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2014-03-31T17:11:00+02:00

Pensée du Jour - Omraam Mikhaël Aïvanhov - Mois de mars 2014

Publié par Rose du Sud
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Pensée du lundi 31 mars 2014

la Loi du karma - la connaître ne dispense pas de chercher à aider les autres
"Au lieu de se décider à faire quelque chose pour aider ceux qui souffrent, certains soi-disant spiritualistes se contentent de dire : « Oh, c’est leur destin, c’est leur karma. » Si c’est pour se donner de bonnes raisons d’être égoïstes, il vaudrait mieux qu’ils n’aient jamais entendu parler du karma !
Il est évidemment préférable que tous connaissent les lois de la destinée, qu’ils comprennent pourquoi certains malheurs leur arrivent et arrivent aussi aux autres. Mais lorsqu’ils voient des personnes dans l’épreuve, qu’ils fassent ce qu’ils peuvent pour les aider. Quelqu’un dira : « Mais pourquoi essayer de les aider puisque ce qui leur arrive était inscrit dans leur destinée ? » D’abord, parce que les efforts que l‘on fait pour aider les êtres ne sont jamais inutiles : dans certaines circonstances, en voyant votre compassion, votre bonne volonté, les entités célestes peuvent se laisser fléchir et alléger leurs souffrances. Et c’est bon aussi pour vous, car en aidant les autres, vous développez de nouvelles qualités. Il n’est pas facile d’être réellement utile aux autres, c’est vrai ; mais ça ne fait rien, quelles que soient les circonstances, il faut chercher à les aider. Si vous n’y arrivez pas, c’est au moins vous qui devenez plus intelligent, plus fort, plus libre."

Omraam Mikhaël Aïvanhov

 

Pensée du dimanche 30 mars 2014

l’Unité - on peut la préserver quand on sait harmoniser les différences

"Si certaines personnes ne veulent pas faire l’effort de s’harmoniser avec les autres, c’est qu’elles craignent d’être absorbées par la collectivité. Non, chacun est un individu bien distinct, mais tout en conservant son propre caractère, sa propre façon d’être, il doit travailler pour l’unité. Regardez les cellules de l’organisme, elles ne sont pas identiques et elles ne remplissent pas les mêmes fonctions : une cellule du cœur n’est pas une cellule de l’estomac, chacune garde son individualité ; mais leurs affinités, leurs liaisons créent entre elles cet état d’harmonie que l’on appelle la santé. Est-ce tellement difficile à comprendre ?
On n’a pas à demander à un noir de devenir blanc, à un musulman ou à un bouddhiste de devenir chrétien. Dans le passé, la chrétienté a envoyé des missionnaires pour convertir tous les peuples de la terre, et de quelles violences, de quelles tragédies cela s’est accompagné ! Tous les croyants, comme tous les humains, doivent garder leurs particularités, leurs différences, mais en même temps établir entre eux des liens fraternels grâce auxquels ils forment une unité."

Pensée du samedi 29 mars 2014

« Même si vous êtes soumis aux trépidations de la vie quotidienne, vous devez comprendre la nécessité de préserver le silence en vous. Vous le préserverez en vous habituant à étudier les pensées et les sentiments qui vous traversent. Plusieurs fois par jour, pensez à vous arrêter un moment pour analyser ce qui se passe en vous, et dès que vous remarquez le moindre trouble, la moindre dissonance, efforcez-vous d’y remédier. Sinon, au moment où vous voudrez méditer et faire un véritable travail spirituel, vous n’y parviendrez pas, il y aura toujours quelques grincements, quelques remue-ménage qui vous en empêcheront et, peu à peu, devant les difficultés que vous rencontrerez, vous finirez par abandonner cette pratique si salutaire de la méditation.
Le silence intérieur est un état tellement difficile à atteindre ! C’est toute la journée qu’il faut penser à lui préparer les conditions. La première condition, c’est de ne nourrir que des pensées et des sentiments harmonieux. Dès que vous vous sentez devenir impatient, irritable, inutile d’aller chercher des excuses ou des explications ailleurs : vous avez laissé la désharmonie s’infiltrer en vous. Alors, réagissez ! »

Pensée du vendredi 28 mars 2014

« Gardez précieusement dans votre âme l’image de la source qui coule, afin de ne jamais laisser tarir en vous la source de la vie. Et pour faire couler la source de la vie, il faut aimer. Bien sûr, comme la plupart des humains vous direz que vous aimez… Oui, mais de quel amour ? Un amour qui, souvent, vous fait souffrir. Celui qui possède la véritable science de l’amour est sans arrêt inspiré, il vit dans la poésie, la beauté, parce qu’il a appris à aimer toutes les créatures humaines. Mais il les aime d’un peu loin, il sait que s’il s’approche trop, il sera déçu, et comme il ne veut pas être déçu, il garde certaines distances. Alors, que ces créatures se manifestent avec bonté, générosité, fidélité, ou non, il ne perd pas son inspiration.

