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2014-12-30T06:49:00+01:00

Pensée du jour Omraam Mikhaël Aïvanhov - mois de Décembre 2014

Publié par Rose du Sud

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Pensée du mardi 30 décembre 2014
d’une Année à l’autre -
"Une année se termine et une autre va commencer… Mais avant de penser à l’année qui vient, arrêtez-vous un moment sur celle qui s’en va et adressez-vous à elle, car une année est un être vivant, et vous pouvez donc lui parler. Au moment de la quitter, demandez-lui de se souvenir de vous. Puisqu’elle est vivante, elle ne reste pas inactive, elle a enregistré non seulement vos actes, mais aussi vos désirs, vos sentiments, vos pensées. Le dernier jour elle fait son rapport aux Seigneurs des destinées et elle vous relie à l’année nouvelle : sachez la saluer avant qu’elle ne s’en aille définitivement.
Quant à l’année nouvelle, vous pouvez commencer à la préparer consciemment, en vous fixant un but : une mauvaise habitude à perdre, une qualité à développer, un projet à réaliser pour le bien de tous. Par cette pensée, ce désir, c’est comme si vous posiez une première pierre, et alors tous les esprits bienfaisants de la nature vous apporteront leur aide, afin que vous puissiez réaliser votre projet. Voilà quelles doivent être aujourd’hui vos préoccupations : recevoir l’année nouvelle en vous mettant sous la protection de la lumière."
 
     
Pensée du lundi 29 décembre 2014
« Dans l’Arbre séphirotique, au-delà de la séphira Kéther, les kabbalistes mentionnent un espace qu’ils ont appelé Aïn Soph Aur : lumière sans fin. Cet espace est impénétrable : c’est l’Absolu, le Non-manifesté, dont on n’a aucune notion et dont Kéther, en tant que Dieu manifesté, est une émanation. La Divinité telle que les kabbalistes la comprennent est au-delà de la lumière et des ténèbres, au-delà des mondes créés. Et pour mieux exprimer encore ce mystère de la Divinité, au-delà d’Aïn Soph Aur ils ont conçu une région qu’ils ont appelée Aïn Soph : « sans fin » et encore au-delà d’Aïn Soph, Aïn : « sans ». À l’origine de l’univers il y a donc une négation. Mais « sans », qui signifie l’absence, le manque, ne signifie pourtant pas la non-existence. Aïn n’est pas le néant tel que certains ont imaginé le Nirvana des hindous. En fait, c’est exactement l’inverse. Aïn Soph Aur, comme le Nirvana, est une vie au-delà de la création, de la manifestation, et tellement au-delà qu’elle semble être une non-existence.
Aïn Soph Aur… Aïn Soph… Aïn… c’est ainsi que les kabbalistes ont cherché à rendre compte de réalités qui échappent à notre entendement. L’Absolu, il est impossible d’en parler, mais nous devons en garder la notion et remercier Dieu, notre Père céleste qui nous aime, qui nous aide à grandir et qui travaille dans notre cœur, car même insuffisants, les mots nous font pressentir cette réalité. »
 
 
 
Pensée du dimanche 28 décembre 2014
« Donner comme le soleil, aimer comme le soleil… voilà un idéal que nous devons nous efforcer de réaliser un jour. Chaque fois que la conduite des humains nous inspire de l’impatience, de l’irritation, du découragement, nous avons une solution pour les surmonter : nous tourner vers le soleil qui, là-haut, continue inlassablement, imperturbablement à briller. Vous direz : « Mais c’est facile pour le soleil de rester imperturbable : il est si loin, rien ne l’atteint. » Oui, mais nous aussi, nous avons quelque chose en nous qui reste toujours hors d’atteinte : notre Moi supérieur, car notre Moi supérieur est dans le soleil. C’est en regardant vers le soleil que nous arriverons un jour à rejoindre notre Moi supérieur et à vivre comme lui dans une paix que rien ne peut troubler.
Notre Moi supérieur habite dans le soleil où il participe au travail divin. Lorsque nous saurons harmoniser les vibrations de notre moi terrestre avec celles de notre Moi céleste, nous découvrirons que le Créateur a déposé en nous des trésors de générosité et d’amour. » 
 
  
Pensée du samedi 27 décembre 2014
la Vie spirituelle, une marche vers le sommet -
"Maintenant que vous vous êtes engagé sur le chemin de la lumière, vous devez poursuivre inlassablement votre marche sans vous demander quand vous arriverez au but. L’un après l’autre, les obstacles cèdent devant celui qui ne s’arrête pas en chemin, car il a mis en mouvement les puissantes lois de la vie.
La vie spirituelle est comme l’ascension d’une haute montagne. Sur ses sentiers ardus, escarpés, il est inévitable que vous passiez par des moments de faiblesse, de découragement, et il peut aussi arriver que vous fassiez une chute, mais ce n’est pas une raison pour vous arrêter. Par moments, vous aurez peut-être même la sensation de mourir… mais vous ressusciterez ! Au plus profond du découragement, vous devrez vous accrocher à cette mystérieuse lueur qui reste encore en vous : elle vous dira que « la mort » par laquelle vous êtes en train de passer sera suivie d’une résurrection, et que personne mieux que vous ne peut vous secourir, car toutes les puissances de vie sont en vous. Et vous poursuivrez votre marche vers le sommet."
 
