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2013-09-30T18:22:00+02:00

Pensée du Jour - Omraam Mikhaël Aïvanhov - Mois de septembre 2013

Publié par Rose du Sud
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Pensée du lundi 30 septembre 2013
         
Maître - indique au disciple la direction du soleil
"Vous dites que vous voulez prendre votre Maître pour modèle. Mais un véritable Maître vous dira de prendre plutôt pour modèle le soleil, comme il le fait lui-même. Il regarde le soleil et tend le bras dans sa direction pour que tous aillent jusqu’à lui et s’imprègnent de sa vie, de sa chaleur et de sa lumière, afin de lui ressembler. De votre Maître, retenez surtout qu’il est comme un poteau indicateur : il vous montre le chemin pour aller jusqu’au soleil.
Qu’a répondu Jean-Baptiste à ses disciples qui l’interrogeaient sur Jésus ? « Moi, je vous baptise d’eau, mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. » Puis, un jour, voyant Jésus venir à lui, il dit : « Voici l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. C’est celui dont j’ai dit : Après moi vient un homme qui m’a précédé, car il était avant moi. » De la même façon, un véritable Maître vous dit : « Voici le soleil, allez vers lui, il est tellement plus grand que moi ! »"
Pensée du dimanche 29 septembre 2013 
  
 Ne cherchez pas à anéantir votre Nature inférieure .... Symbole du Dragon    
« Vous voulez être vivant, bien vivant ? Donnez à votre nature supérieure les moyens de triompher de votre nature inférieure. Du point de vue de la Science initiatique, les pensées, les sentiments et les actes qui ne sont pas inspirés par la nature supérieure, qui ne reçoivent pas l’empreinte de l’âme et de l’esprit, conduisent vers la mort. Pourtant, vous ne devez pas chercher à anéantir votre nature inférieure. D’abord, parce que vous n’y arriverez pas, c’est vous plutôt qui serez anéanti, car non seulement elle est très puissante, mais elle fait partie de vous. Vous devez donc chercher seulement à la maîtriser, à la dompter, afin de pouvoir bénéficier de sa vitalité et de ses richesses.
C’est cette même idée qui est exprimée dans l’Apocalypse par l’image du dragon que terrasse l’Archange Mikhaël. L’Archange ne le tue pas, il le terrasse seulement. De même, le disciple doit terrasser le dragon de son moi inférieur. Comprendre le symbole du dragon, c’est déjà l’affaiblir. Méditez sur cette image et vous irez de la mort vers la vie, de l’obscurité vers la lumière, des limitations vers l’infini, de l’esclavage vers la liberté, du chaos vers l’harmonie. »    
     
Pensée du samedi 28 septembre 2013  
Feu - de la multiplicité à l’unité : de la terre au ciel

"Que ressentons-nous devant un feu ? Dans le mouvement des flammes il y a quelque chose qui nous incite à nous arracher au sol, à quitter le monde de la multiplicité pour retourner vers l’unité. Quels que soient les objets qui nous retiennent en bas, il y a un moment où il faut quitter le monde de la multiplicité pour prendre le chemin vers le haut. C’est ainsi que nous reconstituons l’unité de notre être. Après l’éparpillement, nous devons toujours nous recentrer sur nous-même et monter.
Les flammes s’élèvent vers le ciel et les cendres restent sur le sol. Ceux qui regardent un feu sentent le mystère, mais comprennent-ils son enseignement ? Combien voudraient que les cendres aussi remontent vers le ciel ! Je veux dire par là que, le plus souvent, les humains cherchent à projeter les valeurs pesantes et terrestres vers le haut, ils les laissent gouverner leur vie, contrariant ainsi le processus naturel. Eh bien, non, pour nous élever comme le feu, nous devons abandonner nos intérêts matériels, égoïstes, et mettre toute notre volonté, toutes nos facultés au service du principe divin en nous."            

