Liens avec la rubrique :
http://roselyne-83.spiritualite.over-blog.com/categorie-11339755.html
Témoignages de personnes l'ayant connu
http://www.mikhaelaivanhov.org
Pensée du lundi 28 février 2011 | |
Maître spirituel - réveille dans ses disciples le souvenir des expériences passées "Quand la décision de suivre une certaine voie est gravée au plus profond de votre être, cela devient comme un instinct qui vous empêche de dévier et vous indique comment éviter ou surmonter les obstacles. S’il vous arrive d’oublier trop souvent les bonnes résolutions que vous avez prises, c’est parce que vous ne les avez pas encore suffisamment imprimées dans votre subconscient, jusqu’au cœur même de vos cellules.Le rôle d’un Maître spirituel est justement de réveiller dans l’âme de ses disciples le souvenir des expériences du passé et des décisions prises. Sinon, lorsqu’ils devront à nouveau franchir les frontières de l’au-delà, ils auront une fois de plus à constater la médiocrité, l’inanité de l’existence qu’ils viennent de quitter… Et ils seront condamnés à errer dans les régions arides et obscures de l’autre monde. Jésus disait : « Amassez-vous des trésors dans le Ciel. » Cette recommandation est la synthèse de toute une science de la vie." |
Pensée du dimanche 27 février 2011 | |
Ouvrier dans le champ du Seigneur - conséquences de cet engagement "Nous ne représentons quelque chose de grand et de beau qu’à proportion de ce que nous faisons pour la collectivité, pour l’humanité entière ; c’est là que nous prenons notre vraie valeur, car nous devenons des collaborateurs de Dieu Lui-même.Celui qui travaille pour le bien de la collectivité est un ouvrier dans le champ du Seigneur. Les esprits lumineux s’approchent de lui pour le marquer de leur sceau, et une fois qu’il est marqué, c’est comme s’il était inscrit sur une liste ; à côté de son nom est noté ce qui lui est dû, et chaque jour il reçoit un « courrier », on peut dire aussi un « salaire ». Ce salaire prend diverses formes : force pour l’esprit, dilatation pour l’âme, lumière pour l’intellect, chaleur pour le cœur, santé pour le corps physique."
|
Au cas où vous n'auriez pas l'idée de cliquer sur le lien de ma vidéo :
http://www.fbu.org/n1_general/oma.htm
Allez écouter la vidéo et voyez le texte *
(Le mystère de la lumière)
Pensée du samedi 26 février 2011 | |
Actes - enfants du père (l’intellect) et de la mère (le cœur) "Que sont vos enfants ? Des rêves, des pensées, des sentiments que vous avez eus dans le passé et auxquels vous avez maintenant donné chair et os. Vous ignorez qui vous étiez dans le passé ? Eh bien, regardez vos enfants, ils vous diront : « Observez-nous, nous venons vous apprendre beaucoup de choses sur vous. » Pour connaître la vérité sur les êtres, il faut regarder leurs enfants.Vous me direz peut-être que vous n’êtes pas marié et que vous n’avez pas d’enfants. Là encore, vous vous trompez. Vos enfants, cela peut être aussi vos actes, et c’est donc chaque jour que vous mettez des enfants au monde. Jésus a dit que l’on reconnaît un arbre à ses fruits. Si vos fruits sont âpres, amers, acides, cela prouve qu’en vous, la mère (le cœur) et le père (l’intellect) sont défectueux. L’action est un enfant qui ne peut être divin que si le père et la mère l’ont conçu divinement."
|
Pensée du vendredi 25 février 2011 | |
Matière - son évolution n’est possible que grâce à l’involution de l’esprit "Rien ne peut évoluer qui n’ait d’abord involué. C’est pourquoi, ce que la science appelle « l’évolution des espèces » a été nécessairement précédée par un mouvement d’involution. C’est vrai pour les créatures et c’est vrai pour la matière. Avant l’évolution de la matière, il y a eu involution de l’esprit. Les partisans de l’évolution n’ont observé les choses que de l’extérieur, du point de vue de l’organisation de la matière, sans tenir compte des forces invisibles qui avaient auparavant travaillé sur elle.L’évolution n’est que la moitié d’un processus de manifestation. En l’observant isolément, on la coupe de la vérité de la vie. Pris isolément, ce processus n’a pas sa place dans la nature. On ne peut pas prouver que l’évolution soit possible sans qu’une impulsion ne l’ait préalablement déclenchée et ne continue à l’entretenir. Et cette impulsion vient d’en haut. C’est tout d’abord l’esprit qui est descendu, et si on voit la matière évoluer, c’est qu’elle est entraînée par le mouvement ascendant de l’esprit qui la fait remonter vers son lieu d’origine."