   
Pensée du vendredi 26 décembre 2014
« Pourquoi, après un moment de grande intensité spirituelle, éprouvez-vous un tel sentiment de plénitude ? Extérieurement, pourtant, il ne vous est rien arrivé ; rien n’a changé, mais vous vous sentez comblé comme si vous vous étiez nourri, abreuvé… Les ignorants diront, bien sûr, que c’est une illusion. Mais alors, quand ils souffrent, quand ils sont malheureux sans cause apparente, ces moments d’angoisse, de dépression, sont aussi des illusions ? Eh non, pour eux, c’est une réalité, la souffrance est une réalité, mais la joie spirituelle est une illusion. Quel raisonnement !
Tâchez désormais de vous élever jusqu’aux régions de l’âme et de l’esprit, mangez, buvez, et vous saurez ce qu’est la plénitude. À ce moment-là ce ne sera plus comme dans le plan physique où chaque jour on est obligé de manger pour ne pas se retrouver affamé et sans forces. La nourriture que vous prenez dans les régions sublimes vous rassasie pendant des jours et des jours. Le monde divin est fait d’éléments d’une telle richesse que, si vous arrivez une fois seulement à les goûter, la sensation de plénitude qu’ils donnent ne vous quittera plus. Rien ne pourra vous enlever cette sensation d’éternité. Évidemment, avant d’en arriver là, vous devrez vous exercer longtemps et chercher chaque jour votre nourriture, comme pour l’estomac physique. Mais si vous cherchez à participer aux festins de l’âme et de l’esprit, un jour rien ne vous enlèvera plus cette sensation de plénitude. »
 
  
Pensée du jeudi 25 décembre 2014
« Chaque année, le 25 décembre à minuit, les chrétiens célèbrent la naissance de Jésus. C’est Noël. Il n’existe aucune preuve que Jésus soit né un 25 décembre, ni même en hiver, et on n’est même pas tout à fait sûr de l’année… Mais, comme la place de Pâques, celle de Noël dans le calendrier nous amène à comprendre que cette fête doit être interprétée symboliquement.
L’hiver est cette saison où, dans les graines mises en terre, se fait un long travail de germination qui aboutira, au printemps, à l’éclosion d’une multitude d’existences nouvelles. Un travail analogue se fait dans le psychisme de chaque être : dans cette terre obscure qu’est sa nature inférieure, la semence du Moi divin, le Christ, doit commencer à germer. C’est cet événement que les chrétiens célèbrent à Noël : à minuit, au moment de la plus grande obscurité, a lieu une naissance. C’est pourquoi, malgré le froid et l’obscurité, Noël est aussi la fête de la lumière.
Certains diront qu’ils ne sont pas chrétiens et qu’ils n’ont que faire de la naissance du Christ. Eh bien, qu’ils l’appellent d’un autre nom, s’ils préfèrent : quelle que soit leur religion, et même s’ils n’en ont pas, tous les êtres humains ont été créés à l’image de Dieu, et cette image est en eux-mêmes comme un germe qu’ils doivent rechercher pour le faire éclore. »
  
  
Pensée du mercredi 24 décembre 2014
« Les fêtes chrétiennes sont, pour la plupart, la survivance, sous une autre forme et avec une autre signification, d’antiques fêtes païennes en relation avec la vie de la nature. À leur approche on organise des réjouissance : on pense aux cadeaux qu’on va offrir et recevoir, aux repas où on invitera des parents, des amis, aux décorations dans la maison, dans les rues, aux nouvelles toilettes, et même aux déguisements. Pour tous, une fête est une rupture bénéfique dans la suite souvent monotone des jours.
Mais dans une École initiatique, nous voyons dans les fêtes bien autre chose que des occasions de faire des festins, d’accrocher des décorations et de passer quelques moments agréables. Chacun s’efforce de capter dans les régions subtiles des courants d’énergies qui vivifieront, régénéreront son cœur et son âme. Il sait aussi que dans cette atmosphère d’échanges joyeux, des entités lumineuses viennent puiser des éléments dont elles se serviront ensuite afin de poursuivre leur travail à travers le monde. Pour les aider dans ce travail, il leur confie sa joie, toute la richesse spirituelle que lui procure cette fête, afin que d’autres en bénéficient. Et cette joie, cette richesse lui reviennent amplifiées. »
 
 
 