 

Pensée du vendredi 27 septembre 2013
 
Prières - les conditions de leur efficacité
"Les prières, les rites par lesquels les croyants implorent le secours du Ciel ne sont efficaces que s’ils mettent une pensée claire, un sentiment ardent dans leurs paroles et dans leurs gestes. Sinon, c’est inutile. Et qu’ils ne se demandent pas ensuite pourquoi ils souffrent, pourquoi le Ciel ne répond pas à leurs prières, pourquoi il ne les aide pas… C’est tout simplement qu’ils n’ont pas émis ce courant puissant grâce auquel ils peuvent entrer en contact avec le monde divin. Les mots et les gestes ne sont rien s’ils ne sont pas soutenus, vivifiés par les vibrations de l’âme et de l’esprit.
Exprimer sa souffrance ne suffit pas pour être entendu par le Ciel. L’intensité d’une souffrance qui pousse les êtres à l’appeler au secours ne se traduit souvent que par une agitation intérieure où l’âme et l’esprit n’ont qu’une faible part. C’est dans l’harmonie et la paix intérieure que la prière est une puissance capable de toucher le Ciel."

 


Pensée du jeudi 26 septembre 2013 
             
Jeter un regard en nous même pour savoir où nous en sommes
« Pour surveiller les pensées et les sentiments qui vous traversent, vous devez chaque jour vous montrer éveillé, vigilant, et ce n’est pas facile ! Observez-vous : il y a des moments où vous êtes occupé à faire la cuisine, à bricoler ou à conduire votre voiture, et vous êtes apparemment concentré sur ce que vous faites. Mais en réalité, une partie de vous-même est allée s’égarer au milieu de pensées et de sentiments négatifs, et cela peut durer longtemps sans même que vous vous en rendiez compte. C’est donc là, particulièrement, que vous devez apprendre à devenir vigilant pour être capable d’intervenir à tout moment dans votre vie intérieure.
Le premier pas vers la liberté, le premier pas vers la véritable puissance, c’est de vous habituer à jeter un regard en vous-même pour voir où vous en êtes. Et si vous constatez que vous êtes en train de descendre dans les régions obscures de la conscience, réagissez en tâchant de déclencher des forces constructives. »
 
 

Pensée du mercredi 25 septembre 2013
 
Qu'est ce que la vrai pureté ?
« Les organes génitaux ne permettent pas seulement aux humains d’assurer la perpétuation de l’espèce, ils leur donnent aussi la possibilité de participer à la vie divine. Mais le christianisme n’a jamais vraiment voulu ou vraiment su parler correctement sur ce sujet. D’abord, il a retranché Jésus de la condition humaine en déclarant qu’il était né d’une vierge par l’opération du Saint-Esprit. Toute la question si essentielle de l’amour et de la sexualité s’en trouve obscurcie, et le mot « pureté » lui-même ne peut être alors compris que d’une manière très étroite
Comment ne pas voir que la pureté telle qu’elle a été présentée aux chrétiens n’est qu’une ennemie de la vie ? Or, la vie se défend. Et si on s’efforce de brimer l’énergie sexuelle au lieu de comprendre pourquoi et comment la canaliser pour parvenir aux plus grandes réalisations spirituelles, il se produit un jour des phénomènes analogues à la rupture d’un barrage. Il ne faut donc pas s’étonner si cette « rupture » entraîne toutes sortes de débordements et pousse des hommes et des femmes à commettre des actes insensés, criminels. »
  
Pensée du mardi 24 septembre 2013    
Harmonie et équilibre intérieurs - une méthode pour les rétablir

"Savoir respirer contribue beaucoup à l’harmonie et à l’équilibre intérieurs, mais pour cela il y a quelques règles à connaître. D’abord, ne pas respirer par la bouche, mais seulement par le nez. Ensuite, inspirer l’air très lentement et le garder dans les poumons le plus longtemps possible. L’expiration, elle, peut être rapide et forte. Quand vous éprouvez un malaise, comme si vous étiez envahi par des présences obscures, faites cet exercice : inspirez de l’air lentement, puis chassez-le d’un seul coup en pensant que vous expulsez aussi ces présences qui créent des troubles en vous.
Et quand vous avez la sensation d’être enfin libéré de ces intrus, appelez en vous des présences bénéfiques. Imaginez que votre cœur est rempli d’une lumière dorée comme s’il était un petit soleil d’où jaillissent des rayons. Comment les esprits angéliques ne se sentiraient-ils pas attirés par une telle demeure ?"