|
Pensée du jeudi 24 février 2011 | |
Homme - doit mériter l’estime de la femme L’homme est allé trop loin, et au lieu d’être un modèle d’honnêteté, de bonté, de justice pour mériter l’estime et l’admiration de la femme, il a abusé de son pouvoir, de sa supériorité physique sur elle, il s’est accordé tous les droits et à la femme il n’a imposé que des devoirs. Comment pouvait-il espérer que cette situation durerait éternellement ? Et pourtant, la vérité, c’est que la femme a naturellement besoin d’admirer l’homme, de reconnaître son autorité, sa force. Mais s’il ne fait rien pour les mériter, comment peut-elle conserver cette estime et cette admiration ?" |
Pensée du mercredi 23 février 2011 | |
Facultés spirituelles - peuvent seules mettre à l’abri des troubles psychiques |
"Vous assistez à une conférence donnée par un grand scientifique : il se sert de schémas, de graphiques, de formules mathématiques qui vous permettent de le suivre pas à pas dans son raisonnement. Malheureusement, ce ne sont pas des schémas, des graphiques et des formules mathématiques qui empêcheront cet érudit aux arguments si ordonnés, si clairs, de perdre la tête dans d’autres circonstances. Car si les intellectuels font preuve de tellement de méthode, de discipline, d’objectivité quand il s’agit de leurs travaux, une fois sortis de ces travaux ils ne trouvent pas anormal de vivre dans la subjectivité, le désordre et le trouble des passions. Si on étudie les statistiques, on verra que c’est même dans les milieux intellectuels qu’on trouve le plus de déséquilibrés et de malades mentaux. Car l’intellect ne protège pas du déséquilibre, au contraire même, il se livre souvent à toutes sortes d’acrobaties dangereuses pour la raison. La vie ne consiste pas exclusivement à faire des observations, des mesures et des calculs. Les humains ne sont pas des machines. Pour affronter les difficultés et les chocs imprévisibles de l’existence, pour ne pas se laisser emporter et détruire par les passions, pour découvrir la véritable réalité des choses, il n’y a qu’une méthode : développer les facultés spirituelles." |
|
Pensée du mardi 22 février 2011 | |
Non-violence - conditions pour qu’elle soit applicable "Un certain nombre de problèmes ne peuvent être vraiment résolus qu’à l’échelle mondiale. Prenons la philosophie de Gandhi, par exemple, la non-violence : elle a porté ses fruits dans certaines conditions historiques, mais d’une façon générale la non-violence est dangereuse pour un pays. S’il est le seul à la pratiquer, il risque d’être anéanti, car les voisins, cupides, violents, cruels, n’auront aucun scrupule à massacrer ces pauvres malheureux qui refusent de se défendre. La non-violence est une philosophie qui est bonne individuellement, c’est-à-dire pour quelqu’un qui veut dompter sa personnalité et évoluer plus rapidement en renonçant à tous ses intérêts matériels, mais elle ne résout pas le problème de la guerre dans le monde. Si toutes les tentatives diplomatiques pour éviter un conflit ont échoué, un peuple qui décide de ne pas se défendre sera rapidement anéanti, politiquement, économiquement et physiquement.Pour qu’elle devienne réellement efficace, il faut que la philosophie de la non-violence devienne collective, mondiale, qu’elle ne reste pas seulement dans la tête de quelques idéalistes, sinon rien ne changera vraiment." |
Pensée du lundi 21 février 2011 | |
Psychologie et pédagogie - doivent être mises à la première place "Pédagogue… Voilà le meilleur métier. Évidemment, ce n’est pas l’avis de tout le monde : être avocat, ingénieur, médecin, banquier, ça oui, ça vaut la peine. Tandis que s’occuper d’enfants, cela n’a vraiment rien de prestigieux. Et voilà que c’est justement le métier le plus important, celui qui est le plus lourd de conséquences pour l’avenir d’un pays. Éduquer les enfants, que l’on soit instituteur, professeur, parent, quelle responsabilité ! C’est un travail divin. C’est pourquoi le jour viendra où on sera obligé de donner à la psychologie et la pédagogie, qui sont encore sous-estimées, la plus grande importance. Et ce jour approche. De plus en plus, on commence à tourner autour de ces sujets : l’être humain, sa vie psychique, son éducation.Étudiez bien l’histoire de l’humanité et vous comprendrez que dans la société, dans la vie nationale et internationale, les problèmes ne trouveront pas de solutions tant que l’on n’aura pas mis la psychologie et la pédagogie à la première place." |
Pensée du dimanche 20 février 2011 | |
Audace - de ceux qui ont la lumière "L’obscurité peut être une cause de peur irrationnelle : un loup, un voleur, un assassin pourrait surgir ! Mais elle peut être aussi la cause d’une crainte rationnelle : quand on n’y voit rien, on court toujours le danger de se heurter à quelque chose, de tomber, de se blesser.