Pensée du mardi 23 décembre 2014
« Chaque matin, en vous réveillant, appelez tout d’abord la joie et l’amour. Au lieu de commencer la journée en pensant aux différentes tâches qui vous attendent, dites : « Seigneur Dieu, je Te remercie de me retrouver encore vivant, de pouvoir respirer, manger, marcher, regarder, entendre, penser, aimer, car ce sont des trésors inestimables. » Puis levez-vous joyeusement.
Et apprenez à remercier aussi pour chaque désagrément de la vie, car c’est la meilleure façon de les neutraliser. Si vous commencez à vous plaindre et à vous révolter, vous serez de plus en plus accablé. Mais si vous dites : « Ô Seigneur, merci, il y a certainement une raison pour que je rencontre cet obstacle, je dois avoir encore quelque chose à apprendre », vous sentirez que vous transformez peu à peu vos difficultés en or et en pierres précieuses. Oui, c’est comme si vous les recouvriez d’une poudre d’or ou de cristal : elles apparaissent sous un autre jour. Rien ne peut résister devant la gratitude. Alors, chaque jour remerciez le Ciel jusqu’à sentir que tout ce qui vous arrive est pour votre bien. Remerciez pour ce que vous avez et pour ce que vous n’avez pas, pour ce qui vous réjouit et pour ce qui vous fait souffrir. Même malheureux, vous devez trouver une raison de remercier. C’est ainsi que vous entretiendrez en vous la flamme de la vie
 
 
 
Pensée du lundi 22 décembre 2014
le Silence, essence de la Divinité -
"Le sage à qui vous poserez la question : « Qu’est-ce que Dieu ? » gardera le silence, car à cette question on ne peut répondre que par le silence. Seul le silence, le vrai silence, arrive à exprimer l’essence de la Divinité. Dire que Dieu est amour, sagesse, puissance, justice… c’est vrai, mais ces mots ne saisissent rien de son infini, de son éternité, de sa perfection. On ne connaît pas Dieu en parlant ou en écoutant parler de Lui, on Le connaît en s’efforçant d’entrer en soi-même afin d’atteindre cette région qui est justement silence.
Le silence est la région la plus élevée de notre âme et, au moment où nous atteignons cette région, nous entrons dans la lumière cosmique. La lumière est la quintessence de l’univers. Tout ce que nous voyons autour de nous, et même ce que nous ne voyons pas, est traversé, imprégné de lumière. Le but du silence, justement, c’est la fusion avec cette lumière vivante, puissante, qui pénètre toute la création. Quand nous nous fusionnons avec cette lumière, nous ne nous demandons plus ce qu’est Dieu et encore moins s’Il existe."
     

Pensée du dimanche 21 décembre 2014
L’hiver - sous l’influence de Gabriel, archange de Iésod
"Le 21 décembre a lieu le solstice d’hiver. Cet événement est placé sous l’influence de Gabriel, l’archange de Iésod, la séphira de la Lune. Gabriel signifie « Dieu est ma force. » Quelques jours après, le 25 décembre, on célèbre Noël, la naissance du Christ.
L’archange Gabriel dirige les forces qui ont la propriété de condenser la matière, c’est pourquoi symboliquement il préside à la naissance des enfants. Car qu’est-ce qu’une naissance ? Le passage de l’invisible au visible, de l’immatériel au matériel. Et c’est la Lune, principe féminin par excellence, qui a un rôle essentiel à jouer dans toutes les formes d’incarnation, celles du plan physique comme celles du plan spirituel.
Pendant l’hiver, où les nuits sont les plus longues et où la vie de la nature se ralentit, les conditions sont moins propices aux manifestations extérieures et plus favorables à la vie intérieure : l’homme est naturellement porté à entrer en lui-même afin de préparer la naissance de cet enfant de lumière que certaines traditions ont symbolisé par une perle. La perle, qui vient de la mer, est comme elle en relation avec la lune. Sur l’Arbre séphirotique, l’huître perlière, c’est Iésod, cette séphira qui, dans le corps cosmique, représente les organes génitaux. C’est là que la perle doit se former. Cette perle représente la quintessence la plus pure de l’amour. L’huître perlière, c’est le principe féminin qui met au monde une perle, l’enfant divin."
 
Pensée du samedi 20 décembre 2014
se Souvenir de sa vie actuelle dans une prochaine incarnation. Une méthode -
"« Je suis sûr d’être déjà venu sur la terre, m’ont dit certaines personnes, et je sais que je reviendrai. Mais je n’ai aucun souvenir de mes existences antérieures, et je voudrais ne pas tout oublier de celle-ci. Y a-t-il une méthode pour se souvenir de certaines expériences qu’on a faites, de certaines personnes qu’on a rencontrées ? »… Oui, il existe des méthodes et pour ceux qui le souhaitent je peux au moins en indiquer une.
Prenez comme point de départ une montagne, par exemple, ou quelque chose qui résistera à l’usure du temps. Cela peut être aussi un monument mondialement connu, car même s’il est détruit un jour, il en restera des reproductions dans certains livres. Regardez souvent cette montagne ou ce monument, et dites-vous : « Lorsqu’il m’arrivera de le voir à nouveau dans une prochaine vie, je veux que tel et tel événements de ma vie actuelle me reviennent en mémoire. » C’est un lien que vous créez ainsi entre vous et cette montagne ou cet édifice. Vous imprimez un cliché qui continuera à travailler en vous, et lorsque vous vous réincarnerez, vous reviendrez avec lui. Au moment où vous aurez sous les yeux la montagne ou le monument devant lequel vous vous étiez concentré, ce cliché réveillera la mémoire des événements de votre vie que vous aviez, au fur et à mesure, enregistrés."
 
