Lien et article
http://ekr.france.free.fr/destin.htm
Le traceurs de Voie du XX ème siècle
Priorité le Don d'amour
Ce que la Mort enseigne,
C'est la vie,
C'est vivre la Vie ...
Il n'y a rien à Redouter dans la mort
Elle peut représenter le plus belle expérience qui soit
Tout dépend comment vous avez vécu
Paroles de Conscience
Le Chemin
La mort nous montre le Chemin, afin que nous comprenions que notre temps sur terre est compté.
Aussi devrions nous vivre chaque jour pleinement,
comme le dernier
savoir Choisir
Il n'y a pas de joie sans peine
Si la mort n'existait pas,
Comment apprécierions nous le Vie ?
S'il n'y avait la haine
Connaîtrions nous l'amour ?
Dans ces moments, vous pouvez soit demeurer amer et accuser, soit
Choisir l'espoir et continuer d'aimer
Retrouver le Sens
Apprendre à entrer en contact avec le Silence au fond de Soi
et réaliser que chaque chose dans la vie a un sens
La leçon de Vie
L'ultime leçon de chacun de nous doit d'apprendre
est l'amour inconditionnel
des autres,
autant que de soi même
Vivre jusqu'au bout
Certaines fleurs ne fleurissent que quelques jours.
Tout le monde les admire comme le signe du printemps et de l'espoir
Puis elles meurent, mais elles ont fait ce qu'elles devaient faire
D'autres fleurs fleurissent longtemps ; les gens y sont tellement habitués
qu'ils ne les remarquent même plus ;
un peu comme les vieilles personnes, qu'ils voient assises dans les parcs,
jusqu'au jour où elle sont parties pour toujours
Se dépasser
J'en suis persuadée.
Ce qu'il y a en nous d'intuitif, de spirituel,
notre voix intérieure, nous donne la connaissance, le paix
le direction pour passer à travers les orages de la vie
sans être brisé.
Renaissance
La vie suppose une succession d'attachements de de détachements
Chaque fois que nous avons à refaire le même cheminement
que celui que connaissent les mourants .
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Elisabeth Kubler-Ross a appris à des milliers de personne comment délier des nœuds créés suite à des deuils.
Deuils d’une brisure relationnelle, mort d’un proche ou, carrément, horizon de sa propre mort lorsqu’un état de santé alarmant paraît en claironner la venue.
Le parcours qui a conduit Elisabeth Kubler-Ross, née en Suisse en juillet 1926, à devenir psychiatre, l’a aussi amenée à proposer une forme nouvelle d’aide aux personnes face à un deuil réalisé ou à venir, la conduisant à être, aux USA, une pionnière de l'accompagnement aux mourants.
Dans le domaine des expériences de mort imminente – désignées en anglais par NDE – Near Death Experiency – elle a signé la préface du livre phare de Raymond Moody Life after life, 1975, recensé ici le 17.10.2010 par « Dr Raymond Moody, La vie après la vie ".
Personnalité controversée, Elisabeth Kubler-Ross fait partie des hommes et des femmes qui ont fortement marqué le 20 ème siècle.
Le travail original et efficace d’Elisabeth Kubler-Ross est mentionné aux pages 172 et 173 du livre Le manuscrit du Saint-Sépulcre de Jacques Neirynck évoqué ici le 13.02.2011 dans « Jacques Neirynck, qui est Jésus ? » ;
L’auteur fait plus que la citer. Le héros principal de ce roman, rien de moins que le pape lui-même, participe au chapitre VII – pages 151 à 181 - avec d’autres messieurs et mesdames « tout le monde » à un séminaire qui suit la méthode d’Elisabeth Kubler-Ross. Chacun est amené à se délester du poids qui l’étouffe en le racontant, en le criant, en le déposant aux pieds des autres participants, et en priant.
Elisabeth Kubler-Ross est auteur d’ouvrages connus sur l’après vie qui succède à la vie du corps physique. On trouve facilement en librairie, à prix modique, La mort est un nouveau soleil, livre paru en 2002.