 

 
 Pensée du lundi 23 septembre 2013   
          
Chaleur, lumière, magnétisme, électricité - leurs correspondances avec la bouche, le front, les yeux et le nez
"La chaleur, la lumière, le magnétisme et l’électricité sont quatre phénomènes particulièrement bien étudiés par la physique. Or, ces phénomènes naturels ont leur correspondance dans notre visage. Cela vous étonne peut-être ? Mais voici ces correspondances.
À la chaleur est liée la bouche, à l’électricité le nez, au magnétisme les yeux, à la lumière le front. Et la bouche (la chaleur) est en relation avec les yeux (le magnétisme) ; c’est le cœur lié à l’âme : par les yeux nous absorbons la nourriture spirituelle, comme nous absorbons par la bouche la nourriture physique. Quant au nez (l’électricité), il est en relation avec le front (la lumière) ; c’est l’intellect lié à l’esprit : de même que le nez discerne les odeurs, l’intellect, par la sagesse, discerne le bon et le mauvais, le vrai et le faux, tandis que l’esprit, le front, perçoit les réalités du monde divin."
                                 
                                                     
Pensée du dimanche 22 septembre 2013
« Sous une forme ou sous une autre, les aventures de tous les êtres humains présentent des analogies avec les aventures merveilleuses rapportées dans les contes. Oui, vous êtes tous des princes et des princesses, et vous avez en vous toutes les richesses : votre cœur, votre intellect, votre âme et votre esprit sont des coffres remplis d’or et de pierres précieuses.
Et vous êtes aussi des magiciens : vous avez une baguette magique, la parole, dont vous n’avez pas encore expérimenté les vrais pouvoirs. Et pourtant, vous le savez : vous dites quelque chose de gentil à quelqu’un, et vous voyez tout de suite les résultats. Vous l’insultez, et là encore vous voyez tout de suite d’autres résultats : vous n’avez pas touché la personne, vous ne l’avez pas blessée avec un couteau, et pourtant, elle a été blessée comme par un couteau. Oui, la parole est magique. Alors, surveillez vos paroles. Mais d’abord surveillez vos pensées et vos sentiments afin qu’ils vous inspirent les mots grâce auxquels, comme de bons génies, vous apporterez partout le réconfort, la paix et la joie. »
Pensée du samedi 21 septembre 2013
« Les entités lumineuses n’interviennent que chez ceux qui le leur demandent. Si on ne leur demande rien, elles n’entrent pas. Même si vous êtes la proie d’entités ténébreuses, les anges, qui jettent parfois un regard sur les humains, disent : « Nous n’avons pas le droit de nous imposer à cette créature : elle ne nous a rien demandé, nous devons respecter sa liberté. »
Seuls les esprits malfaisants se permettent d’entrer sans autorisation. C’est précisément ce qui différencie les esprits lumineux des esprits ténébreux. Les esprits ténébreux ne respectent rien. Au contraire, les esprits lumineux attendent que vous vous ouvriez à eux. Et quand ils se sentent invités, quelle joie pour eux ! Ils voient en vous un être éveillé et ils chantent : « Enfin, nous, les puissances du Ciel, nous pouvons entrer dans ces âmes, les aider, travailler avec elles », et ils inspirent vos pensées, vos sentiments, vos actes, vos paroles. »

Pensée du vendredi 20 septembre 2013

 

« L’avenir contient toujours une grande part d’incertitude, c’est vrai. Tout peut arriver. Alors, en prévision des accidents de la vie, on a créé ce qu’on appelle « les assurances ».
Je ne dirai pas que les assurances sont une mauvaise chose, mais elles ont développé chez les gens la tendance à croire qu’ils peuvent mettre en sécurité tout ce à quoi ils tiennent. Donc, même s’ils sont inattentifs, imprudents, ce n’est pas grave, il y a les assurances ! Et tandis qu’ils assurent leur maison, leur voiture, leurs bijoux, et certains même leurs jambes ou leurs mains, ils oublient de cultiver leurs qualités les plus précieuses : l’attention, la vigilance, le sens des responsabilités et tout ce qui fait la richesse de leur âme et de leur esprit. Mais cela, ils n’en sont pas conscients. C’est pourquoi ils reçoivent des leçons, car sur la terre rien n’est jamais en sécurité. Aucune assurance ne compensera ce qu’ils perdent en restant faibles, négligents, paresseux. »
Pensée dujeudi 19 septembre 2013
« Chaque sentiment peut s’exprimer par un sourire. Le découragement, le renoncement, ou au contraire l’espoir et la décision de se remettre au travail… l’abnégation ou le désir de prendre une revanche, s’accompagnent parfois de sourires. Mais observez combien chacun est différent ! Le sourire moqueur a quelque chose de grinçant. Le sourire de la sagesse est très subtil, à peine perceptible, mais plein de sens. Et je ne vous dirai rien du sourire de la stupidité.
C’est aussi à leur sourire que l’on peut reconnaître les créatures perverses. Même si elles ont une belle allure, un beau front, des traits fins et réguliers, leur sourire – quelque chose de tordu qui apparaît au coin des lèvres – trahit leur déchéance. Il m’est arrivé de rencontrer des êtres pareils, et c’est leur sourire qui m’a révélé leur vraie nature. C’est pourquoi je sais que je ne peux me faire une idée exacte de quelqu’un que si j’ai vu comment il sourit. »
                                           