     

Pensée du  vendredi 19 décembre 2014
 
« Ce qui fait le prix d’un enseignement spirituel, c’est que, quels que soient les événements qui se produisent dans le monde, les méthodes qu’il donne sont valables pour l’éternité : comment acquérir la maîtrise de soi, comment recevoir la lumière, comment entrer en harmonie avec toutes les forces bénéfiques et vivifiantes de l’univers… Cela restera pour toujours. Qu’il y ait la guerre ou la paix, que vous soyez pauvre ou riche, que vous ayez une famille et des amis ou que vous soyez seul, abandonné de tous, vos besoins profonds resteront les mêmes : vous aurez toujours un corps physique, un cœur, un intellect, une âme et un esprit que vous devrez nourrir, afin de vous approcher de plus en plus de votre Père céleste qui vous a créé à son image. Alors, tâchez de ne négliger aucune des vérités et des méthodes qui vous sont données. »
 
Pensée du jeudi 18 décembre 2014
« Les entités lumineuses s’attardent seulement chez les êtres qui vibrent à l’unisson avec elles, c’est pourquoi la paix, l’inspiration, la joie ne sont pour la plupart des humains que des moments très fugitifs. Pour les faire durer, nous devons apprendre à donner à ces entités les conditions dont elles ont besoin et préparer tout notre être non seulement pour les recevoir, mais pour les retenir.
D’où viennent cette paix, cette lumière, cette joie qui émanent du sage ? Même s’il ne ferme pas les yeux sur les manifestations du mal dans le monde et les souffrances qui en résultent, il reste toujours attentif au passage des entités lumineuses et il les accueille, il leur offre une demeure en lui. Il aurait conscience d’offenser le Ciel s’il laissait perdre les richesses, les bénédictions qu’il déverse chaque jour. La grande faiblesse des humains n’est pas d’être vulnérables, sensibles au mal, mais de rester là à ruminer tout ce qui est négatif. »
Pensée du mercredi 17 décembre 2014
l’Amour - chercher le lieu où son soleil ne se couche jamais
"Vous voulez conserver cette sensation de plénitude que vous apporte l’amour ? Cherchez comment ne plus dépendre de la présence physique de ceux que vous aimez. Que leur éloignement soit volontaire ou non, et même si c’est la mort qui vous les arrache, vous serez capable d’échapper au vide que crée leur absence, parce que vous vivrez dans le seul monde véritablement réel : votre monde intérieur avec lequel vous ne faites qu’un. Dès que vous sortez de votre monde intérieur, fatalement les êtres et les choses peuvent vous échapper, vous êtes à la merci des événements.
Savez-vous combien de temps les êtres auxquels vous vous êtes attaché resteront près de vous ? Non, et d’une façon ou d’une autre vous devez vous attendre à être un jour physiquement séparé d’eux. Alors, efforcez-vous de placer votre conscience dans les régions élevées où les circonstances n’ont aucune prise sur vous, là où le soleil de l’amour ne se couche jamais. Élancez-vous dans la lumière de cet éternel soleil. Aussi longtemps que ceux que vous aimez sont au-dedans de vous, aucune force au monde ne pourra vous les enlever."
     
 
 
 
Pensée du mardi 16 décembre 2014  
« Vous pouvez accepter une épreuve, vous pouvez la comprendre, admettre qu’elle est inévitable, mais en même temps éprouver de l’amertume, de la tristesse, du regret : vous pensez que ç’aurait été tellement mieux de ne pas avoir à la subir ! Dans ces conditions, dites-vous que cette épreuve n’est pas encore terminée.
Quand peut-on dire alors qu’une épreuve est terminée ? Quand nous sommes capables de nous en réjouir. Oui, nous en réjouir ! En apparence il est possible qu’elle ne nous ait rien apporté, mais encore qu’elle nous ait fait perdre beaucoup de choses, et même des êtres qui nous sont chers. Pourtant, après cette épreuve, il vient un jour où nous sentons que notre lumière, notre amour, notre force ont augmenté, que nous sommes habités par une paix et une joie que nous ne connaissions pas auparavant. À ce moment-là, et à ce moment-là seulement, nous pouvons dire que l’épreuve est terminée. »
 