A citer également Mémoires de vie, mémoires d'éternité, publié chez JC Lattes en 1998. Pour ce livre, une panoplie de commentaires se déploie, du négatif au positif, selon le parcours des lecteurs.
Après réflexion, il me semblerait – avis personnel – qu’Elisabeth Kubler-Ross se situe sur un plan spirituel et compassionnel vis-à-vis des autres, ses frères en humanité, à la manière d’un Padre Pio et de tant d’autres.
Cet amour inconditionnel d’autrui, ce confrère l’a déployé en tendant la main pour tenir des mains de corps en souffrance, en offrant la bienveillance de son cœur pour soutenir des cœurs en rébellion.
Cette compassion sans compter, servie par une technique alliant simplicité spirituelle et humilité, pourrait lui avoir valu une expérience mystique, difficile et belle, décrite dans Mémoires de vie, mémoires d'éternité.
L’expérience rapportée démarre par un son, « semblable au bruit d'une forte rafale de vent. Tout à coup, j'ai eu l'impression d'être emportée par une tornade. À cet instant, je quittai mon corps à une vitesse incroyable.
Pour aller où ? Où suis-je allée ? C'est la question que tout le monde m'a posée. Même si mon corps était immobile, mon cerveau m'a transportée dans une autre dimension, dans un autre univers. Là-bas, la partie physique de l'être n'a plus d'importance. Comme l'esprit qui quitte le corps après la mort, ma conscience relevait de l'énergie psychique, et non de mon corps physique. J'étais simplement allée là-bas. »
Cet après-midi là, Elisabeth se trouve être l’hôte du ranch de Robert Monroe, lequel a relaté dans des écrits des voyages en astral. Seule dans la Maison du Hibou, lieu tranquille et isolé, Elisabeth Kubler-Ross écrira par la suite ceci : « Malgré mes efforts pour demeurer éveillée, je me suis rapidement endormie - et c'est là que le cauchemar a commencé. J'ai souffert mille morts. Ils m'ont torturée physiquement. Je pouvais à peine respirer et j'étais pliée en deux car la douleur était si folle que je n'avais même pas la force de hurler ou d'appeler au secours, même si de toute façon il n'y aurait eu personne pour m'entendre. Au cours de ces longues heures de tourments, j'ai remarqué que, chaque fois que j'en avais fini avec une mort, une autre commençait, sans la moindre pause entre les deux pour reprendre mon souffle, récupérer, hurler ou me préparer à la suivante. Mille morts....
J'avais compris. Je vivais, au sens propre du mot, les morts de tous les patients que j'avais accompagnés jusqu'à ce jour. Je vivais la terrible angoisse, la douleur, le sang, les larmes et la solitude de chacun de ces malades. Si l'un d'entre eux était mort d'un cancer, alors je ressentais sa terrible souffrance. Si un autre avait eu une attaque, j'en subissais moi aussi les effets. »
Un peu plus loin, elle confie : « Voilà la leçon que je devais apprendre. Il fallait que je fasse l'expérience de mille morts pour connaître la joie indicible de l'après-vie.
Soudain, j'ai compris que je sortirais de cette épreuve grâce à la FOI. La foi en Dieu, car il ne nous est donné que ce que nous pouvons supporter. La foi en moi-même, car j'avais compris que je pouvais supporter tout ce qu'il m'envoyait. »
Ayant accepté ce qui lui est envoyé, Elisabeth se détend, s’allonge sur le dos, notant toutefois des étrangetés : « Tout d'abord, il y eut une vibration de plus en plus rapide au niveau de la paroi abdominale, mais ce mouvement ne concernait pas les muscles, ce qui me fit penser que c'était impossible sur le plan anatomique. Et pourtant ce phénomène était bien réel. Et plus j'observais mon propre corps, et plus j'étais stupéfaite. Puis apparurent devant moi d'extraordinaires boutons de fleurs de lotus. Ces fleurs s'épanouissaient très lentement jusqu'à devenir éclatantes de beauté. Au bout d'un certain temps, elles se transformèrent en un énorme lotus. Derrière cette fleur, jaillit une lumière extraordinairement brillante, sublime, cette même lumière que mes patients avaient si souvent décrite.
