsi continuellement dans la tête la pensée de la mort. Eh non, vivre chaque jour comme s’il devait être le dernier ne nous pousse pas du côté de la mort, mais au contraire du côté de la vie. C’est plutôt celui qui se conduit avec légèreté et insouciance tout en continuant à espérer un avenir meilleur, qui marche vers la mort. Oui, il gaspille sa vie. Quand les sages nous disent que nous devons vivre chaque jour comme si c’était le dernier, c’est pour que nous nous efforcions de faire d’aujourd’hui quelque chose de plus utile, de plus beau, de plus précieux… quelque chose d’unique ! Vous ne croyez pas vraiment que ce sera le dernier jour, vous ne faites qu’utiliser une méthode pédagogique pour vivre pleinement aujourd’hui." |
Pensée du vendredi 11 janvier 2013 | |
Monument de lumière et d’amour - que nous devons construire dans l’invisible "Chaque organisme, chaque société qui voit le jour, commence par se préoccuper des bâtiments dans lesquels il va s’installer, et c’est ainsi qu’il y a des églises, des temples… il y a des parlements… il y a le siège des Nations Unies, celui de la Croix-Rouge, etc. Mais les guerres continuent, et les injustices, et la misère, et les crimes. Quelques bâtiments de plus ou de moins ne peuvent pas changer grand-chose tant que, dans l’invisible, les humains ne seront pas capables de construire avec leurs pensées, leurs sentiments, leur volonté, des monuments de lumière et d’amour. Ces constructions invisibles sont aussi réelles que des constructions de béton ou de verre, et plus efficaces.C’est un tel monument que je souhaite que nous construisions ensemble, quelque chose d’une telle puissance que toutes les consciences dans le monde en soient saisies, bouleversées. Oui, ce sera soudain un tel bouleversement dans les consciences que chacun sera emporté par un courant de lumière irrésistible : sans se poser de questions, il laissera de côté ses intérêts égoïstes et décidera de travailler pour l’avènement de la fraternité. Est-ce que nous réussirons à édifier un jour un tel monument ? Nous ne devons pas nous poser cette question, mais c’est dans ce sens que nous devons travailler." |
Pensée du jeudi 10 janvier 2013 | |
Expériences - comparables à des noyaux que l’on met en terre "Quelqu’un vous apporte un fruit d’une espèce d’arbre qui vous est encore inconnue. Vous mangez ce fruit, mais est-ce que cela suffit pour connaître l’arbre qui l’a produit ? Non, pour connaître l’arbre, ne jetez pas le noyau comme vous en avez l’habitude, mais mettez-le en terre, car c’est lui qui vous révélera sur quel arbre on l’a cueilli. Le noyau est contenu dans le fruit, mais l’arbre est contenu dans le noyau. Pour connaître les secrets du noyau, il faut le mettre en terre et attendre, en observant comment le soleil et l’eau travaillent sur lui pour que pousse un arbre avec des racines, un tronc, des branches, des feuilles, et à nouveau des fruits. Quelle leçon peut-on tirer de cette image du noyau ? Que toute expérience dans la vie ne doit pas seulement être goûtée : il faut aussi la considérer comme un noyau que l’on met en terre pour voir ce qui en sortira. Cela signifie que vous devez réfléchir sur tout ce qui vous arrive, pour savoir à l’avenir ce que vous aurez à faire avec les « fruits » que vous recevrez : les rejeter, ou les manger, ou les planter pour les perpétuer ? C’est ainsi que vous éviterez beaucoup d’erreurs." |
Pensée du mercredi 9 janvier 2013 | |
Moments précieux - qu’il faut s’efforcer de retenir "Le Ciel n’est pas tellement inaccessible, il est beaucoup plus proche que vous ne l’imaginez. Il vous donne souvent des signes et intervient dans les événements de votre vie, mais vous n’y faites pas attention. Ou bien, si pendant quelques instants vous avez senti près de vous la présence de quelque chose de pur, de lumineux, très vite après tout s’efface : vous n’avez pas pris conscience de la valeur de ce que vous avez reçu, vous vous laissez pénétrer par d’autres influences, et vous oubliez… Alors, désormais, tâchez de prendre conscience combien sont précieux ces moments où vous sentez que des présences bienveillantes vous nourrissent de leur lumière, ces moments où le Ciel chuchote à votre âme des paroles vivifiantes. Non seulement vous devez apprécier ces moments, mais autant que vous le pouvez, efforcez-vous de les retenir. En vérité, de pareils moments s’impriment en vous pour toujours, mais si vous laissez la poussière les recouvrir…" |