Pensée du lundi 15 décembre 2014
la Poésie est inséparable de la vie -
"Pourquoi laisser la poésie à ceux qui l’écrivent ? Être poète, c’est d’abord créer la poésie dans sa propre vie en s’efforçant d’y introduire la pureté, la lumière, l’amour, la joie. C’est cette poésie-là que l’on a besoin de sentir, de respirer chez les créatures, quelque chose qui harmonise, qui vivifie…
La véritable poésie est inséparable de la vie. Alors, essayez de devenir chaque jour plus vivant. C’est tellement agréable de rencontrer des créatures dans lesquelles on sent que tout est animé, chaleureux, éclairé ! On aime un arbre parce qu’il donne des fruits, on aime une source parce que l’eau jaillit en chantant, on aime les fleurs à cause de leurs couleurs et de leurs parfums… De la même façon on aime les créatures qui s’ouvrent pour donner quelque chose de clair, de lumineux, de parfumé, de mélodieux. Apprenez à cultiver en vous cet état de jaillissement, de rayonnement. Habituez-vous à arracher de votre cœur quelques particules vivantes pour les envoyer aux autres… et vous saurez ce que c’est que vivre dans la poésie."
     
 
  
Pensée du dimanche 14 décembre 2014
« Dans quelque domaine que ce soit : politique, social, scientifique, économique, religieux, moral, on entend les gens parler de responsabilité. Présidents, ministres, généraux, directeurs, parents, professeurs, etc., tous savent qu’ils sont responsables. Des quantités d’êtres humains et d’événements dépendent d’eux, de leur conduite, de leurs décisions. Mais en réalité la notion de responsabilité s’étend bien au-delà, car toutes les créatures qui existent sont liées entre elles et s’influencent mutuellement. C’est ainsi que chacune non seulement par ses actes, mais aussi par ses pensées et ses sentiments, exerce une influence sur les autres.
Quoi qu’ils fassent, les humains sont responsables. Mais ils l’ignorent, ou, le sachant, ils n’en tiennent pas suffisamment compte, c’est pourquoi il y a tellement de souffrances dans le monde. Si vous voulez vous manifester comme des êtres utiles, bienfaisants, efforcez-vous de prendre chacune de vos activités comme une occasion de vous élever spirituellement. Même s’il vous semble que ce que vous faites ne produit aucun effet, en réalité il y a toujours quelque part, on ne sait où, quelque chose de bon qui s’éveille et reçoit une impulsion. »
  
 
 
Pensée du samedi 13 décembre 2014
la Divinité que nous devons voir dans chaque être -
"Comment sont les êtres, là, maintenant, ce n’est pas ce qui intéresse tellement un Maître spirituel. Lui, ce qu’il s’efforce de voir, ce sont les divinités qu’ils deviendront un jour. Chaque fois qu’il les rencontre, il pense à cette étincelle divine, enfouie en eux, et qui attend le moment où ils lui donneront enfin la possibilité de se manifester. Voilà la plus haute expression de l’amour : savoir se lier à l’étincelle divine présente dans chaque créature, pour l’alimenter, la renforcer.
Combien les relations entre les humains seraient différentes si, lorsqu’ils se rencontrent, ils pouvaient penser que l’homme ou la femme qu’ils ont en face d’eux est le dépositaire d’une étincelle jaillie du feu divin ! Même dans un criminel, il faut chercher cette étincelle pour essayer de la ranimer. Ce n’est pas toujours possible, mais il faut au moins essayer. On ne sait pas toujours pourquoi certains êtres se sont laissé entraîner sur une mauvaise pente, et on ne sait pas non plus ce qui peut un jour les redresser et ranimer soudain l’étincelle en eux. C’est pourquoi il ne faut jamais porter de jugement définitif sur qui que ce soit."
 
 
 
Pensée du vendredi 12 décembre 2014
les Larmes - il y en a de précieuses qu’il est souhaitable de conserver
"Les larmes sont généralement associées à la peine, mais en réalité n’importe quelle émotion peut provoquer des larmes. Et comme les émotions sont de toutes sortes, les larmes aussi sont de toutes sortes. Il y a des larmes de chagrin, de colère, de dépit, et il y a aussi des larmes d’attendrissement, de joie, d’émerveillement. Un paysage, un poème, un tableau, une musique peuvent remplir nos yeux de larmes, mais également certaines conduites humaines quand elles sont particulièrement belles et nobles. Et combien de mystiques, décrivant leurs expériences, ont parlé des larmes provoquées par l’extase !
Dans la mesure où elles libèrent une certaine tension intérieure, quelle que soit leur origine, les larmes ont leur utilité. Mais évidemment les larmes de joie et d’émerveillement sont les plus bénéfiques. N’essuyez pas ces larmes d’un revers de main, car elles sont précieuses. Le Maître Peter Deunov conseillait de les recueillir dans un tissu propre et de les conserver soigneusement, car elles possèdent une sorte de pouvoir magique. Les larmes de dépit, de chagrin, de colère, laissez-les sécher, elles ne sont qu’un peu d’eau salée, mais conservez les larmes qui ont été arrachées aux profondeurs de votre âme."
 