Pensée du mercredi 18 septembre 2013
« La méditation peut être comparée à la mastication des aliments. Quand nous mettons des aliments dans notre bouche et que nous les mâchons, les glandes salivaires travaillent et nous absorbons par la langue les énergies les plus subtiles. La méditation est aussi une sorte de mastication, une mastication des pensées, par laquelle nous absorbons les quintessences du monde spirituel pour en faire notre nourriture.
Alors, méditez sur la sagesse, sur la lumière, cette lumière qui vous protège, qui vous conduit et qui vous ouvre la voie du monde divin… Méditez sur l’amour comme source de la joie, de la richesse et de la beauté pour tous… Méditez sur la vérité qui vous conduit à la liberté… »      
             
Pensée du mardi 17 septembre 2013
« Comment se manifeste la grâce divine ? Pourquoi semble-t-elle n’aller que vers quelques-uns ? Est-elle injuste ? Non, elle travaille d’après une autre justice qui échappe à la compréhension ordinaire.
Supposons que vous ayez entrepris la construction d’une maison. Au bout de quelque temps vous vous apercevez qu’il vous manque de l’argent pour la terminer. Vous demandez un crédit auprès d’une banque, et celle-ci (qui n’est pas stupide) se renseigne pour savoir si vous pourrez rembourser l’argent que vous souhaitez emprunter. Si les renseignements sont bons, elle vous avance la somme nécessaire. Eh bien, c’est de cette façon qu’agit la grâce divine. Elle descend sur vous après s’être renseignée : elle a vu que, dans d’autres incarnations, vous aviez travaillé pour le bien. Momentanément, vous êtes limité, dans l’impasse, mais en considération de vos incarnations passées, elle vous fait crédit, elle vous prête des capitaux. La grâce n’est ni injuste ni aveugle comme beaucoup l’imaginent : pour la recevoir un jour, il faut avoir longtemps travaillé à la mériter. »
  
Pensée du lundi 16 septembre 2013
« Qui n’a pas un jour été soudainement enthousiasmé par l’idée du bien, de la vérité, de la beauté ? Mais qu’il est difficile ensuite d’accorder ses sentiments avec cette idée ! Et combien plus difficile encore d’accorder ses actes ! Cependant, il faut persévérer. Le monde des idées, le monde de la pensée, c’est là que nous devons établir notre demeure. Une pensée que nous nourrissons chaque jour en nous finit par s’imposer aux sentiments, et les sentiments à leur tour s’imposent aux actes.
Mais si un jour suffit pour changer de philosophie, combien de temps et de travail faut-il pour vaincre un défaut ou se débarrasser d’une mauvaise habitude ! Pour faciliter cette descente des idées du monde spirituel dans le monde physique, le geste et la parole sont parmi les moyens les plus efficaces. C’est pourquoi il est si important de faire des exercices chaque jour. »
             
 Pensée du dimanche 15 septembre 2013     
             
« Quand vous allez le matin contempler le lever du soleil, laissez-vous imprégner par la pureté de l’atmosphère, par cette clarté qui apparaît peu à peu à l’horizon, annonçant la venue d’un jour nouveau. La vie sur terre, c’est vrai, n’est que perpétuels recommencements. « Il n’y a rien de nouveau sous le soleil », disait Salomon dans l’Ecclésiaste, et cet éternel recommencement lui paraissait fastidieux. Il avait tout connu, tout expérimenté, tout possédé, et il avait fini par conclure que cela n’était que « vanité et poursuite du vent. »
Oui, il n’y a peut-être rien de nouveau sous le soleil, mais pourquoi rester sous le soleil ? Si nous montons dans le soleil, si nous entrons en vibration avec son cœur, chaque jour tout nous apparaîtra nouveau.
                 