Combien d’hommes et de femmes se plaignent d’avoir été déçus, trompés par les êtres qu’ils aimaient ! Mais c’est de leur faute, ils ont voulu trop s’approcher et, évidemment, ce qu’ils ont découvert n’était pas fameux : des caves avec des moisissures et des toiles d’araignées, des marécages, des ronces, des épines… Il était fatal qu’ils soient déçus. Vous voulez continuer à aimer les humains et à être émerveillé par eux ? Quand vous devez les côtoyer, tâchez de les regarder d’un peu loin. »

Pensée du jeudi 27 mars 2014

  « Même si elles sont apparemment mauvaises, ne vous plaignez jamais des conditions matérielles qui vous sont données dans cette existence. Dites-vous qu’elles ne sont pas déterminantes. Ou, plus exactement, elles sont déterminantes dans le sens où elles vous obligent à faire un travail sur vous-même. Chacun se fait une idée de ce qui est bon ou mauvais pour lui, et voilà que souvent, la Providence, elle, a de tout autres points de vue.

Le plus sage est donc de considérer que les conditions qui vous sont données sont les meilleures pour votre évolution. Et de toute façon, elles seront bonnes ou mauvaises suivant ce que vous serez capable d’en faire. Si on ne sait pas les utiliser, les conditions les plus favorables ne produisent que des catastrophes, tandis que si on apprend à les utiliser, les mauvaises conditions deviennent les plus bénéfiques. Ce n’est pas sur le moment que vous pouvez porter un jugement sur les conditions qui vous ont été données, mais longtemps après, quand vous découvrez quel parti vous avez su en tirer. »


Pensée du mercredi 26 mars 2014
 
le Lendemain - comment l’aborder dans les meilleures conditions
"L’existence est en perpétuel mouvement. Même si aujourd’hui on a seulement à poursuivre les activités de la veille, aucune journée ne se présente dans des conditions identiques. Du jour au lendemain, combien de choses peuvent changer ! Dans le travail, dans la famille, dans la société, il faut toujours s’adapter. Si on n’est pas prêt, voilà les surprises, et on sait les effets produits par les situations auxquelles on ne s’attendait pas : les hésitations, le trouble, l’agitation, les erreurs.
Chaque jour apporte donc de nouveaux problèmes à résoudre. Comment y arriverez-vous si vous n’avez pas tiré au clair ce que vous avez vécu la veille ? Vous ne pouvez être sûr du lendemain que si aujourd’hui vous cherchez à consolider les bases de votre vie psychique ; et vous les consoliderez en révisant les événements de la journée, en réfléchissant à la manière dont vous les avez vécus, afin d’en tirer des leçons. Tout dépend de votre capacité à organiser votre monde intérieur. C’est cette organisation qui se reflétera sur votre perception des choses : quand arrivera le lendemain, les événements vous trouveront prêt et déterminé."

Pensée du mardi 25 mars 2014

« Il existe quelques différences entre la gaieté et la joie. La gaieté se lit immédiatement sur un visage. La gaieté est souriante, il se dégage d’elle quelque chose de léger. La joie vient de régions plus profondes. On peut souffrir et en même temps ressentir de la joie, parce qu’à travers cette souffrance on sent qu’on est en train de comprendre quelque chose d’essentiel. Évidemment, cette joie profonde peut aussi s’exprimer par la gaieté. C’est pourquoi on observe que beaucoup de sages sont gais. Ce qu’ils ont compris les allège des fardeaux de l’existence. Contrairement à ce que beaucoup s’imaginent, les sages ne sont ni tristes ni pessimistes, ils sont gais, et même dans les souffrances et les épreuves ils sont capables de rire.
Est-ce qu’on a étudié tous les bienfaits du rire ? Il entretient la souplesse en nous. Il nous rend plus légers et nous pousse à avancer. Il nous rend aussi plus aimants. Celui qui sait rire aime plus que les autres. Et il apprend mieux et plus vite que les autres. »


  
Pensée du lundi 24 mars 2014

l’Avenir de l’humanité dépend de la façon dont on prépare la venue au monde des enfants -
"Comme ils pressentent les dangers qui menacent l’avenir de l’humanité, beaucoup de gens se disent préoccupés pour les générations futures. Eh bien, qu’ils se préoccupent d’abord de la manière dont ils font venir les enfants au monde : c’est beaucoup plus important que de réfléchir aux conditions matérielles dans lesquelles ils vivront.
Heureusement, de plus en plus de médecins, d’infirmières, de psychologues comprennent l’importance de cette période durant laquelle la mère porte son enfant. En effet, déjà dans le sein de sa mère, l’enfant est un être doué d’une certaine forme de conscience ; la mère peut donc entrer en relation avec lui et exercer une influence sur lui. Quand les femmes mesureront l’étendue de leur pouvoir, elles comprendront qu’elles sont plus fortes que tous les moyens matériels qu’on peut mettre en œuvre pour faire face aux menaces qui pèsent sur l’avenir de l’humanité. Cet avenir est entre leurs mains. Si pendant les neuf mois où une mère porte son enfant, elle s’efforce de concentrer sur lui ses meilleures pensées, ses meilleurs sentiments et ses meilleurs désirs, elle formera un être qui, plus tard, saura apporter la paix, l’harmonie et la lumière dans le monde. Et le père de cet enfant doit la soutenir dans ses efforts."