 
 
Pensée du jeudi 11 décembre 2014   
« Pour avoir des notions justes sur la nature et les activités de ce principe spirituel qu’on appelle l’âme, il faut d’abord prendre conscience qu’elle n’est pas enfermée dans notre corps physique : elle s’étend bien au-delà et, tout en continuant à l’animer, elle voyage pour visiter les régions de l’espace les plus lointaines et les entités qui les peuplent. Car l’âme qui habite en chaque être humain est une infime partie de l’Âme universelle. Et elle se sent si limitée, si à l’étroit dans le corps que son seul désir est de se déployer dans l’espace pour se fondre dans cette immensité à laquelle elle appartient. Aussi est-ce une erreur de croire, comme on le fait généralement, que l’âme tient toute entière dans l’être humain. En réalité, non, seule une toute petite parcelle de son âme a en lui sa demeure ; la presque totalité reste extérieure à lui et mène une vie indépendante dans l’océan cosmique.
Notre âme dépasse donc de beaucoup ce que nous pouvons nous imaginer d’elle : cette partie de l’Âme universelle qui est en nous tend sans arrêt vers l’immensité, vers l’infini. »
 
Pensée du mercredi 10 décembre 2014
les Richesses matérielles et spirituelles - pour les conserver en faire bénéficier les autres
"On ne voit en apparence qu’injustices sur la terre. Les uns ont tout : santé, beauté, richesses, talents, vertus, et d’autres très peu. Mais, en réalité, rien de ce que les humains ont reçu à la naissance ne leur a été donné par hasard, de façon arbitraire. Tout ce qu’ils possèdent aujourd’hui, ils ont travaillé dans leurs autres incarnations pour l’obtenir, et aussi bien dans le plan matériel que dans les plans psychique et spirituel, la Justice cosmique leur a distribué des dons équivalents à leurs efforts.
Tout ce que nous possédons est donc la conséquence de nombreuses vies d’efforts. Mais attention, cela ne nous est pas donné définitivement. Pour conserver cet acquis dans les prochaines incarnations, c’est à chacun de s’en servir raisonnablement et surtout d’en faire bénéficier les autres. Tous les dons que nous avons reçus à la naissance, nous devons les faire fructifier, et la meilleure façon de les faire fructifier, c’est de les utiliser non pas seulement pour nous, mais aussi pour aider les autres en cherchant à faciliter leur évolution."
      
 
Pensée du mardi 09 décembre 2014
« Lorsqu’elles se trouvent soudain plongées dans des situations inextricables, combien de personnes prennent conscience de leur ignorance, de leur faiblesse, de leur impuissance devant les événements, et elles se disent : « Si j’avais su !… » Elles auraient pu savoir, car de bonnes conditions leur avaient été données à un certain moment pour apprendre, s’exercer, se renforcer, et elles en étaient conscientes. Mais elles ont négligé ces conditions : abandonner de vieilles habitudes demande trop d’efforts ; et d’autres activités, d’autres projets les tentaient davantage. Et maintenant les voilà dans l’impasse !
Vous demanderez : « Et si nous avons laissé passer ces bonnes conditions, est-ce que maintenant c’est trop tard ? Est-ce que tout est définitivement perdu ? »… Non, il n’est jamais trop tard, le chemin de la vie est long, infini, et d’autres conditions favorables vous seront données dans cette existence ou dans une autre. Tâchez alors de ne pas les laisser passer, afin de ne pas avoir une fois de plus à vous dire : si j’avais su !…
 
 
 
Pensée du lundi 08 décembre 2014
les Victoires sur nous-mêmes - en attribuer le mérite au Seigneur
"La nature inférieure en l’homme est tellement obstinée, coriace, que chaque victoire qu’il remporte sur elle est un véritable exploit. Mais au lieu de se glorifier de cet exploit, qu’il reste modeste. Et pour rester modeste, il doit penser que ce n’est pas à lui qu’en revient le mérite, mais au Seigneur qui lui a donné le pouvoir de maîtriser ses mauvais instincts. Donc, chaque fois que vous remportez une victoire sur vous-même, dites : « Ce n’est pas à moi, Seigneur, mais à ton Nom qu’en revient le mérite. » Sinon, vous risquez de tomber dans les pièges de l’orgueil et on sait dans quelles chutes vertigineuses tellement d’orgueilleux ont été entraînés.
Et quand on vous félicite parce que vous avez bien agi ou fait un bon travail, dites encore : « Ce n‘est pas à moi, Seigneur, mais à ton Nom qu’en revient la gloire. » Car en faisant votre éloge, il arrive qu’involontairement – ou parfois volontairement ! – les autres vous tendent des pièges : vous risquez de prendre leurs paroles trop au sérieux, vous vous croirez déjà arrivé au sommet, et c’est dangereux pour votre développement intérieur, car vous avez toujours des progrès à faire.
Ce n’est pas pour notre gloire, mais pour la gloire de Dieu que nous devons toujours travailler, car dans cette impersonnalité nous nous rapprochons de notre Moi supérieur. La véritable gloire de l’être humain, c’est la gloire de Dieu."
     