Je savais qu'il me faudrait traverser cette fleur gigantesque pour ensuite me fondre dans la lumière. Je fus alors doucement et progressivement happée par cette lumière merveilleuse, et j'ai compris que cette clarté signifiait la fin de ce long et terrible voyage. Curieuse, je pris mon temps pour profiter de la paix, de la beauté et de la sérénité de ce monde de vibrations. Chose étonnante, j'avais toujours conscience de me trouver dans la Maison du Hibou, à mille lieues de tout être humain et, où que se posât mon regard, tout se mettait à vibrer - les murs, le plafond, les fenêtres.., les arbres à l'extérieur.
Ma vue, qui s'étendait sur des kilomètres et des kilomètres, me permettait de tout voir - un brin d'herbe, une porte en bois, etc. - y compris leur structure moléculaire, leurs vibrations. Je découvrais, avec un respect et une crainte mêlés d'effroi, que toute chose avait une vie, une divinité en elle. Durant tout ce temps, je continuai d'avancer lentement à travers la fleur de lotus, vers la lumière. Finalement, je me fondis dans la chaleur de cette lumière d'amour. Même l'image de millions d'orgasmes infinis ne pourrait traduire la sensation d'amour, de chaleur et d'accueil que j'ai ressentie. Ensuite, j'ai entendu deux voix. La première était ma propre voix: "Le Seigneur m'accepte telle que je suis. " La seconde, qui venait de je ne sais où, me dit ces mots bien mystérieux: " Shanti Nilaya. " »
Le lendemain, après avoir dormi, « j'ai continué à être en communion avec chaque feuille, chaque papillon ou chaque pierre et à sentir leurs vibrations jusque dans leur structure moléculaire. J'ai connu l'extase la plus extraordinaire qu'un être humain puisse vivre sur cette terre. »
Cet état bienheureux va s’estomper. Il est dur de « replonger dans les tâches de la vie quotidienne ».
Elisabeth apprend que Shanti Nilaya est Havre de paix ultime, en sanscrit. Et il lui est révélé cela : « toute cette expérience avait pour but de me donner une Conscience cosmique - une conscience de la vie en toute créature. En ce sens, c'était un succès. »
Elisabeth Kubler-Ross est décédée en août 2004, entourée de ses deux enfants. Un prix de recherche « Elisabeth Kubler-Ross » est décerné tous les deux ans à Sion, Suisse, par l’unité Éthique et fin de vie de l'Institut Universitaire Kurth Boesch.
Moins de 18 ans, réfléchir sa mort, y penser, n’a rien de négatif. Tel est le message transmis par Elisabeth Kübler-Ross. A bien saisir.
http://prenonslaparole.hautetfort.com/
Un de ses livres
Etre dans l’authenticité implique une sincérité de cœur absolue, de quitter le rôle que l’on croit devoir jouer pour satisfaire les besoins des autres ou de la société. Pureté et limpidité. Regarder sa nature profonde et la porter aux nues. Etre attentif à ce que son cœur émet en faisant taire le mental. Voir avec les yeux du cœur, dans la rencontre avec l’autre, l’être véritable sans les apparences.
L’Amour est le contraire de la peur, il se situe au-delà du comportement, il est l’essence de toute chose, il est don sans attente de retours. L’Amour est présence et compassion. Il est la richesse qui se trouve en nous. Les conditions auxquelles nous soumettons l’amour contrarient fortement notre relation à l’autre. Il ne s’agit pas de rêver à l’âme sœur ou à l’ami parfait. La plénitude que nous recherchons est présente en nous. Si nous sommes focalisés sur nos blessures, nos chagrins, nos trahisons, nous ne pouvons pas ouvrir pas notre cœur.