Pensée du dimanche 23 mars 2014 

« Que beaucoup de gens éprouvent de l’affection les uns pour les autres, on ne peut pas le nier. Mais, en même temps, ils sont tellement égocentriques qu’ils ne voient pas à quel point ils sont en train de se faire souffrir mutuellement. Et alors il s’ensuit des drames, des ruptures, même dans les familles.

Voici un homme qui, entièrement accaparé par ses activités professionnelles, comme cela arrive si souvent de nos jours, passe son temps hors de chez lui en réunions, en voyages… Quand il rentre le soir, fatigué, préoccupé, de mauvaise humeur même à cause des difficultés qu’il a rencontrées au cours de la journée, il se laisse tomber dans un fauteuil et se plonge dans le journal pour bien faire comprendre à sa femme qu’il ne veut pas être embêté par les problèmes de la maison, des enfants, etc. Il pourrait voir, par toutes sortes d’indices, que sa femme commence à se lasser de cette situation, et que ses enfants souffrent aussi. Mais non, il ne voit rien : sa femme est là, ses enfants sont là, ses meubles sont là, tout va bien. Jusqu’au soir où, en rentrant chez lui, il découvre, stupéfait, que sa femme est partie en emmenant les enfants… ou en les laissant ! Et il ne comprend pas. C’est un choc terrible, il n’arrive pas à s’en remettre, il est effondré, et il va chez un psychanalyste… ou bien il consulte des clairvoyants pour savoir si sa femme reviendra ! Depuis des années il pouvait très bien voir ce qui risquait de se produire, mais son égocentrisme l’a aveuglé. »

Pensée du samedi 22 mars 2014

« Les qualités sont préférables aux défauts, et les vertus sont préférables aux vices, tout le monde sera d’accord sur ce point. Pourtant, la vérité, c’est que les qualités et les vertus n’ont pas en soi de valeur absolue. Beaucoup de gens possèdent de grandes qualités, mais que font-ils avec elles ? Rien, ou pas grand-chose. Tandis que d’autres qui ont de graves défauts et qui en sont conscients, souffrent et veulent s’améliorer ; alors, en travaillant chaque jour sur eux-mêmes, ils deviennent des êtres magnifiques, capables d’accomplir de grandes choses. S’ils n’avaient pas ces défauts, ils ne feraient peut-être aucun effort, ils se laisseraient vivre.
Il faut donc essayer de voir plus loin et de ne pas juger les êtres sur ce qu’ils sont pour le moment. C’est ainsi que fait le Ciel. Le Ciel ne s’intéresse pas à ce que nous sommes, il ne considère que ce que nous cherchons à réaliser avec ce que nous avons… et avec ce qui nous manque ! La seule chose qui lui importe, c’est le travail auquel nous nous attelons pour mettre nos défauts comme nos qualités au service d’un haut idéal. »

Pensée du vendredi 21 mars 2014
 
le Printemps - sous l’influence de Raphaël, archange de Hod
"Les quatre saisons sont placées sous l’influence de quatre archanges : Raphaël préside au printemps, Ouriel à l’été, Mikhaël à l’automne et Gabriel à l’hiver. Quand approche l’équinoxe de printemps, tous les esprits et les forces de la nature travaillent sous la conduite de Raphaël pour ranimer la vie partout dans l’univers. Ce renouveau dans la nature est pour les humains synonyme de régénération, donc aussi de guérison. Sur l’Arbre de la Vie, Raphaël est l’archange de la séphira Hod, région où les kabbalistes ont placé la planète Mercure. Or, le dieu Mercure (Hermès dans la mythologie grecque) a pour attribut le caducée qui est encore aujourd’hui l’emblème de la médecine. Et le nom Raphaël signifie « Dieu a guéri ».
Pour les chrétiens, Pâques est la grande fête du printemps : dans toute la nature elle célèbre la résurrection du Christ qui est aussi la résurrection de toutes les créatures. C’est pourquoi, quand arrive le printemps, il y a pour chacun un grand travail à faire, c’est le moment de se débarrasser de tout ce qui est intérieurement vieux et caduc. Adressez-vous à l’archange Raphaël, demandez-lui de vous rendre réceptif aux vertus cachées des arbres, des fleurs, des herbes, afin d’entrer en communion avec ce grand courant qui vient du cœur de l’univers et qui apporte la nouvelle vie."
 