|
Pensée du samedi 19 février 2011 | |
Expériences vécues - plus convaincantes que les explications Imaginez que c’est l’hiver : j’entre dans une maison où je suis invité. Tout est fermé, et pour faire des économies de chauffage, on n’aère jamais. Alors en restant dans cette atmosphère, les occupants de cette maison se sont chloroformés, abrutis, ils ne peuvent plus ni penser ni sentir correctement. Si je dois maintenant leur expliquer que la façon dont ils vivent est malsaine, ils ne comprendront pas et il s’ensuivra des discussions interminables où je perdrai mon temps. Je les invite alors à faire avec moi une petite promenade à l’air pur… Puis nous rentrons. Dès qu’ils ouvrent la porte, c’est eux qui poussent des cris ; ils se demandent comment ils ont pu vivre dans une atmosphère pareille, c’est-à-dire – parce que cette anecdote est symbolique – avec des conceptions pareilles, une philosophie pareille. Sans que je dise rien, c’est eux-mêmes qui ont compris, car ils ont senti la différence. Peut-être qu’au moment où ils sont sortis, ils ne se sont pas tellement rendu compte combien il est merveilleux de respirer l’air pur, mais au retour, quand ils suffoquent, ils comprennent."
|
Pensée du vendredi 18 février 2011 | |
Critique - ne se justifie que si elle s’apparente à l’art du jardinier "Pourquoi cette tendance générale à souligner les fautes des autres ? Pourquoi s’acharner sur des hommes et des femmes qui se débattent au milieu de tant de difficultés ? Le plus extraordinaire, c’est qu’en les critiquant on croit faire preuve de lucidité, de sagesse, mais aussi d’amour. Vous objecterez que celui qui aime bien châtie bien, comme on dit, et que le châtiment commence par des critiques. Non, dans de nombreux cas, l’amour ne consiste pas à critiquer, et la sagesse non plus. Aimer les êtres, c’est comprendre leurs difficultés et agir avec délicatesse afin d’alléger leurs souffrances. Or, la critique a plutôt tendance à égratigner, griffer, blesser. Ce n’est plus de l’amour, mais du carnage. Le véritable amour ne se tache pas de sang, il est grand et lumineux. Par lui, vous vous liez à Dieu, et Dieu vous conseille les meilleures méthodes pour agir avec les êtres.Qu’est-ce qu’un bon critique ? Un bon jardinier qui sait tailler les arbres, les élaguer, les redresser et les débarrasser des chenilles et des insectes nuisibles. Il préserve ce qui est bon, et voilà bientôt des fleurs et des fruits magnifiques." |
Pensée du jeudi 17 février 2011 |
Argent |
- comment le considérer Qui peut nier que l’argent soit une des principales préoccupations des humains ? D’un côté, c’est naturel, car il leur procure leurs moyens de subsistance, mais le danger, c’est que cette pensée de l’argent finisse par les obnubiler : ils ne voient plus les bonnes qualités des autres, ils deviennent exigeants, durs, cruels. Faire des profits, voilà uniquement ce qui compte. Mais être absolument indifférent à l’argent n’est pas bon non plus. Tous ceux qui croient que pour être des spiritualistes il faut vivre sans aucune préoccupation matérielle, deviennent en réalité des fardeaux pour la société, des parasites. Tant que nous sommes sur la terre et que les choses sont organisées comme elles le sont, on a besoin d’argent. Peut-être que dans l’avenir on pourra le supprimer et le remplacer par l’amour ; oui, car l’amour est une monnaie qui dépasse toutes les autres. Mais l’humanité n’est pas encore arrivée à accepter cette monnaie, et puisque l’argent aura encore cours un certain temps, il faut apprendre à penser correctement à son sujet afin de ne jamais tomber dans ses pièges." |
|
Pensée du mercredi 16 février 2011 | |