Pensée du mardi 8 janvier 2013 | |
Présents du Ciel - dont nous ne devons jamais nous rassasier "Les entités lumineuses du monde invisible apprécient ceux qui ont toujours faim et soif. Seuls les gourmands sont acceptés en haut. Alors, vous pouvez demander autant que vous voulez. Oui, demandez l’amour, la sagesse, la paix, la beauté… Un jour, un voyageur arriva dans un village où il se mit à chercher une auberge. Quelqu’un lui dit qu’il y avait là justement un aubergiste très gentil qui nourrissait gratuitement tous les étrangers de passage, mais ce qui était un peu bizarre, c’est qu’après leur avoir donné à manger, il les frappait. « Ça ne fait rien, répondit le voyageur, j’accepte. » Comme il était affamé et qu’il n’était pas pressé de recevoir des coups, il mangea tout ce qui lui était proposé ; et au fur et à mesure qu’il mangeait, il voyait son hôte devenir de plus en plus joyeux. Quand arriva le moment où il ne put vraiment plus rien avaler, il ne se leva pas, mais regarda l’aubergiste comme s’il attendait encore quelque chose. « Eh bien, qu’attends-tu maintenant ? – D’être battu. » Mais l’autre se mit à rire et dit : « Pas du tout. Si je bats les gens, c’est que, je ne sais pas pourquoi, ils s’arrêtent tellement vite de manger : ils m’empêchent ainsi de goûter la joie de donner. Toi, tu as bien mangé. » Alors, voilà un avertissement pour ceux qui sont trop vite rassasiés des présents du Ciel : ils recevront quelques coups. " |
Pensée du lundi 7 janvier 2013 |
Vous voulez rendre chaque jour votre vie plus riche et plus belle ? Bénissez toutes les créatures que vous rencontrez, tous les objets que vous touchez. Remerciez le Seigneur pour tout ce que vous recevez, les joies comme les peines, et consacrez-Lui chacune de vos activités. Tous les livres de toutes les bibliothèques de la terre ne remplaceront jamais ces trois pratiques : bénir, remercier, consacrer. Faites-en une règle pour toute votre existence. »
Pensée du dimanche 6 janvier 2013 | |
Temps - de la hâte et temps de la détente "Vous avez un train à prendre : il ne vous attendra pas et vous devez vous hâter jusqu’à la gare. Une fois dans le train, vous pouvez vous détendre, car même s’il vous tarde d’arriver à destination, votre impatience ne le forcera pas à accélérer. Ou encore, vous avez des graines à semer : il y a pour cela une saison et vous devez faire en sorte d’être prêt à temps. Une fois le terrain ensemencé, il ne reste qu’à attendre ; là aussi s’impatienter est inutile. Il y a donc un temps pour la hâte, et un temps pour l’attente, le repos. Il faut se hâter pour ne pas manquer l’occasion qui se présente, et ensuite attendre que le processus se déroule naturellement. Et cela se vérifie aussi pour la vie spirituelle. Chaque fois que se présente à vous une occasion de vous lier au Seigneur, aux entités angéliques, ou de faire un travail de purification, d’harmonisation, dépêchez-vous de la saisir, car elle ne se représentera peut-être pas de sitôt. Si vous ne la saisissez pas, il ne vous servira à rien de vous agiter pour rattraper un temps irrémédiablement perdu." |
Pensée du samedi 5 janvier 2013 Etre conscients de nos Gestes | |