 Pensée du jeudi 20 mars 2014   
nos Dons - des entités qui viennent se manifester à travers l’homme
"De tous ceux qui se font remarquer par des capacités intellectuelles, artistiques, psychiques, etc., on dit qu’ils possèdent un don. Qu’est-ce qu’un don ? C’est une entité spirituelle qui a pénétré chez un être pour travailler à travers lui. Bien sûr, il n’y aura pas beaucoup de spécialistes du cerveau qui admettront que les talents, les capacités sont des entités qui habitent les humains. Pourtant, la preuve que ce n’est pas eux qui font ces merveilles, mais d’autres à travers eux, c’est qu’ils peuvent perdre leur don. C’est arrivé à beaucoup : les désordres auxquels ils se sont laissés aller le leur ont fait perdre, les entités qui les habitaient les ont quittés.
Voulez-vous que des entités supérieures viennent se manifester à travers vous sous forme de qualités, de talents ? Appelez la lumière, l’harmonie, la paix : ce sont les conditions indispensables pour attirer ces entités. Elles sont là qui attendent, et quand elles voient un être qui a su leur préparer une demeure digne d’elles, avec quelle joie elles pénètrent en lui pour l’enrichir, l’embellir, et enrichir et embellir aussi les autres à travers lui !"

 

Pensée du mercredi 19 mars 2014           
Sensibilité et sensiblerie -
"Pour vivre, pour affronter toutes les conditions de l’existence, il est important de renforcer son caractère. Sinon, que peut-on faire avec des gens qui sont incapables de supporter la moindre difficulté, le moindre obstacle ? Cette sensibilité névralgique, qui est nourrie par leur nature inférieure, rend l’existence très difficile ; c’est pourquoi beaucoup en ont tiré la conclusion que, pour être heureux, il vaut mieux rester insensible.
En réalité, il faut faire la différence entre la véritable sensibilité et cette sensibilité maladive qu’il serait plus exact d’appeler susceptibilité ou sensiblerie. La véritable sensibilité est une faculté qui nous rend capables de nous élever très haut, afin d’avoir accès à la beauté de régions de plus en plus lumineuses et subtiles. La sensiblerie, elle, est une manifestation de la nature inférieure des êtres qui, se prenant pour le centre du monde, trouvent qu’on ne leur manifeste jamais assez de considération ; à la moindre occasion ils se sentent frustrés, blessés et deviennent agressifs. Celui qui a bien saisi cette distinction comprend qu’il a tout un travail à faire sur sa nature inférieure pour la maîtriser : c’est la seule façon de permettre à sa véritable sensibilité de s’épanouir."

 

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Pensée du mardi 18 mars 2014
 
Rêver - mais consciemment, pour la réalisation d’un monde de liberté et d’amour
"« La vie est un songe », c’est ce qu’ont dit des poètes, des philosophes, des auteurs dramatiques. Et c’est vrai. Mais ce n’est pas parce que notre vie terrestre est un songe qu’on doit se laisser aller à rêver… ou plus exactement à rêvasser, à élucubrer, comme cela arrive trop souvent. On désire ceci, on souhaite cela… mais ces rêveries décousues, inspirées uniquement par les caprices, le goût de la facilité et des plaisirs, ne sont utiles à personne, et surtout pas à ceux qui s’y abandonnent.
Il n’est pas interdit de rêver, et même on doit rêver, mais à condition que ce soient des rêves conscients et inspirés par la générosité, des rêves pour le bien de tous les humains. Chacun est capable de créer par la pensée des images d’une grande puissance qui peuvent influencer le cours des choses. Alors pourquoi ne pas rêver que le monde entier vivra un jour dans l’amour, la paix, la liberté, la joie ? Si beaucoup plus d’hommes et de femmes faisaient souvent ces rêves-là, ils contribueraient plus rapidement à leur réalisation. "

Pensée du lundi 17 mars 2014
 
l’Aura, notre atmosphère spirituelle -
"L’être humain, comme la terre, est entouré d’une atmosphère que la tradition initiatique appelle l’aura, et c’est à travers l’aura qu’il communique avec les courants de forces qui circulent dans l’espace. Ces courants sont lumineux ou ténébreux, bénéfiques ou maléfiques, et c’est l’aura qui, d’après sa réceptivité, sa pureté, sa puissance, les attire ou les repousse. Même s’il est entouré de mauvais courants, celui qui a une aura puissante et pure, est protégé, car avant de l’atteindre, ils rencontrent son aura qui, agissant comme une douane à la frontière, ne les laisse pas pénétrer.
Des exercices de concentration sur les couleurs du prisme peuvent vous aider à former votre aura ; mais vous n’obtiendrez vraiment des résultats que si vous accompagnez ces exercices d’un travail sur les vertus. C’est ainsi que par l’amour vous la vivifiez, par la sagesse vous l’illuminez, par la maîtrise vous la renforcez, par la pureté vous la rendez limpide et claire. Les entités célestes sont sensibles à l’aura d’un saint, d’un Maître spirituel, et du plus loin qu’elles l’aperçoivent, elles accourent vers lui. Même les humains cherchent à l’approcher, car ils sentent là une présence qui les éclaire, les nourrit, les apaise, les réconforte."