Aujourd’hui - un maillon dans la chaîne des jours "Efforcez-vous de bien vivre aujourd’hui, car demain n’existe pas encore, et en vous inquiétant de lui, c’est comme si vous vous jetiez dans un vide où vous risquez de vous perdre. C’est sur aujourd’hui que vous devez travailler, car aujourd’hui ne meurt pas, il ne fait que se prolonger, et en se prolongeant il va devenir demain. |
Pensée du mardi 15 février 2011 | |
Se connaître - pour progresser spirituellement "Les humains portent rarement sur eux-mêmes un jugement objectif, et c’est aussi vrai pour les spiritualistes. Certains, pourtant très évolués, sont effrayés par l’immensité de la Science initiatique, par la distance qui les sépare du but à atteindre, ils se sentent misérables, et cette mauvaise opinion d’eux-mêmes les paralyse.D’autres, au contraire, tout à fait limités, bornés, se prennent pour de grands Initiés, des génies, des divinités. Comme rien dans leur vie ne justifie la bonne opinion qu’ils ont d’eux-mêmes, ils vont consulter de soi-disant médiums ou clairvoyants qui, ayant intérêt à tromper les gens pour attirer des clients, leur racontent des histoires fantastiques sur leurs incarnations : ils ont été des saints, des prophètes, des génies, toutes les célébrités et les gloires de l’histoire y passent. Mais à quoi cela peut-il leur servir, puisqu’actuellement la réalité leur montre chaque jour combien ils sont pauvres et ordinaires ? Une des plus grandes entraves pour le progrès spirituel, c’est de se faire des illusions sur ses incarnations passées. Celui qui veut vraiment avancer, évoluer, ne doit pas perdre son temps chez les clairvoyants, mais étudier, travailler pour apprendre à se connaître. C’est en ayant une juste appréciation d’eux-mêmes qu’ils avanceront."
|
Pensée du lundi 14 février 2011 | |
Poésie - sa supériorité sur la musique "La véritable poésie est l’expression du verbe divin qui est à la fois musiques, couleurs, formes, parfums. C’est pourquoi ses pouvoirs sont immenses. Certains diront que la musique est plus puissante que la poésie, car elle touche directement la sensibilité des auditeurs. Oui, mais son langage n’est pas aussi clair, donc pas aussi éducatif que celui de la poésie, car il n’est fait que de sons, alors qu’un poème est composé de mots à travers lesquels on perçoit non seulement une mélodie, un rythme, une intonation, mais aussi des couleurs, des formes, une architecture. Et surtout on découvre un sens.La musique éveille le sentiment, stimule la volonté, mais elle ne donne pas d’orientation claire. On peut écouter de la musique toute sa vie et rester aussi incertain et ignorant qu’avant. Tandis qu’en lisant ou en écoutant l’œuvre d’un poète véritablement inspiré, grâce aux paroles on découvre un sens, et on avance alors dans la clarté." |
Pensée du dimanche 13 février 2011 | |
Libération - ses signes avant-coureurs "Il peut arriver que nous nous sentions projetés dans le Ciel au moment où nous nous y attendons le moins. Évidemment, nous souhaiterions rester là-haut pour toujours, mais ce n’est pas possible, tant de choses nous retiennent encore attachés au monde d’en bas ! Si le Ciel nous accorde cette grâce, c’est pour que nous ayons le pressentiment, l’intuition de cet espace de lumière où nous sommes destinés à aller vivre un jour. Ces joies soudaines que nous ressentons parfois sont l’annonce d’une libération à venir.Quand les arbres commencent à perdre leurs feuilles à l’automne, vous savez que l’hiver approche ; et en hiver, quand les perce-neige commencent à éclore, vous savez qu’ils annoncent l’arrivée du printemps. Dans votre âme aussi, comme dans la nature, apparaissent des signes avant-coureurs, et vous devez apprendre à les reconnaître et à les déchiffrer. |
Pensée du samedi 12 février 2011 | |