 
 
Pensée du dimanche 07 décembre 2014
« Toutes les paroles de vérité que vous avez lues ou entendues remonteront un jour à votre conscience. Même si vous les avez négligées parce que sur le moment vous pensiez avoir des préoccupations plus importantes, ou parce qu’elles ne vous étaient pas agréables, ces paroles s’imposeront à vous car elles possèdent une force : la force que donne la lumière. À votre insu elles se sont gravées dans votre subconscient, elles font leur chemin et, tôt ou tard, au moment où vous vous y attendrez le moins, à l’occasion d’une rencontre, d’un événement, elles surgiront devant vous, vous ne pourrez pas leur échapper.
Vous direz : « Mais alors, ces paroles de vérité ne nous laisseront jamais en paix ? » Cela dépend de ce que vous entendez par la paix. Si vous appelez « paix » la possibilité de donner sans discernement libre cours à vos pensées, vos sentiments, vos désirs, ne soyez pas étonné si quelques vérités que vous avez entendues auprès d’un sage, d’un Initié, viennent vous prévenir que vous êtes en train de vous égarer. Et elles vont même un peu vous piquer, vous mordre, vous tirer les cheveux : là, c’est vrai, elles ne vous laisseront pas tranquille. Mais si vous les acceptez et prenez la bonne direction, vous ne goûterez que la paix et la joie. »
 
 
Pensée du samedi 06 décembre 2014
l’Élixir de la vie immortelle -
"Même lorsque les humains ont cessé de croire à des dieux qui faisaient des festins où on leur servait du nectar et de l’ambroisie, la recherche d’un élixir, d’un breuvage d’immortalité n’a cessé de les préoccuper, et encore de nos jours. En réalité cet élixir est partout répandu dans la terre, l’eau, l’air, et surtout dans les rayons du soleil. C’est donc là que nous pouvons le recueillir, en apprenant à utiliser avec sagesse et amour tout ce que le Créateur a mis à notre disposition dans la nature.
On peut comprendre que chacun veuille se maintenir en vie et en santé le plus longtemps possible, mais la vocation de l’être humain n’est pas de rester indéfiniment sur la terre ; à un moment ou à un autre, il doit quitter son corps physique. On dit qu’il meurt, mais en réalité il continue à vivre : par son esprit il est vivant. S’il aspire à l’immortalité, c’est parce qu’il a, au fond de lui, l’intuition qu’il est réellement immortel. Mais c’est dans son esprit qu’il est immortel, pas dans son corps physique. La conscience de l’immortalité, comme la conscience de l’éternité, est pour l’homme une conquête de la vie spirituelle. Alors, qu’il apprenne à donner à ses activités quotidiennes une dimension plus vaste, une signification plus élevée, et peu à peu il arrivera à s’abreuver aux sources de la vie éternelle."
     
        
 
Pensée du vendredi 05 décembre 2014
« Que celui qui éprouve le besoin de travailler pour le bien de l’humanité ne se demande pas s’il va réussir ou échouer, car cette question introduit en lui une hésitation, un doute qui le freine dans son élan. Il doit travailler, c’est tout. L’histoire des peuples nous apprend qu’on ne peut pas porter de jugement sur la valeur des êtres en prenant pour seul critère leurs succès ou leurs échecs. Ceux qui ont réussi ne sont pas nécessairement les plus grands, et ceux qui ont échoué ne sont pas d’une moindre élévation. Leur exemple a nourri l’élan d’une multitude d’autres êtres, ils ont été comme une semence, un levain ; un jour, le but est atteint et encore mieux qu’ils ne l’espéraient.
Chaque créature vient sur la terre avec une mission déterminée et, souvent, ceux qui sont chargés des missions les plus grandioses sont destinés à échouer, au moins en apparence. Mais ils ont préparé le terrain – c’est cela le plus difficile – pour d’autres qui, bénéficiant de leurs efforts, réussiront. C’est pourquoi ceux qui remportent des succès doivent penser avec reconnaissance à tous les hommes et les femmes qui, avant eux, ont travaillé pour que ces succès soient possibles. Ces hommes et ces femmes ont fait des sacrifices, parfois même ils ont été des victimes, mais il se peut qu’ils reviennent dans une autre vie récolter le fruit de leur travail. » 
 