• La relation avec l’autre offre une formidable occasion de découvrir des vérités essentielles, notre personnalité profonde, nos peurs, la nature de notre pouvoir et le sens de l’amour authentique. Quelque soit la relation, il est possible d’apprendre, de grandir, d’aimer et d’être aimé. L’autre est la personne idéale pour travailler intérieurement. Chaque réaction émotive engendrée par l’autre est un service que son âme nous rend par amour pour nous libérer d’un conflit. Chaque rencontre est chargée de sens et porteuse d’un enseignement.
• Nous espérons tout de nos relations amoureuses : nous voulons qu’elles nous guérissent de tout. C’est à l’intérieur de nous que réside l’harmonie. On pense toujours que c’est l’autre qui a un problème et qu’il ne sait pas le gérer. En réalité chacun correspond parfaitement à l’autre. Le bonheur ne dépend pas d’une amélioration de la relation. Nous ne pouvons changer l’autre, ce n’est pas notre rôle. Le fait que l’autre ne corresponde pas à nos valeurs ne signifie pas qu’il soit sans valeur. Toute relation est réciproque.
• La relation avec l’autre est l’occasion de découvrir nos problèmes et la réalité de notre être. Nous devons partager notre expérience et dire notre vérité mais sans vouloir en retirer un bénéfice quelconque. Ne laissez pas de vieux schémas manipuler votre vie présente. Lorsque l’on renonce à ses attentes illusoires et à ses schémas de comportement, l’amour prend son envol et non dans la direction que nous avons prise car l’amour n’a pas de loi. L’essentiel est de lâcher prise.
• Notre condition ici bas tout comme la moindre de nos possessions est éphémère, il est vain de lutter contre l’impermanence. Il est vain de lutter contre le sentiment de perte. La perte (le deuil) fait intrinsèquement partie de la vie.
• Le deuil se décline en 5 phases : Le refus, la colère, le marchandage, la dépression, l’acceptation. On ne les vit pas toujours dans ces ordres, parfois on vit une étape plusieurs fois. Il n’y pas de règle, pas de linéarité, ce sont les montagnes russes. Les réactions émotionnelles face à un deuil sont exactement comme elles auraient du être. La seule certitude est que le temps guérit tout.
• L’absence suscite en nous des sentiments de tristesse solitude et de vide. Mais le deuil nous apprend aussi quelque chose, il nous grandit et transforme nos vies. La fin d’une relation permet parfois de découvrir qui l’on est en dehors de la relation à l’autre. La perte d’un savoir faire (la vue) permet de mesurer la valeur de ce que l’on a encore.
• Le deuil établit des liens puissants entre les êtres. Il permet de nous comprendre les uns les autres. Inconsciemment nous mettons en place des situations qui réveillent nos vieux traumatisme dans le but des les surmonter et de les guérir.
Il existe un grand pouvoir au fond de notre être qui n’a rien à voir avec notre position sociale, ou l’argent. Nous n’avons pas le pouvoir de rendre le gens heureux mais nous avons le pouvoir de construire notre propre bonheur. Nous disposons d’une immense force que nous utilisons peu. Le vrai pouvoir réside dans la connaissance de notre nature profonde et de notre place dans ce monde. Ceux qui ressentent le besoin d’accumuler des biens matériels ont complètement oublié ce qu’ils sont. Notre pouvoir réside dans la prise de conscience de la nécessité de toute chose et de tout être.
• La psychologie de la culpabilité s’enracine dans la mauvaise image que l’on a de soi-même, dans l’idée que l’on a commis une faute. C’est un mouvement de colère dirigé contre soi qui se manifeste quand on viole son propre système de croyance. La plupart du temps cette fausse perception de soi trouve son origine dans notre éducation où l’on nous enferme dans la co dépendance, une situation où l’on accorde davantage d’importance aux désirs et aux sentiments de l’autre qu’aux siens propres.