Radiations, émanations, vibrations - interprétation symbolique de ces phénomènes "Vous savez ce qu’est une radiation, une émanation, une vibration. Mais ce que vous ne savez pas, c’est que ces phénomènes ont un lien avec l’intellect, le cœur et la volonté. À l’intellect correspond la radiation, au cœur l’émanation, et à la volonté correspond la vibration.L’intellect irradie : son mouvement est la ligne droite. Les émanations du cœur sont des ondes circulaires. Et la volonté vibre (à gauche – à droite, en haut – en bas, en avant – en arrière). La radiation, c’est la lumière projetée pour mieux avancer et faire des découvertes. L’émanation représente la dilatation, le don : les particules qui vont entourer de leur chaleur les êtres et les choses. Et la vibration marque le commencement de l’action. Dans la radiation il y a la sagesse, dans l’émanation il y a l’amour, dans la vibration il y a la force. C’est pourquoi d’après l’intensité de ses radiations on voit quelle est la sagesse d’un être. D’après la nature de ses émanations on peut sentir quel est son amour. D’après la puissance de ses vibrations on découvre quelle est sa force."
|
Pensée du vendredi 11 février 2011
"L'amour est cette capacité d'arracher de nous-même ce qui nous est le plus cher afin de le donner. Mais cette qualité se manifeste rarement. On voit plutôt des êtres occupés à se battre non seulement pour conserver ce qu'ils possèdent, mais aussi pour s'emparer, s'ils le peuvent, de ce qui appartient à d'autres.
Est-ce bien raisonnable de perdre là tellement de temps et d'énergie alors que, bientôt, on sera obligé de tout laisser ? Eh oui, un jour la mort arrive et, que l'homme le veuille ou non, d'un seul coup elle le dépouille de tout. Pourquoi n'a-t-il pas appris à donner avant l'heure de la mort ? À cet instant-là, bon gré mal gré il doit tout abandonner. Seules lui restent la lumière et la joie qu'il a acquises en sachant donner
Pensée du jeudi 10 février 2011
Engagement spirituel - ne pas en attendre des avantages matériels
"Quand Jésus fut amené devant Pilate pour être jugé, celui-ci lui demanda : « Es-tu le roi des Juifs ? » et Jésus répondit simplement : « Tu le dis ». Mais il ajouta : « Mon royaume n’est pas de ce monde. » Car Jésus n’avait aucune ambition terrestre. Pour lui la véritable royauté était la royauté céleste ; il ne confondait pas la gloire humaine et la gloire divine, et il ne confondait pas non plus les biens temporels et les biens spirituels. C’est ce qui apparaît encore dans l’épisode où les pharisiens l’interrogent sur l’impôt dû à César ; il se contente de leur répondre : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. »
Quant à vous, si vous voulez devenir un véritable disciple de Jésus, tâchez aussi de ne pas confondre la terre et le Ciel. Et, surtout, gardez-vous de penser qu’un engagement spirituel doit vous apporter des avantages matériels."
Pensée du mercredi 09 février 2011 Science, religion, art - activités de l’intellect, du cœur et de la volonté"Combien de croyants abandonnent la religion parce que, d’après eux, les découvertes de la science effacent ou contredisent les vérités de la foi ! Eh bien, cela prouve seulement qu’ils n’ont pas compris grand-chose à la religion ni à la science. Car, au contraire, les découvertes de la science ne font que souligner les vérités de la foi qui sont les vérités que nous enseigne la Science initiatique. Il n’existe en réalité aucune opposition entre la science et la religion : elles marchent ensemble, et l’art marche aussi avec elles. Les trois sont liés parce qu’ils sont déjà liés en l’homme : la science nourrit son intellect, la religion nourrit son cœur, et dans l’art il exerce sa volonté créatrice. Puisque l’intellect, le cœur et la volonté coexistent dans l’être humain, on ne doit ni les séparer ni privilégier l’un au détriment des autres. Dieu les a donnés à l’homme pour qu’ils travaillent ensemble."