Pensée du dimanche 16 mars 2014
 
l’Expérience de la matière - est indispensable au développement de l’être humain
"Il est dit que l’être humain a été créé à l’image de Dieu. Dans son essence il est donc un pur esprit. Alors, pourquoi vient-il s’incarner sur la terre ? Pour explorer la matière, et c’est ainsi qu’il arrivera à développer toutes les capacités de son cerveau qui sont presque infinies. Au cours de cette descente, ses cinq sens, qui sont des intermédiaires entre l’esprit et la matière, ont évidemment pris de plus en plus d’importance. C’est au point qu’il a fini par perdre la conscience de ce monde de l’esprit, le monde divin, où il a son origine ; il a coupé le lien et il ne sent même plus sa présence, ce qui est un grand appauvrissement, même s’il n’en est pas conscient. Pourtant, ce contact avec la matière restera comme une acquisition extraordinaire pour lui.
L’Intelligence cosmique a dans ses projets d’amener la créature humaine jusqu’à la perfection. Elle doit donc passer par l’opacité de la matière, passer par la maladie et la mort. Jusqu’au jour où, forte de ces expériences, elle reviendra vers la vraie vie, vers la lumière, vers la liberté, et c’est alors qu’elle connaîtra pleinement son Créateur."

Pensée du samedi 15 mars 2014
 
la Justice divine - son fonctionnement
"Chacun a dans sa vie des leçons à apprendre, des fautes à réparer, il ne peut pas y échapper, et d’une façon ou d’une autre, il doit « payer » : payer pour apprendre et payer pour réparer les fautes commises. Ce paiement fait partie des lois du karma, il faut l’accepter. D’ailleurs, même si on ne l’accepte pas, cela ne change rien, on ne peut pas échapper à la justice divine et on ne peut pas non plus la contourner.
Efforcez-vous donc de comprendre comment fonctionne la justice divine et faites-lui confiance. C’est comme si toutes les fautes que vous avez commises allaient peser sur le plateau d’une balance et toutes vos bonnes actions sur l’autre plateau. Alors, quand arrivera le moment de payer pour les transgressions, tout ce que vous aurez fait de bon interviendra pour que le paiement soit moins lourd. Cette loi est valable dans tous les domaines : les efforts que vous faites pour vous renforcer, vous purifier, vous permettront toujours d’affronter les épreuves dans de meilleures conditions.
Que ce soit donc bien clair : d’un côté, vous devez savoir qu’on n’échappe pas à la justice divine, et de l’autre, être toujours conscient que tout ce que vous faites de bon se transforme en énergies pour vous aider à triompher des épreuves."

 

Pensée du vendredi 14 mars 2014
 
les deux Principes masculin et féminin sont présents dans le psychisme humain "Un être humain considéré du seul point de vue physique est soit un homme, soit une femme, il en présente les caractères précis et immédiatement reconnaissables. Mais du point de vue psychique, c’est beaucoup plus complexe, car chacun possède intérieurement les deux principes masculin et féminin, et on ne peut pas réduire l’homme au seul principe masculin ni la femme au seul principe féminin. Dans la philosophie taoïste chinoise, cette idée est représentée par le symbole du yin et du yang : la partie yin, noire, de la figure qui représente le principe féminin, contient un point blanc, et la partie yang, blanche, qui représente le principe masculin, contient un point noir, pour exprimer que le masculin contient toujours une part féminine, et le féminin toujours une part masculine.

Les hommes et les femmes ne sont pas des principes abstraits, mais des combinaisons vivantes de masculin et de féminin dans des proportions inégales, et d’une incarnation à l’autre, ils peuvent changer de sexe. En effet, chacun doit faire l’expérience des deux conditions, afin d’acquérir en plénitude les qualités du principe masculin et celles du principe féminin."


Pensée du jeudi 13 mars 2014
 
le Bien que nous souhaitons peut être réalisé par d’autres -
"Les moyens matériels vous manquent souvent pour faire autant de bien que vous le souhaiteriez. Mais que cela ne vous attriste pas, car vous n’êtes quand même pas tout à fait démuni. Vous croisez un mendiant dans la rue, vous lui donnez un peu d’argent en regrettant de ne pas pouvoir lui en donner davantage, mais vous pouvez l’aider d’une autre façon : en utilisant la puissance de la pensée. Arrêtez-vous un peu plus loin, et là, discrètement, concentrez-vous en projetant sur tous les passants votre désir de faire quelque chose pour cet homme. Ce que vous ne pouvez pas donner vous-même, d’autres, inspirés par vous, seront conduits à le donner et vous aurez aussi participé à ce don.
Ne croyez pas que votre générosité se limite à ce que vous êtes capable de faire, vous, personnellement ; elle peut également se manifester à travers d’autres. Et cela est valable aussi pour tous les cas où vous voulez aider quelqu’un sans en avoir les possibilités matérielles. Ce qui compte, c’est de toujours nourrir en soi de bonnes pensées et de les nourrir assez puissamment pour qu’elles finissent par inspirer à d’autres le désir de les réaliser."

