Je suis tout à fait favorable, dans des domaines précis, à la possibilité de l'objection de conscience et je remercie le professeur d'avoir évoqué les difficultés individuelles à concilier ses devoirs et obligations civiles et ses convictions religieuses.
Certains fonctionnaires y sont confrontés, c'est extrêmement dur, très perturbant et génère de graves tensions internes. En retour, lorsque nous exprimons nos croyances et l'incompatibilité entre celles-ci et les injonctions hiérarchiques reçues, nous sommes l'objet de rejet, mépris, menaces.