Pensée du mardi 8 février 2011 | |
Bougie - analogie avec l’être humain "Vous allumez une bougie… Sa flamme vous éclairera aussi longtemps qu’elle sera alimentée par la cire qui brûle. Cette combustion est en quelque sorte un sacrifice. Sans sacrifice il n’y a pas de lumière. Le feu a besoin de nourriture, et la cire de la bougie est justement cette nourriture. Ça, vous le savez. Mais ce que vous ne savez pas, c’est que l’être humain peut être comparé à une bougie, car il possède tous les matériaux nécessaires pour alimenter la flamme en lui. Ces matériaux sont ceux de sa nature inférieure : l’égoïsme, l’agressivité, la sensualité, etc. Il doit les sacrifier pour entretenir sa flamme.Ce qui empêche les humains de faire ce sacrifice, c’est la crainte de disparaître. Il y aura, bien sûr, quelque chose de nous qui disparaîtra, mais ce quelque chose doit justement disparaître pour qu’autre chose, plus pur, plus lumineux apparaisse. Exactement comme la matière de la bougie disparaît pour que la lumière continue à briller. Vous direz qu’au bout d’un certain temps il ne reste plus rien de la bougie. Oui, mais l’homme, lui, peut brûler indéfiniment. Une fois allumé, il peut ne plus s’éteindre, car sa matière combustible est inépuisable."
|
Pensée du lundi 7 février 2011 | |
Morale - son fondement : la conscience de l’unité "Quand les humains comprendront-ils qu’ils ne sont pas des individus séparés, mais qu’ils font partie du grand corps de Dieu dont ils représentent chacun une cellule ? Donc, lorsqu’ils se conduisent mal avec leur prochain en pensant qu’il leur est étranger, extérieur, et qu’ils peuvent le malmener impunément, ils se trompent. La vérité, c’est qu’il existe un lien entre toutes les créatures vivantes, comme il existe un lien entre toutes les cellules du corps physique. Lorsque nous faisons du mal aux autres, même si pour le moment nous ne le sentons pas, c’est à nous aussi que nous faisons du mal. De même, lorsque nous leur faisons du bien, c’est à nous aussi que nous faisons ce bien.Vous en avez sans doute fait l’expérience : si un être que vous aimez souffre ou reçoit des coups, c’est comme si vous-mêmes receviez ces coups ; et s’il lui arrive un bonheur, vous vous réjouissez comme si c’était à vous que ce bonheur était arrivé. Pourquoi ? Parce qu’instinctivement, intuitivement, vous êtes entrés dans la conscience de l’unité. Et c’est cette conscience de l’unité qui est le fondement de la vraie morale |
Pensée du dimanche 6 février 2011 | |
Actes - pensées et sentiments qui doivent les accompagner "Si vous placez un seau quelque part sous une gouttière, vous pouvez compter qu’au moment où il pleuvra, il se remplira d’eau ; mais si vous ne mettez pas de seau, n’attendez pas qu’il soit rempli ! Si vous déposez une graine dans le sol, il y a espoir de voir pousser une plante, mais si vous ne semez rien, n’attendez rien.Vous direz : « Mais c’est enfantin, nous savons cela. » En êtes-vous si sûr ? Vous n’ouvrez pas votre cœur à l’eau qui descend de la Source divine, et vous attendez pourtant qu’il soit rempli. Vous ne semez pas des pensées et des sentiments d’amour, de générosité, et vous attendez de vivre dans la paix et la joie. Vous demandez : « Mais comment semer des pensées et des sentiments ? » Un exemple : lorsque vous devez prendre un objet pour le donner à quelqu’un, est-ce que vous mettez votre attention, votre conscience dans ce geste ?... Non, vous le faites machinalement. Eh bien, désormais, soyez attentif à donner autre chose que ce seul objet : ajoutez-y une bonne pensée, un bon sentiment, un bon souhait pour cette personne. |
Pensée du samedi 5 février 2011 | |
Tentations - c’est chaque jour que nous avons à les vaincre Pour mieux comprendre cette idée, on peut faire une comparaison avec la nutrition et la respiration : nous avons mangé hier, nous devons aussi manger aujourd’hui et nous devrons encore manger demain. Nous venons de respirer, et il faut tout de suite recommencer. Une expérience nous a fait comprendre le sens de la vie, mais pour ne pas perdre ce sens, nous devons faire une autre expérience, et puis encore une autre. Nous avons vaincu une tentation ? Nous serons de nouveau tentés, et de nouveau nous devrons essayer de remporter la victoire."