 

 
Pensée du mercredi 12 mars 2014
 
Humilité, lucidité sur soi-même et patience sont nécessaires pour acquérir la maîtrise de la vie psychique -
"Il est inutile et même dangereux de s’engager dans la voie spirituelle tant qu’on n’a pas compris à quel point la nature inférieure de l’homme est coriace, difficile à dompter, et combien le travail à faire sur elle demande de vigilance, de persévérance, d’humilité, d’abnégation. Beaucoup trop de personnes s’imaginent qu’à partir du moment où elles ont trouvé un enseignement spirituel, elles vont rapidement progresser : elles liront quelques livres, feront quelques exercices de concentration, de méditation, et les résultats seront bientôt là. Malheureusement, non : la maîtrise de la vie psychique est tellement plus difficile qu’on ne le croit ! Il existe bien dans chaque être humain cette capacité de renouvellement, de régénération, de divinisation, mais c’est un processus très lent, et ce que chacun peut réaliser dans cette existence dépend du travail déjà entrepris dans ses incarnations antérieures.
Pour celui qui n’a pas conscience des difficultés qu’il va inévitablement rencontrer, il est impossible de progresser. Alors il sera déçu, il souffrira et fera aussi souffrir les autres. L’engagement dans la voie spirituelle exige lucidité sur soi-même, patience et humilité."

Pensée du mardi 11 mars 2014

« Vous voulez être heureux ? Apprenez à cultiver cette qualité si précieuse : l’attention. L’attention entretient l’amour, elle entretient la vie. Prêtez attention non seulement aux êtres humains, mais aussi aux arbres, aux fleurs que vous rencontrez sur votre route, aux gouttes de rosée, aux papillons, aux insectes, aux oiseaux…
Et vous pouvez également appliquer ce conseil à votre vie intérieure. Car en vous aussi il y a des papillons qui voltigent de fleur en fleur et des oiseaux qui chantent dans les arbres. Parfois, en ouvrant votre fenêtre le matin, vous vous sentez habité par des présences invisibles, pareilles à celles qui peuplent les contes de fées, et c’est comme si des gouttes de rosée brillaient sur les fleurs et les feuilles de votre âme. Portez attention à cette sensation, ne la laissez pas s’évanouir sans essayer de la retenir au moins un moment, car c’est elle qui mettra de la poésie dans votre journée. »

Pensée du lundi 10 mars 2014

« Quand elles n’ont plus autant d’énergies pour continuer à courir après la gloire, le pouvoir ou les plaisirs, combien de personnes décident qu’il est temps de s’assagir, ou même de penser au Ciel et de se mettre à son service ! Mais qu’est-ce qu’elles s’imaginent ? Quand on n’a plus d’énergies pour la terre, on n’en a pas davantage pour le service du Ciel, c’est clair. Se retirer du monde et s’occuper de temps à autre de quelques bonnes œuvres parce qu’on n’a plus suffisamment de forces pour les affaires, les intrigues et les aventures passionnelles, ce n’est pas de la sagesse, et c’est encore moins de la spiritualité.
Tous ceux qui, dans leur jeunesse, ont choisi d’épouser le diable – disons les choses ainsi ! – ne doivent pas se faire d’illusions : c’est le diable qui les répudie dans leur vieillesse. Il n’est pas bête, le diable, il sait où sont ses intérêts. Quand il n’a plus rien à prendre chez les humains, il se débarrasse d’eux. Ces naïfs croient divorcer de leur plein gré, mais pas du tout, c’est le diable qui les chasse : avec quel plaisir il renvoie vers Dieu tous ces infirmes, ces handicapés dont il ne peut plus rien tirer ! Et alors quel spectacle pour le Seigneur, et surtout quel renfort magnifique Il reçoit là pour son travail !… »

Pensée du dimanche 9 mars 2014

« L’amour se caractérise par la capacité à découvrir sans cesse quelque chose de nouveau dans la nature et chez les humains. Spontanément, deux êtres qui s’aiment se voient toujours nouveaux et ils s’émerveillent l’un de l’autre sans se lasser. Chaque jour ils ont l’impression de se rencontrer pour la première fois. Mais s’il arrive un moment où, pour quelque raison que ce soit, ils ne s’aiment plus, c’est la monotonie et l’ennui qui s’installent. Ils se lassent l’un de l’autre et se mettent à la recherche d’un nouvel amour… pour pouvoir recommencer à s’émerveiller chaque jour.
Oui, l’amour a des yeux très spéciaux. C’est pourquoi, si vous aimez la nature, elle aussi vous apparaîtra toujours nouvelle. Vous allez le matin assister au lever du soleil : c’est en apparence toujours la même boule de feu que vous avez devant vous ; mais si vous l’aimez, vous aurez chaque matin la sensation de le voir pour la première fois et vous recevrez de lui une lumière nouvelle, une chaleur nouvelle et des énergies nouvelles. »