 Pensée du samedi 14 septembre 2013
« Nous ne sommes pas venus sur la terre pour voir les événements se conformer à nos désirs (surtout que les désirs des uns s’accordent rarement avec les désirs des autres !) mais pour apprendre à tirer des leçons de tout, raisonner, analyser et découvrir les lois qui régissent la création et les créatures. Nous devons accepter de nous asseoir sur les bancs de cette université qu’est la vie et qui nous offre toutes les possibilités : bibliothèques, laboratoires, jardins botaniques, parcs zoologiques, et tout ce qu’il faut pour nous instruire, si nous voulons bien observer, prendre des notes… Et régulièrement c’est la vie aussi qui nous fait passer des examens pour que nous constations où nous en sommes.
Chacun est appelé à passer des épreuves dans les écoles célestes comme dans les écoles humaines, c’est pourquoi il ne doit négliger aucun exercice. Même les soucis, les chagrins, les déceptions… voilà encore une matière sur laquelle il doit travailler afin de devenir fort et puissant. »
 Pensée du vendredi 13 septembre 2013    
          
« Un Maître spirituel s’efforce de voir dans les êtres les divinités qu’ils ne sont pas encore. Comment ils sont maintenant, cela ne l’intéresse pas. Chaque fois qu’il les rencontre, il pense à cette étincelle divine, enfouie en eux, et qui attend le moment où ils lui donneront enfin la possibilité de se manifester. Voilà la plus haute expression de l’amour : savoir se lier à l’étincelle divine dans chaque créature pour l’alimenter, la renforcer.
Combien les relations entre les humains seraient différentes si, eux aussi, lorsqu’ils se rencontrent, pensaient que l’homme ou la femme qu’ils ont devant eux est le dépositaire d’une étincelle jaillie du feu divin ! Même dans un criminel, il faut chercher cette étincelle pour essayer de la ranimer. Ce n’est pas toujours possible, mais il faut au moins essayer. On ne sait pas toujours pourquoi certains êtres se sont laissé entraîner sur une mauvaise pente, et on ne sait pas non plus ce qui pourrait les redresser et ranimer soudain l’étincelle en eux. C’est pourquoi il ne faut jamais porter un jugement définitif sur qui que ce soit. »
     

 Pensée du jeudi 12 septembre 2013

 

 
Travail - comme remède à la fatigue
"Il y a des gens qui, lorsqu’on les rencontre, ne savent parler que de leur fatigue. C’est simple : tout les fatigue. Ils ne se rendent pas compte qu’ils sont là en train de se suggestionner et qu’ils finiront un jour complètement exténués. Or, ceux qui se plaignent de la fatigue sont très rarement ceux qui travaillent le plus. Leur fatigue vient tout simplement de ce qu’ils ruminent des pensées et des sentiments qui les épuisent. On ne peut pas nier qu’ils soient fatigués, il ne s’agit pas là d’une fatigue imaginaire, non, elle est bien réelle, tellement réelle qu’elle est contagieuse, et quand on rencontre ces personnes, après quelques minutes passées avec elles on est soi-même fatigué.
Une des méthodes les plus efficaces pour se débarrasser de cette fatigue psychique, c’est une bonne fatigue physique ; c’est elle qui les reposera et les guérira de leur fatigue psychique. Les humains possèdent des ressources insoupçonnées qu’ils doivent apprendre à exploiter par un effort de la volonté. Combien sont fatigués parce qu’ils se laissent aller à mener une vie stagnante !"
               
Pensée du mercredi 11 septembre 2013
 
Fraternité - dans la société comme dans la famille doit compenser les inégalités
"Le fait de naître à une certaine époque, dans tel pays, dans telle famille, d’avoir une certaine constitution physique, d’être pourvu ou privé de certaines qualités – ce qui est déterminé par les incarnations antérieures – fixe déjà dès le début les chances et les succès des individus. Une société peut toujours travailler dans le sens de l’égalité, et il est très souhaitable qu’elle le fasse, mais les inégalités subsisteront. Le seul moyen de remédier à ces inégalités est la conscience du lien fraternel qui lie tous les humains entre eux. La véritable égalité est irréalisable et, dans la société comme dans les familles, l’inégalité devra toujours être compensée par la fraternité."
 