• On peut aussi se sentir coupable lorsqu’on affirme son indépendance. La culpabilité est stérile et autodestructrice. Ce sentiment fait parti intégrante de l’expérience humaine, il peut être un signal d’alarme pour nous indiquer que nous nous sommes écartés de notre système de croyance, que nous avons dépassé les frontières de notre intégrités morale. Pour se libérer de la culpabilité, il faut mettre ses actes en accord avec ses croyances. Ne pas oublier le pouvoir du pardon.
Le temps est une donnée relative. L’essentiel est d’être là. Rien n’est plus important que le moment présent.
• La peur est un signal d’alarme indispensable. Elle nous protège. Mais elle est aussi impitoyable, nous paralyse et nous fragilise si nous la laissons agir. La peur est souvent imaginaire.
• Nos peurs sont des «porte-parole» de notre âme qui réclame à cor et à cris que nous grandissions et que nous guérissions. La peur est une entrave à la vie : nous passons une grande partie de notre vie à gérer nos angoisses et leurs effets. Elle peut prendre plusieurs formes mais la peur qui sous-tend les autres est celle de la mort.
• Il existe deux émotions fondamentales : l’amour ou la peur. La peur est souvent liée au passé ou à l’avenir. Vivre au présent, dans l’amour est notre objectif. La vraie liberté consiste à faire ce que nous redoutons le plus. Allez de l’avant pour trouver la vie. La vie est une aventure audacieuse ou elle n’est rien.
Etre en colère est une réaction saine. Mais la colère refoulée ne s’évapore pas comme un miracle. Elle se transforme en «travail inachevé» si nous refusons de la gérer. Elle prend de plus en plus d’ampleur jusqu’à ce qu’elle trouve un moyen de s’exprimer, généralement en se trompant de cible. Chaque colère contient une peur sous-jacente.
A tout moment chacun de nous peut trouver une grande paix intérieure grâce à sa capacité à lâcher prise. Le lâcher prise est un choix, pas un renoncement qui est le refus de la vie. Souvent nous voulons tout maîtriser, contrôler. Lâcher prise, c’est se détendre, se libérer des schémas mentaux et comportementaux, agir avec confiance et accepter le changement avec souplesse. Le refus d’accepter des situations conter lesquelles nous ne pouvons rien nous épuise, nous dépossède de notre pouvoir et de notre paix intérieure.
Pour vivre pleinement il faut savoir pardonner pour guérir nos blessures. Nous ne méritions pas ces coups, mais c’est arrivé et nous ne pouvons rien changer. Le problème n’est pas la douleur mais le fait que nous soyons incapable de l’oublier, cela perpétue la souffrance. L’incapacité d’ouvrir son cœur est une prison. Le pardon est un grand «saut» dans l’inconnu. Paradoxalement c’est nous-même qui avons le plus besoin d’être pardonné.
Le bonheur est un état d’esprit qui n’a pas de rapport avec les circonstances extérieures. Le bonheur est le but de notre vie. Il ne dépend pas des événements de notre vie (même s’ils nous affectent ce qui est normal) mais de la façon dont nous les percevons. Nous sommes souvent prisonnier du «quand». Nous serons heureux quand nous aurons…
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Elisabeth Kübler-Ross, née le 8 juillet 1926 à Zurich en Suisse et morte le 24 août 2004 aux États-Unis, est une psychiatre et une psychologue helvético-américaine, pionnière de l'approche des « soins palliatifs » pour les personnes en fin de vie.
Elle est connue pour sa théorisation des différents stades par lesquels passe une personne qui apprend sa mort prochaine. Elle s'est intéressée également aux expériences de mort imminente.
Le prix de recherche « Elisabeth Kübler-Ross » est décerné tous les deux ans par l'unité « Recherches en Soins Palliatifs, Thanatologie et Éthique en fin de vie » de l'Institut Universitaire Kurt Bösch à Sion en Suisse par le Professeur Charles-Henri Rapin[1].
La suite sur Wiki
http://fr.wikipedia.org/wiki/Elisabeth_K%C3%BCbler-Ross