 
Pensée du jeudi 04 décembre 2014
La réparation de ses fautes peut seul libérer le coupable
« Il est bon que celui qui a mal agi reconnaisse sa faute et la regrette, mais cela ne suffit pas. Même si les remords et les larmes qui les accompagnent parfois sont une sorte de purification, pour être pardonné il faut réparer.
Vous avez fait du tort à quelqu’un et vous allez lui présenter des excuses. S’il les accepte, c’est très bien, mais il vous reste à réparer les dégâts : c’est alors seulement que vous serez quitte. Dire à celui que vous avez lésé : « Je suis navré, pardonnez-moi… » ne suffit pas, et la loi divine vous poursuivra jusqu’à ce que vous ayez réparé le mal que vous avez commis. Vous direz : « Mais puisque cette personne que j’ai lésée me pardonne ! » Non, la question n’est pas réglée si facilement, car la personne est une chose et la loi en est une autre. La personne vous a pardonné, c’est entendu, mais la loi, la loi divine, elle, ne vous pardonne pas, elle vous poursuit jusqu’à ce que vous ayez réparé. Évidemment, celui qui pardonne fait preuve de noblesse, de générosité. Mais le pardon ne règle pas la question : le pardon libère les victimes, ceux qui ont été maltraités, lésés, mais il ne libère pas les coupables. Pour se libérer, le coupable doit réparer. »
 
     
     
 
Pensée du mercredi 03 décembre 2014  
la Joie, privilège de notre nature divine -
"Pour que la joie ne vous quitte plus, efforcez-vous de vous élever le plus souvent possible jusqu’aux régions de l’âme et de l’esprit. Seuls l’âme et l’esprit ont le pouvoir de vous faire vivre dans l’espace infini et dans l’éternité. À ce moment-là, même si un malheur vous frappe, même si vous souffrez, vous ressentez encore de la joie.
La souffrance et la joie… Vous direz qu’il n’est pas possible de vivre à la fois deux états aussi contradictoires. Si, c’est possible. Pourquoi ? Parce que nous sommes faits de deux natures : une nature purement humaine, qui est faible, vulnérable et qui ressent toujours douloureusement la moindre contrariété, le moindre obstacle, la moindre perte ; et une nature supérieure qu’aucun mal ne peut atteindre, parce qu’elle vit dans une éternelle lumière, une éternelle félicité. Si vous apprenez à observer tout ce qui vous arrive du point de vue de votre nature supérieure, vous finirez même par découvrir que la tristesse et le chagrin sont une sorte de limon fertile dont les arbres et les fleurs de votre jardin intérieur peuvent se nourrir pour se développer."
     
 
 
Pensée du mardi 02 décembre 2014
le Silence réparateur -
"Libérés des tâches matérielles les plus pénibles par l’invention de machines et d’appareils toujours plus perfectionnés, les humains devraient avoir toutes les conditions de s’épanouir. Au lieu de cela, on les voit se démener, s’épuiser comme s’ils se croyaient obligés d’adopter le même rythme que leurs machines. C’est nécessaire pour l’économie du pays, paraît-il… Et voilà comment l’économie prospère, tandis qu’ils vont dans les hôpitaux et les cimetières.
Qu’ils laissent les machines marcher, mais qu’ils apprennent, eux, à s’arrêter pour se recharger d’énergies pures. Oui, de temps en temps, au cours de la journée, il faut penser à faire une pause, cesser de bouger, de parler et même de penser. Sinon, c’est comme si on laissait tous les robinets d’eau, de gaz et d’électricité ouverts : il ne reste bientôt plus rien, toute l’énergie est partie, les réservoirs sont vides. L’immobilité, le silence servent à remplir les réservoirs. Alors, dès que vous le pouvez, arrêtez-vous, fermez les yeux, faites le silence en vous et liez-vous aux sources de la vie et de la lumière. Physiquement et psychiquement vous vous sentirez régénéré et vous pourrez vous remettre facilement au travail."
 
 
Pensée du lundi 1er décembre 2014
Prendre appauvrit, donner enrichit -
"On entend continuellement des gens se plaindre qu’on leur a pris ceci, qu’on leur doit cela, qu’on ne les aime pas, qu’on ne pense pas à eux… Et non seulement ils se sentent pauvres et seuls, mais ils ont toujours peur de perdre quelque chose ; alors ils se ferment, sans comprendre que c’est justement cette attitude fermée qui les isole et les appauvrit encore davantage. Qu’ils oublient un peu ce qui leur manque, qu’ils se réjouissent et apprennent à travailler avec ce qu’ils ont ! Quand on a la possibilité d’embrasser l’univers entier par la pensée, de communier avec toutes les créatures lumineuses qui le peuplent, comment se sentir pauvre et seul ? Que leur faut-il encore pour comprendre qu’ils sont riches, comblés, et qu’ils ont même de quoi donner aux autres ?
Pour s’enrichir, il faut s’ouvrir, donner. Celui qui prend s’appauvrit et celui qui donne s’enrichit. Parce que donner, c’est éveiller en soi des forces inconnues qui sommeillaient quelque part dans les profondeurs : elles commencent à jaillir, à circuler, et on se sent tellement rempli qu’on est étonné. On se dit : « Mais comment ça se fait ? J’ai donné, donné, et je suis plus riche… » Oui, et c’est cela, la nouvelle vie !"

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