 
Pensée du mardi 10 septembre 2013  
       
Pardon - la loi divine ne l’accorde qu’à celui qui a réparé ses erreurs 
 « Vous avez fait du tort à quelqu’un et vous allez lui présenter des excuses. C’est très bien, mais vous devez aussi réparer les dégâts, c’est alors seulement que vous serez quitte. Dire à celui que vous avez lésé : « Je suis navré, pardonnez-moi… » ne suffit pas, et la loi divine vous poursuivra jusqu’à ce que vous ayez réparé le mal. Vous direz : « Mais si cette personne que j’ai lésée me pardonne ? » Non, la question n’est pas réglée si facilement, car la loi est une chose, et la personne en est une autre. La personne vous a peut-être pardonné, mais la loi, elle, ne vous pardonne pas, elle vous poursuit jusqu’à ce que vous ayez réparé.
Évidemment, celui qui pardonne fait preuve de noblesse, de générosité, il échappe aux rancunes, aux tourments qui l’auraient maintenu dans les régions inférieures du plan astral. Si Jésus nous demande de pardonner à nos ennemis, c’est pour que nous arrivions à nous libérer des pensées et sentiments négatifs qui nous désagrègent. Mais le pardon ne règle pas la question : le pardon libère les victimes, ceux qui ont été maltraités, lésés, mais il ne libère pas les coupables, ceux qui ont commis les fautes. Pour se libérer, le coupable doit réparer. »
 
 
Pensée du lundi 9 septembre 2013
 
Entreprendre un travail sur nous - même, afin d’arriver à discipliner le corps physique, les sentiments, les pensées...  
« Celui qui entre au conservatoire pour commencer l’étude du chant ou d’un instrument de musique ne s’imagine pas que, quelques mois après, il sera capable de chanter à l’Opéra ou de donner des concerts. Mais alors, pourquoi, dès les premiers pas qu’elles font dans une école initiatique, certaines personnes s’imaginent qu’elles vont parler avec les archanges, commander aux forces de la nature, guérir des malades, voyager dans l’espace, etc… ?
Une grande confusion règne à ce sujet dans la tête de beaucoup de spiritualistes.
Les mots « initiation », « école initiatique » leur font le plus souvent penser qu’ils vont recevoir un enseignement qui les mettra rapidement en possession de facultés et de pouvoirs surnaturels. Non, l’enseignement qu’ils recevront leur demandera d’abord d’entreprendre un travail sur eux-mêmes, afin d’arriver à discipliner leur corps physique, leurs sentiments, leurs pensées, et ce travail exige qu’ils acceptent modestement de faire chaque jour de petits efforts. Ce sont ces petits efforts quotidiens qui les amèneront très loin, mais ils doivent commencer par travailler sans attendre des résultats grandioses. »
 
Pensée du dimanche 8 septembre 2013
Train - dont nous devons changer pour nous rapprocher de notre destination
« Lorsque vous prenez un train pour vous rendre dans une ville lointaine, il n’est pas toujours possible d’avoir une ligne directe : à un moment donné il faut descendre de ce train pour en prendre un autre, et donc être vigilant afin de ne pas manquer la gare.
Dans ce grand voyage de la vie que vous avez entrepris, vous avez aussi une destination à atteindre. Mais là, il s’agit d’une destination intérieure, et peu importe le nom que vous lui donnez. C’est comme une lumière qui brille au loin, et pour vous en rapprocher, vous devez sentir chaque fois à quel moment descendre du train pour en prendre un autre. Aucun employé d’aucune gare ne vous donnera ce renseignement. À différents moments de votre vie, la Providence vous présente des occasions d’atteindre un degré supérieur de conscience. C’est à vous de le sentir et de faire l’effort de changer de train, afin de vous rapprocher de votre destination, car ces occasions ne se présenteront certainement pas à nouveau ou bien seulement très longtemps après. Alors, que de temps perdu ! »
 