Pensée du samedi 8 mars 2014

« De combien de critiques les moralistes ont accablé les femmes ! Parmi les reproches qu’ils leur ont faits, figure en particulier leur désir d’être belles et le soin qu’elles y apportent. Ce n’est pourtant pas criminel, au contraire ; si les femmes ne recherchaient pas la beauté, on aurait vu venir au monde des générations de la plus grande laideur. C’est la mère qui a pour mission de transmettre la beauté à ses enfants. Puisque c’est elle qui les forme, pendant le temps qu’elle les porte, il serait tellement bénéfique pour ses enfants qu’elle se concentre sur tout ce qui est beau dans la nature, dans l’art, et qu’elle s’en nourrisse afin que cette beauté s’incarne en eux ! Les moralistes qui ont condamné chez les femmes le désir d’être belles ne voyaient en elles que des séductrices. Ils n’ont pas compris que c’est la tâche de la femme, de la mère, de modeler la race humaine. Les hommes ne pensent pas beaucoup à la beauté, ils ont d’autres préoccupations ; alors, si les femmes n’y pensaient pas !…
Les femmes ont donc raison de chercher la beauté, afin de pouvoir la transmettre à leurs enfants. Il faut seulement qu’elles comprennent où et comment chercher la vraie beauté, la beauté spirituelle, afin qu’à travers leurs enfants elles fassent un jour descendre sur la terre les splendeurs du monde divin. »

Pensée du vendredi 7 mars 2014
 
l’Âme - entre limitation et dilatation
"L’enfant qui vient au monde est une âme qui se limite, et elle souffre de devoir entrer dans un corps où elle se sent tellement à l’étroit. Même si cette limitation est nécessaire pour permettre la manifestation dans le plan physique, l’être humain ne doit jamais oublier que son âme a pour demeure l’espace infini. Enfermée dans un corps, elle aspire à cette immensité où elle se dilate, se réjouit. C’est pourquoi, même si un être redoute la mort parce qu’il la ressent, ce qui est naturel, comme un arrachement, son âme l’accueille comme une libération.
L’existence est faite de ces deux mouvements, la limitation et la dilatation, que chacun doit apprendre à équilibrer. Même quand vous êtes sollicité de toutes parts, si vous ne voulez pas que votre âme finisse par étouffer, s’étioler, ne vous laissez pas accaparer par les tâches et les soucis matériels. De temps à autre, quelques instants au moins, arrêtez-vous, entrez en vous-même, ouvrez-vous à l’immensité… puis retournez à vos occupations."

 


Pensée du jeudi 6 mars 2014
 
le Mal - s’efforcer de ne pas céder devant lui
"Sous quelque forme qu’il se présente, efforcez-vous de ne jamais céder devant le mal. N’acceptez jamais qu’une douleur, un handicap physique vous enlève le goût de vivre. Bien sûr, c’est difficile, mais même si vous êtes en train de perdre la vue ou l’ouïe, même si vous êtes paralysé d’un membre, prenez conscience de toutes les facultés, toutes les possibilités que vous possédez encore et grâce auxquelles vous pouvez continuer à agir, à apprendre, à vous perfectionner. Et il vous reste surtout la pensée et le sentiment qui sont les véritables puissances. Faites appel à eux, car c’est en cultivant des pensées justes et des sentiments généreux que vous créerez en vous des dispositions bénéfiques qui contribueront même à améliorer votre état physique.
Le mal prend souvent les proportions que nous lui donnons, et en se résignant, en se laissant aller au découragement, on le renforce. Mais avez-vous vu une poule défendre ses poussins à l’approche d’un chien ? Elle se hérisse, gonfle ses plumes, caquète bruyamment pour lui faire peur. Agissez de même avec le mal : enflez-vous, faites-lui face, montrez-lui que vous êtes capable de vous défendre, il sera obligé de reculer."

Pensée du mercredi 5 mars 2014
 
la Nutrition - la mastication libère les particules éthériques des aliments
"Se nourrir correctement suppose d’abord le respect de certaines règles comme manger consciemment, lentement, et bien mastiquer les aliments. Manger lentement et bien mastiquer facilite la digestion. Si on avale les aliments sans les mâcher suffisamment, l’estomac, qui les reçoit, doit fournir pour les digérer un surcroît d’énergie, et cela fatigue l’organisme. Il faut aussi savoir que la bouche, qui est la première à recevoir la nourriture, est une sorte de laboratoire, et elle joue déjà, sur un plan plus subtil, le rôle d’un véritable estomac : grâce à des glandes situées sur la langue et sous la langue, elle absorbe les particules éthériques des aliments.
Vous commencez à manger… Pourquoi, dès les premières bouchées, avant même que les aliments aient pu être digérés, sentez-vous que vous êtes déjà en train de reprendre des forces ? Parce qu’en passant par la bouche, ces aliments ont libéré des énergies, des particules éthériques qui sont allées nourrir votre système nerveux. Avant que l’estomac ait pu transformer les aliments, le système nerveux est déjà nourri. Si certaines personnes se sentent fatiguées après un repas, c’est qu’elles ont avalé la nourriture sans l’avoir bien mâchée ; et l’organisme doit dépenser davantage d’énergies pour la digérer. Leur fatigue vient de là. Qu’elles apprennent à bien mastiquer et elles se lèveront de table, légères et pleines d’entrain."