« Soyez conscient que vos mains sont comme des antennes : elles ont la capacité de capter des courants d’énergies de l’espace, et elles sont aussi capables d’en projeter. Mais pour arriver à ce que vos mains n’attirent et ne projettent un jour que des courants bénéfiques, vous devez commencer par être très attentif à tous les gestes que vous faites dans la vie quotidienne ; car chaque geste, le plus insignifiant soit-il, produit une vibration. Quelle que soit votre tâche, efforcez-vous de faire des gestes mesurés, harmonieux, en sachant que vous mettez en action des forces et des éléments qui vous permettent de transposer cette activité dans le plan spirituel et d’atteindre ainsi les degrés supérieurs de la vie. La véritable spiritualité consiste à utiliser n’importe quel travail pour accorder ses pensées, ses sentiments et ses gestes avec l’harmonie cosmique. Chaque geste que vous imprégnez d’une idée divine s’inscrit dans les archives de votre conscience supérieure, d’où jailliront toutes les énergies bénéfiques : l’amour, l’espérance, la joie… » |
Pensée du vendredi 4 janvier 2013 | |
Philtre d’amour - la vie "N’allez pas chercher l’amour dans des philtres magiques… Mais si cette image du philtre magique vous plaît, dites-vous que le véritable philtre, le véritable élixir, c’est la vie qui émane de vous. Ce qui émane de l’être qui a su rendre sa vie lumineuse, riche, abondante, produit chez tous ceux qui l’entourent des effets mystérieux : ils ne savent peut-être pas pourquoi, mais ils sont attirés. L’amour, ne le cherchez pas, c’est inutile. Efforcez-vous seulement de vivre. Cultivez et nourrissez en vous des pensées et des sentiments purs, généreux : vous serez comme un soleil, comme une source limpide, comme un jardin rempli de fleurs multicolores et parfumées. Qui ne se sent pas attiré par le soleil, les sources et les jardins fleuris ? Et même si vous voulez fuir sur d’autres planètes, là aussi on vous poursuivra avec amour, car il émanera de vous cette vie, et la vie est ce dont les êtres ont le plus besoin." |
Pensée du jeudi 3 janvier 2013 | |
Or, encens et myrrhe - apportés par les Rois mages : leur symbolisme "L’Évangile de saint Matthieu rapporte que des mages venus d’Orient arrivèrent à Jérusalem et dirent : « Où est le roi des Juifs qui vient de naître ? car nous avons vu son étoile en Orient, et nous sommes venus l’adorer. » Ces mages, auxquels la tradition a donné les noms de Melchior, Balthasar et Gaspard, apportaient à Jésus l’or, l’encens et la myrrhe. Chacun de ces présents est symbolique. L’or signifie que Jésus était roi : la couleur or est la couleur de la sagesse dont l’éclat brille au-dessus de la tête des Initiés comme une couronne de lumière. L’encens signifie qu’il était prêtre : l’encens représente le domaine de la religion, c’est-à-dire aussi du cœur, de l’amour. Et la myrrhe est un symbole d’immortalité : on se servait de la myrrhe pour embaumer les corps et en assurer ainsi la conservation. Les Rois mages ont donc apporté des présents qui sont en relation avec les trois domaines de la pensée, du sentiment et du corps physique. Chacun est aussi lié à une séphira de l’Arbre de la Vie : la myrrhe à Binah, l’éternité ; l’or à Tiphéreth, la lumière ; et l’encens à Hessed, la dévotion." |
Pensée du mardi 1 janvier 2013 | |
Souhaits pour la nouvelle année - comment contribuer à leur réalisation "Bonne année, heureuse année nouvelle ! En ce premier jour, vous êtes tous pleins d’espoir. Vous vous dites : « Je n’ai pas obtenu ce que je souhaitais au cours de l’année qui vient de s’écouler, mais maintenant, avec la nouvelle année, j’y arriverai. » Chaque nouvelle année apporte l’espérance même aux plus déshérités. Au fond d’eux-mêmes ils n’y croient peut-être pas tellement, et pourtant ils espèrent toujours un peu. Avec chaque nouvelle année l’espoir renaît : vous ne pouvez pas vous empêcher de penser que quelque chose va s’améliorer pour vous, qu’une porte va s’ouvrir.Vous direz : « Et si rien ne s’améliore, si aucune porte ne s’ouvre ? » Une porte au moins s’ouvrira si vous pensez que vous avez, vous aussi, quelque chose à faire pour y contribuer. Comment ? Projetez-vous par la pensée dans certaines situations de votre vie et imaginez que vous agissez avec justice, sagesse, amour. En travaillant de cette façon, déjà vous préparez votre avenir. Si vous êtes sincère, persévérant, vous influencerez les forces de la nature et les entités lumineuses du monde invisible : elles viendront contribuer à la réalisation de vos bons souhaits." |