Pensée du samedi 7 septembre 2013   
  
Colère - et ses dérives
« Chaque jour les occasions ne vous manquent pas d’être irrité par le comportement de telle ou telle personne de votre entourage. Alors, c’est le moment de vous demander si cette contrariété vaut la peine de s’y arrêter. Si vous êtes honnête, vous serez souvent obligé de répondre : « Non ». Et c’est ainsi que vous disperserez cette matière lourde et obscure qui menaçait de vous écraser.
Analysez-vous, regardez comment cela se passe ordinairement quand vous vous laissez aller à l’irritation à cause de ce que quelqu’un a dit ou fait : automatiquement, cet état attire le souvenir de toutes les autres expériences négatives, vous commencez à vous souvenir de toutes les autres fois où le comportement de cette personne vous a paru insupportable. Et souvent même, vous ne vous arrêtez pas là : vous vous mettez à penser à toutes les autres personnes qui vous sont désagréables, antipathiques, odieuses même, et pour finir vous avez la sensation d’être noyé, étouffé, au point de ne plus pouvoir respirer. Dites-moi : est-ce que c’est intelligent ?… »
 
Pensée du vendredi 6 septembre 2013 
      
nous ne pouvons extraire des  éléments subtils que si nous l’imprégnons de notre amour afin qu’elle s’ouvre à nous.  
Deux personnes qui se rencontrent pour la première fois sont d’abord étrangères l’une à l’autre, leurs vibrations ne s’harmonisent pas et il leur est difficile de se comprendre. Mais le temps passe et au fur et à mesure de leurs échanges, elles commencent à vibrer à l’unisson. Ne soyez pas étonné si je vous dis que c’est ce qui se passe avec la nourriture : les aliments qui arrivent sur votre table viennent de plus ou moins loin, mais, venus de près ou de loin, ils sont comme des inconnus que vous invitez dans votre demeure, votre organisme, et avant de les laisser entrer, il est souhaitable que vous commenciez par vous familiariser avec eux.
Vous allez manger un fruit : gardez-le quelques instants dans votre main, en lui donnant votre amour, votre reconnaissance. Ce fruit sera beaucoup mieux « disposé » envers vous, car vous aurez créé un lien avec lui. La nourriture que nous prenons chaque jour est autre chose qu’une matière brute, elle contient des éléments subtils, impondérables. Mais nous ne pouvons extraire ces éléments subtils que si nous l’imprégnons de notre amour afin qu’elle s’ouvre à nous. »
 
Pensée du jeudi 5 septembre 2013      
 
Moi supérieur - par lequel, comme Jésus, nous sommes un avec Dieu         Efforcez-vous d’entrer en vous-même, pour trouver ce centre spirituel, votre Moi supérieur par lequel notre Père céleste se manifeste en nous. Et une fois que vous l’avez trouvé, accrochez-vous à lui de telle sorte que rien ni personne ne puisse vous en séparer. Comme Jésus qui avait tellement renforcé ce lien en lui qu’il pouvait dire : « Mon Père et moi nous sommes un. » Vous aussi, par votre Moi supérieur, vous avez la possibilité de devenir un avec votre Père céleste. Si vous l’ignorez, c’est parce que vous ne Lui donnez pas la possibilité de se manifester.
Toutes les régions de l’univers ont leur propre centre, et de l’un à l’autre il existe un lien que vous devez chercher pour le vivifier. Apprenez à lier votre cœur, le centre de la vie en vous, à cet autre centre, le soleil, et à travers le soleil, au Christ, et enfin, à travers le Christ, vous vous liez au Père céleste, le souverain de tous les mondes. Vous ne pouvez progresser qu’en vous liant à des êtres supérieurs grâce à ce lien où circule la vie divine, et c’est cette vie qui vous nourrit."
         