Pensée du mardi 4 mars 2014 

« Celui qui embrasse un enseignement spirituel ne doit pas se croire obligé de s’éloigner ou de se couper des autres sous prétexte qu’ils ne partagent pas sa philosophie. Rien ne lui interdit de fréquenter toutes sortes de personnes, il doit seulement être assez fort et éclairé pour ne pas perdre sa direction. Qu’il aille au travail, qu’il fasse des rencontres, qu’il noue des amitiés. Mais tout en restant ouvert aux autres, il ne doit rien perdre de son idéal et ne jamais transiger sur certains principes. Qu’il cultive une attitude de fermeté vis-à-vis de tout ce qui pourrait le faire dévier de sa route.
Chaque jour, les occasions d’être tenté, séduit, et de s’égarer ne manquent pas, et ceux qui vous les présentent ne manquent pas non plus. Souvent même ils sont très sympathiques, charmants. Gardez-leur votre sympathie, pourquoi pas ? Leur fréquentation peut vous instruire. Ne les fuyez pas, aidez-les à y voir plus clair si vous le pouvez, mais ne vous laissez pas influencer, restez fidèle à votre philosophie spirituelle. Faire preuve de souplesse, de compréhension, tout en restant solide et inébranlable dans ses convictions, son engagement spirituel, est un équilibre difficile à trouver, mais il faut y travailler. »

Pensée du lundi 3 mars 2014
 
le Présent oriente et construit l’avenir -

"Chaque matin, au réveil, dites-vous que rien n’est plus important que de bien vivre cette journée qui commence. Car c’est aujourd’hui qui compte. De même que le présent n’est rien d’autre qu’une conséquence du passé, l’avenir est un prolongement du présent. Passé, présent, avenir, tout se tient. L’avenir s’édifiera sur les fondations que vous posez aujourd’hui. Le passé est passé, mais il a mis au monde le présent, et le présent porte les germes de l’avenir. Donc, en vous concentrant sur le moment présent, vous construisez votre avenir.
D’une certaine façon, le passé est toujours vivant, et il agit encore sur votre présent, mais vous n’êtes pas obligé de lui laisser prendre le pouvoir. C’est au présent que vous devez donner le pouvoir, afin qu’il domine le passé, qu’il le terrasse même, s’il le faut, pour agir sur lui. Quand le passé était le présent, il était tout-puissant. Maintenant qu’il est le passé, il est subordonné au présent, et c’est le présent qui a voix au chapitre. Le passé est révolu et l’avenir est justement « à venir ». Maintenant le présent doit imposer sa volonté, afin de transformer le passé et d’orienter l’avenir." 

 

Pensée du dimanche 2 mars 2014

« Vous lisez ou vous entendez prononcer une phrase qui vous émerveille, et pendant quelques minutes vous avez la sensation de naître à une nouvelle vie. Ce n’est pas une illusion : toute parole de vérité possède un réel pouvoir magique. Mais ne vous contentez pas d’être ébloui. Prenez cette parole et essayez de vivre toute la journée avec elle. En travaillant, en vous promenant, en écoutant de la musique, en faisant votre toilette, le ménage ou la cuisine, ne la lâchez pas. Étudiez-la sous tous ses aspects, essayez de comprendre comment elle se vérifie dans tous les domaines et dans toutes les circonstances de la vie, afin de la faire s’incarner en vous. Voilà la seule bonne méthode de travail.
Toutes les vérités que vous avez su faire chair et os en vous, même si un jour vous perdez la mémoire, vous ne les oublierez pas. Vous ne saurez peut-être pas les exprimer par des mots, parce que la mémoire en tant que faculté du corps mental vous aura quitté, mais plus profondément leur empreinte restera en vous : vous partirez dans l’autre monde avec la connaissance de ces vérités et quand vous reviendrez, vous les apporterez à nouveau avec vous, parce qu’elles formeront la quintessence de votre être. »

Pensée du samedi 1 mars 2014
 
les Efforts nous maintiennent en vie et en santé -
"Quand rien ne les oblige à faire des efforts, les humains ont tendance à se laisser aller. Il leur faut des difficultés, des épreuves, alors là ils se reprennent et mobilisent leurs énergies pour redresser la situation. Quand ils y sont parvenus, ils se relâchent et retombent dans la négligence, la paresse. Il n’est pas bon d’ajuster son comportement aux variations du monde extérieur. Quels que soient les événements, vous devez continuer à faire des efforts, car c’est eux qui vous maintiennent en vie et en santé. Les conditions s’améliorent, les difficultés s’aplanissent ?… Tant mieux, mais ce n’est pas une raison pour cesser de faire des efforts physiques, affectifs, intellectuels. Voilà la règle pour les véritables spiritualistes.
La pratique spirituelle est fondée sur des méthodes très simples, mais dont l’application nécessite une grande persévérance. Pour acquérir la lumière, la paix, l’amour, la force, vous avez chaque jour de nouveaux efforts à faire : des pensées à nourrir, des paroles à prononcer, des gestes à exécuter. Alors, c’est la Mère nature elle-même qui vous dit : « Je reconnais ces pensées, ces paroles, ces gestes : ils vibrent en harmonie avec ce qui existe de plus beau et de plus lumineux en moi. Voici, je te donne mes bénédictions. »"

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