|
Pensée du vendredi 4 février 2011 | |
Vieillissement - inévitable dans le plan physique mais pas dans le plan spirituel "Tant qu’ils sont jeunes et bien portants, les humains ne pensent jamais à ce principe de désagrégation qui travaille en eux et finira par triompher un jour. Ils ont tendance à croire que le monde leur appartient et que l’avenir ne cessera jamais de leur sourire. Quelle déception quand ils sentent que, dans le plan physique, tout commence à leur échapper ! Dans cette lutte sans merci qui s’est engagée entre le principe de vie et le principe de mort, certains veulent retenir la vie par tous les moyens, et cela peut les conduire à commettre les actes les plus insensés : ils jettent dans la bataille toutes les ressources qu’ils devraient utiliser pour leur travail spirituel, et ils perdent tout.Nous ne sommes pas venus sur la terre pour y rester éternellement jeunes et en bonne santé, mais pour y faire un stage, un apprentissage. Le sage est celui qui connaît la courbe du chemin et s’efforce de tout utiliser. Dans le monde spirituel, l’ascension est ininterrompue. Ici-bas, quoi qu’on fasse, on verra peu à peu son front et ses joues se rider, ses cheveux blanchir, ses dents tomber, etc. Mais il faut comprendre que l’aspect extérieur n’a aucune importance si derrière les cheveux blancs et les rides se manifeste le rayonnement de la vie spirituelle." |
Pensée du jeudi 3 février 2011 | |
« Notre Père, qui es aux cieux » - le programme à réaliser "Il ne faut pas aimer et chercher Dieu pour soi, mais pour Lui, comme un fils ou une fille qui trouve toute sa joie à s’associer aux activités de son père et de sa mère.Quand Jésus nous a appris à prier : « Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel », il nous a donné justement le programme à réaliser. C’est nous qui devons sanctifier le nom de Dieu en nous-mêmes, c’est nous qui devons faire descendre son royaume en nous, c’est nous qui devons accomplir sa volonté, comme les anges l’accomplissent dans le Ciel. Ce que nous faisons pour Dieu, c’est aussi pour nous que nous le faisons, puisque nous sommes en Lui et qu’Il est en nous." |
Pensée du mercredi 2 février 2011 | |
Cœur - maintient la tête et les membres en activité Mais les humains ont abandonné le cœur, symboliquement parlant, ils cherchent le pouvoir. Et comme l’argent donne beaucoup de pouvoir, ils font tout pour en gagner le plus possible, sans considération de ce qu’ils font subir aux autres, et leur cœur s’endurcit. Ils cherchent aussi le savoir, mais comme leur but n’est pas désintéressé, ce savoir ne sert qu’à les égarer. C’est pourquoi ils ne sont pas heureux. Ils sont certainement plus puissants et plus instruits, mais ils ne sont pas heureux. Pour être heureux, ils doivent revenir vers les qualités du cœur : la bonté, la douceur, la générosité, le pardon |
Pensée du mardi 1 février 2011 | |
Karma et dharma - deux aspects de la loi des causes et des conséquences "À l’instant où vous agissez, vous déclenchez inévitablement certaines forces qui produiront inévitablement aussi certains résultats. C’est cette idée de rapport de cause à conséquences qui est d’abord contenue dans le mot « karma ». C’est ensuite que ce mot a pris le sens de paiement pour une transgression commise. On peut donc dire que le « karma » (dans le second sens du terme) se manifeste toutes les fois qu’un acte n’est pas absolument inspiré par la sagesse et l’amour divins – ce qui est le cas la plupart du temps. Mais l’être humain fait des essais et il faut qu’il s’exerce. Ces essais sont maladroits, imparfaits, mais ce n’est pas grave, il doit se corriger, réparer ses erreurs, et bien sûr pour cela il peine, il souffre.
|