 Pensée du mercredi 4 septembre 2013
 
Marche - son apprentissage : moment capital dans l’éducation d’un enfant
     
"L’enfant paraît si faible, si fragile, comment ne pas vouloir le protéger de tout ce qui peut le menacer ou lui faire du mal ? Mais il faut aussi le préparer aux difficultés qui l’attendent nécessairement et pour cela lui laisser faire certaines expériences qui l’instruiront.
Un enfant commence à apprendre à marcher. Évidemment, il court le risque de tomber. Mais si, pour éviter une chute on lui donne toujours la main ou si, une fois qu’il est tombé, on se précipite pour le relever et, s’il pleure, on le console en le prenant dans ses bras, en lui donnant des bonbons, cet enfant mettra beaucoup de temps à comprendre qu’il doit faire attention et, au moindre incident, il attendra qu’on vienne à son secours et qu’on le plaigne. Un jour, un enfant qui était tombé montrait à sa mère l’écorchure qu’il avait au genou. « Et tu n’as pas pleuré », dit la mère. « Non, répondit l’enfant, il n’y avait personne pour me voir. » Les enfants sont certainement faibles, mais ils sont également très perspicaces : ils sentent d’instinct où est la faiblesse des adultes et ils en profitent. Il faut évidemment veiller à ce que rien de grave n’arrive à un enfant. Mais le moment où il apprend à marcher doit être pour les parents l’occasion de le préparer à affronter seul et avec courage les difficultés de la vie. Et pour les parents aussi, c’est un apprentissage."
       
Pensée du mardi 3 septembre 2013  
Se libérer - d’une influence en s’attachant à son contraire
"Vous êtes tourmenté par une passion ou par une relation dont vous voulez vous libérer ? Il ne suffit pas de le décider pour y parvenir. La solution est de chercher à vous attacher à une autre activité ou une autre personne qui soit d’une nature ou d’un caractère tout autre que celle qui a réussi à vous capturer. Faites-en votre alliée : elle agira comme une puissance bénéfique qui vous aidera à vous libérer de vos tourments. Sachez seulement que la liberté absolue n’existe pas, partout règne la loi de l’attraction. Quoi qu’on fasse, on sera toujours « attaché », et c’est là qu’il faut être lucide, vigilant.
Si vous voulez vous libérer des ténèbres, il faut travailler avec la lumière, parce que seule la lumière a les propriétés chimiques, ou physiques si vous préférez, de chasser les ténèbres. Et quand vous êtes arrivé à vous lier à la lumière, elle vous retient dans son champ d’attraction, vous ne pouvez plus la quitter, les mauvais liens sont coupés."
  
   
Pensée du lundi 2 septembre 2013
 
Livres vivants - dont nous avons besoin
"Chez un être d’une grande spiritualité, ce n’est pas la perfection des traits qui est la plus remarquable ; quels que soient ses traits, sa beauté est dans sa lumière, dans tout ce qui émane de lui. Même quand il se tait, tout son être parle ; et quand il parle, tout son être vient souligner sa parole. Il est un livre, le meilleur livre, un livre vivant.
Et c’est justement de livres vivants que nous avons tous besoin ; les autres, une fois lus, on les replace sur des étagères où on les oublie. Tandis que les livres vivants ne se laissent pas oublier, ils se rappellent continuellement à nous."
 
 
 
Pensée du dimanche 1 septembre 2013
   
si nous croyons que nous pouvons inviter le soleil à déjeuner, il viendra, il nous parlera et nous accompagnera      
 On raconte qu’un jour où Moïse se promenait dans la montagne, il rencontra un berger qui lui montra le repas qu’il avait préparé. Ce repas, il avait invité le Seigneur à le partager avec lui et il était sûr qu’Il viendrait. « Comment peux-tu croire une chose pareille ? lui demanda Moïse. Personne n’a jamais vu Dieu et tu t’imagines qu’Il va venir partager ton repas ? » Puis, satisfait d’avoir montré sa grande sagesse, il continua son chemin, laissant le pauvre berger très malheureux. Soudain, il sentit une main invisible s’abattre sur sa joue : c’était Dieu qui lui donnait une gifle : « Insensé, lui dit-Il, pourquoi as-tu mis le doute dans le cœur de cet homme ? Il croyait que j’allais venir manger avec lui et je me disposais à le faire. Que cela te serve de leçon. »
Comme ce berger qui croyait que Dieu viendrait partager son repas, si nous croyons que nous pouvons inviter le soleil à déjeuner, il viendra, il nous parlera et nous accompagnera toute la journée. Vous direz que ce sont là des histoires pour les enfants… C’est possible. Mais il y a une vérité à apprendre auprès des enfants : ce que nous croyons devient, d’une façon ou d’une autre, une réalité. »        

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